🎥 ► Dans cette nouvelle vidéo, je vais vous partager les 6 erreurs à éviter quand on lance un business à l’étranger.
En effet, il y a des erreurs à éviter pour faire fonctionner et pour que ton business soit rentable.
Je vais te montrer les opportunités pour trouver la combinaison entre un pays que tu aimes et un pays qui est avantageux pour ton entreprise.
Je vais aussi te montrer qu’il est très difficile de construire un business à l’étranger tout en restant dans son pays d’origine.
Je t’expliquerais bien évidement qu’il faut tester le pays dans lesquels tu veux t’implanter avant de t’engager et pleins d’autres conseils que tu découvriras dans cette vidéo.
Dans cette vidéo, je vais vraiment te détailler les erreurs à éviter quand on lance un business à l’étranger.
🎥 Vidéo complémentaire « Es-tu mono pays ? L’angle mort qui te touche probablement »
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?
Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire
À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
📺 ►Lien de la vidéo : 3 Personnalités qui m’ont inspirées dans mon business
⏱ ►Timecodes
00:00 Introduction de la vidéo sur les 6 erreurs à éviter quand on lance un business à l’étranger.
00:21 1re erreur : s’expatrier pour les mauvaises raisons.
01:04 2e erreur : croire que tu peux créer une boîte à l’étranger tout en restant dans ton pays.
02:42 3e erreur : Foncer tête baissée sans avoir testé au préalable.
04:01 4e erreur : Le faire trop tôt dans ton parcours.
05:04 5e erreur : Faire une optimisation fiscale “usine à gaz”.
05:47 6e erreur : ne pas se connecter avec la culture locale et rester entre expatriés.
06:44 7e erreur (bonus) : Pensez que tu ne peux pas ouvrir ton business à l’étranger car tu as des enfants.
07:55 Conclusion de la vidéo sur les 6 erreurs à éviter quand on lance un business à l’étranger.
#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment lancer un business depuis l’étranger, les 6 erreurs à éviter » :
Tu as vu toutes les vidéos des infopreneurs, des influenceurs à l’étranger et l’exotisme t’appelle, donc toi aussi, tu es titillé, tu veux créer ton business à l’étranger. Je te partage les 6 erreurs les plus classiques des gens qui créent leur business à l’étranger.
Première erreur : S’expatrier pour de mauvaises raisons.
Surtout, ne va jamais dans un pays uniquement pour payer moins d’impôt. C’est une aberration. La vie est courte, et quand tu seras vieux, tu vas te rappeler davantage de tes lettres d’amour que de tes relevés bancaires.
Bien sûr, il y a des tas de pays qui sont moins imposés que la France, la Belgique, ou le Canada – pour les Suisses, vous êtes plutôt bien placés – et du coup, tu as plein d’opportunités de payer moins d’impôts tout en kiffant le pays dans lequel tu vas aller. Donc, essaie vraiment de trouver cette combinaison d’un pays dont tu aimes la qualité de vie, tu aimes les paysages, les activités que tu peux faire, la vibe, et qui en plus te permettent d’avoir des avantages pour ton entreprise.
Ensuite, deuxième erreur classique : Croire que tu créer une boîte à l’étranger tout en restant dans ton pays.
Alors oui, c’est tout à fait légal de faire cela. Par exemple, tu peux être en France et puis créer une entreprise en Angleterre ou en Estonie. Mais si tu gères cette entreprise depuis la France, elle va être considérée comme une entreprise de droit fiscal français. C’est ce qu’on appelle les règles CFC, Controlled Foreign Corporation – tu as vu, j’ai un super accent anglais – et cela veut dire qu’en fait, une entreprise est réputée demi-signée fiscalement là où la majorité de la valeur est créée, et typiquement, c’est là où se trouve le management.
Donc si tu gères ton entreprise de France, quel que soit son emplacement géographique, elle va être considérée comme une entreprise de droit fiscal français. Si tu crées une entreprise en Angleterre ou en Estonie ou à Dubaï et que tu vis en France et que tu ne la déclares pas, c’est de la fraude fiscale et tu as un énorme risque de te faire contrôler et requalifier. Donc, ce n’est vraiment pas recommandé.
