Je teste le Bitcoin en voyage : est-ce que ça marche ?

J’ai testé le Bitcoin à El Salvador et dans la cité libre de Prospera au Honduras, pour payer des dépenses du quotidien comme des restaurants. Est-ce que ça marche ? Est-ce qu’il faut attendre 10 minutes à chaque fois pour voir son paiement validé ? Je te partage tout dans cette vidéo

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

🎥 Lien de la vidéo YouTube : Je teste le Bitcoin en voyage : est-ce que ça marche ?

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Je teste le Bitcoin en voyage : est-ce que ça marche ? » :

Salut, Rebel Intelligent ! Donc me voilà à Miami, la dernière étape de mon périple de 5 semaines avant de retourner à Dubaï. J’ai fait Antigue dans les Caraïbes, la République Dominicaine, le Costa Rica, El Salvador et le Honduras. Un des objectifs de mon voyage était de voir comment je pouvais utiliser Bitcoin dans la vie de tous les jours, parce que parmi tous les pays que je vous ai donnés, il y en a deux qui sont les tout premiers dans le monde à avoir instauré le Bitcoin comme monnaie légale. Et donc, je voulais faire le test de voir si je pouvais l’utiliser pour acheter des choses dans un magasin ou payer un restaurant avec. Ces deux pays sont El Salvador, connu pour cela, et le Honduras, mais attention, avec une astérisque : ce n’est pas l’ensemble du Honduras qui a mis le Bitcoin comme monnaie légale, mais un endroit très particulier, qui est la cité libre de Prospera.

Je viens de publier une vidéo sur cette chaîne qui en parle. Je ne vais pas vous réexpliquer le concept. Si vous ne connaissez pas, je vous invite à aller voir en cliquant là sur la vignette ou sur le lien en dessous. Aujourd’hui, je vais vous partager concrètement ce qu’a été mon expérience d’utilisation du Bitcoin dans ces pays.

Alors, au Salvador, je ne suis pas resté longtemps ; je suis resté moins de 24 heures, tout simplement parce que c’était une étape entre le Costa Rica et l’île de Roatan au Honduras, où se trouve Prospera, et qu’il n’y avait pas de vol direct entre le Costa Rica et le Honduras. Je me suis dit : « Je vais rester une journée au Salvador et je vais tenter d’utiliser des bitcoins pour voir si effectivement c’est une vraie monnaie légale ou si c’est juste sur le papier. »

Pour cela, j’ai pris un guide pour nous faire visiter le centre-ville le soir même. À chaque fois que nous sommes rentrés dans un restaurant, un magasin ou un bar, j’ai demandé : « Est-ce que je peux vous payer en Bitcoin ? » La réponse de manière générale était « Ah, sorry, no ». Ce qui est intéressant, c’est que quand on parle de Bitcoin, ils savent immédiatement de quoi on parle, ce qui ne serait pas forcément le cas dans beaucoup de pays. On voit clairement qu’ils sont désolés de ne pas accepter les bitcoins. C’est souvent qu’ils n’ont pas les moyens techniques de le faire, ils ne savent pas comment faire, ils ne se sont pas pris la tête avec ça.

Il faut savoir qu’en théorie, c’est une monnaie légale comme le dollar. El Salvador