Après, il est tout à fait légal de créer une entreprise en Angleterre et de la déclarer au fisc, ça, il n’y a pas de problème. Si c’est un pub à Londres, tu as une vraie raison de le faire. Si c’est une entreprise qui vend des formations en ligne, tu peux le faire. En théorie, je n’ai jamais vu ce hack utiliser. Après, l’intérêt n’est pas immense parce que de toute façon, tu vas devoir payer des impôts en France et que cela va créer de la friction avec les comptables et ce genre de prestataire. Après, cela peut aussi être une protection pour toi de différentes choses, mais encore une fois, je n’ai jamais vu ce hack.
Dans tous les cas, consulte un avocat fiscaliste si tu souhaites faire ça. Mais on ne va pas se mentir, dans 99.99 % des cas, sauf si tu t’associes avec quelqu’un sur place ou que tu fais vraiment une opération dans ce pays-là, tu mets ta boîte là où tu vis tout simplement.
Troisième erreur classique : Foncer tête baissée sans avoir testé au préalable.
C’est-à-dire que tu te dis « OK, c’est bon, je quitte tout. Allez, c’est parti, je vais vivre 3 ans en Mongolie et puis ça va être génial », et puis au bout de 3 mois, tu te rends compte que la Mongolie, ce n’est pas du tout fait pour toi. C’est à nuancer parce que parfois, c’est intéressant d’avoir cette approche couteau entre les dents.
Par exemple, il y a mon ami Franck Rocca, il a décidé de partir vivre à Dubaï, il n’y était jamais allé. Mais voilà, Franck, c’est un aventurier, c’est quelqu’un qui a déjà cette démarche globale, et de toute façon, il s’est dit « Dans le pire des cas, je partirais ailleurs si cela ne me plaît pas et puis ce n’est pas grave. » Il y avait sa femme Stéphanie qui connaissait déjà Dubaï et qui était amoureuse de cette ville.
Donc, c’est possible d’avoir cette approche, mais moi, je te recommande quand même de tester un peu sur le terrain, et d’abord, d’aller explorer un peu différents pays que tu envisages pour vraiment choisir celui qui te plaît.
Par exemple, quand j’ai décidé de m’expatrier en 2015, j’ai hésité entre trois villes. J’ai hésité entre Barcelone, Amsterdam et Londres, et au final, je me suis dit « OK, de ces trois villes, c’est Londres que je connais le moins bien, donc je vais aller y passer 15 jours, me balader dans différents quartiers, voir déjà s’il y a un quartier qui me plaît et puis je prendrai ma décision. » Et c’est ce que j’ai fait. En mars 2015, j’ai passé 15 jours à Londres, je suis tombé sur un quartier que j’ai beaucoup aimé, Islington qui a vraiment des airs de petits villages mais qui est vraiment en plein cœur de Londres, et ça m’a décidé à partir à Londres où j’ai vécu 3 ans et c’était vraiment une super histoire.
Quatrième erreur : Le faire trop tôt dans ton parcours.
Je te recommande de faire cela quand ton business commence déjà à tourner. Si tu es débutant, c’est plus difficile pour toi de faire ce genre d’opération, exception, si tu veux tirer parti du faible coût de la vie dans certains pays pour justement pouvoir te consacrer plus vite à ton projet.
Par exemple, si tu démarres sur Internet et que tu gagnes déjà 500 € par mois, c’est insuffisant pour pouvoir t’y consacrer à temps plein sans vraiment gros sacrifices. Par contre, si tu vas dans un pays comme la Thaïlande ou le Vietnam où le coût de la vie est infiniment moins cher, avec 500 €, tu ne vas pas être le roi du pétrole, mais tu vivras très bien. Tu pourras vivre avec une bien meilleure qualité de vie que si tu vis en France ou encore pire en Suisse où le coût de la vie est vraiment démentiel.
Donc, dans ce cas-là, cela peut être quelque chose de très intelligent. Il y a pas mal d’infopreneurs et même des influenceurs qui ont utilisé et qui utilisent toujours cette stratégie parce que plutôt de devoir prendre un boulot alimentaire à côté qui t’ennuie, qui te fait perdre du temps, qui te bouffe de l’énergie et qui va te prendre pas mal d’heures dans la semaine, là, tu vas pouvoir te consacrer à 100 %. Et quand tu auras des revenus un peu plus élevés, tu pourras aller dans des pays où le coût de la vie est un peu plus cher.
Cinquième erreur : Faire une optimisation fiscale usine à gaz.
Je vois parfois des collègues entrepreneurs qui sont passés par des avocats fiscalistes et qui ont des trucs, cela ressemble à une navette spatiale. Il y a des dizaines de composants partout qui interagissent les uns avec les autres. Ça coûte une fortune, c’est ultra complexe. Et puis, il suffit qu’il y a un truc qui ne soit pas bon pour que ça mette en péril l’ensemble.
Franchement, encore une fois, la vie est courte. Optimiser légalement ses impôts, c’est quelque chose tout à fait légitime et quelque chose que la plupart des entrepreneurs devraient faire, mais il ne faut pas non plus devenir un Ayatollah de ça, il faut savoir raison garder et trouver un équilibre avec ça.
Je te recommande de garder une structure simple qui te permet d’optimiser en mode 80/20. Tu vas faire 20 % des actions qui vont t’amener 80 % des résultats.
Sixième erreur : Ne pas se connecter avec la culture locale, à rester tout le temps entre expat.
J’ai vu cela malheureusement pas mal de fois. Je pense à notamment un entrepreneur qui vit en Espagne et qui ne parle pas espagnol. Je trouve ça dommage quand même de ne pas profiter d’être dans le pays pour apprendre une langue, pour se connecter à la culture locale.
Alors, tu vas me dire « Olivier, tu vis à Dubaï, tu ne parles pas encore arabe. » Oui, mais Dubaï, c’est un peu différent de la plupart des pays puisque 85 % de la population est composée d’expatriés, et qu’en général, ces expatriés ne parlent pas arabe, ils parlent anglais. Donc, être à Dubaï, cela m’a permis de booster mon anglais et de parler un anglais un peu plus international avec des gens du monde entier, et c’est sûr que c’est un peu l’exception qui confirme la règle.
Et c’est sûr qu’en fait, se connecter à la culture locale à Dubaï, c’est surtout se connecter à la culture d’expatriés parce que c’est avant tout, Dubaï, une culture d’expatriés. Donc, s’il te plaît, si tu vas dans un pays, fais quand même l’effort de rencontrer des gens du coin et puis d’apprendre au moins quelques mots dans la langue.
Et septième erreur, bonus, je ne te l’avais pas annoncé, mais ça, c’est beaucoup de gens qui font cette erreur. Avant même de considérer sérieusement cette option, ils vont se dire « Non, moi, je ne peux pas parce qu’il y a mes enfants et que, eux, c’est important qu’ils aillent dans des bonnes écoles et tout ça. Clairement, je pense que si tu as des enfants, c’est juste un des meilleurs cadeaux que tu puisses leur faire que de déménager dans un autre pays.
J’ai fait une vidéo récemment où je te disais que la plupart des gens, probablement 98 % sont monopays, ils font tout dans un seul pays. Ils naissent dans un pays, ils sont éduqués dans ce pays-là, ils ne parlent grosso modo que la langue de ce pays-là. Ils vont étudier, travailler, investir, prendre leur retraite et même mourir dans ce pays. Ça, c’est la majorité des gens. Si tu donnes à tes enfants cette vision multiculturelle, c’est un atout absolument énorme. Ils vont être beaucoup plus ouverts d’esprit et avoir davantage de points de vue par rapport à la vie, au monde, à l’univers et tout ça.
Et puis, bien sûr, c’est pour eux une occasion d’apprendre une langue. Il y a mon ami Michael Ferrari que tu connais peut-être qui est un infopreneur à succès depuis longtemps, qui vit à Lisbonne. Il a une gouvernante britannique, et donc ses enfants, à 6 ans, ils sont trilingues. Ils parlent français, anglais, portugais. Imagine la chance immense que c’est d’avoir ça en cadeau. À 6 ans, tu parles trois langues et tu n’as même pas l’impression d’avoir fait des efforts pour les apprendre, c’est quelque chose qui t’est venu naturellement.
Et toi, est-ce que tu es parti à l’étranger ? Est-ce que tu as créé un business à l’étranger tout en restant dans ton pays ? Est-ce que c’est quelque chose que tu envisages ? Partage-le dans les commentaires, ce sera intéressant d’avoir ton expérience. Et si tu te dis « non, ce n’est vraiment pas pour moi, je souhaite rester dans mon pays », tu peux aussi partager. Bien sûr, il n’y a absolument aucun problème, il y a de très bonnes raisons aussi de vouloir rester dans son pays.
Je te dis à très vite pour la prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas, sois rebelle, sois intelligent et fais partie des gens qui s’expatrient de manière intelligente, ou qui décident de rester dans leur pays en leur âme et conscience, mais après avoir réfléchi à tout ça. Tchao.
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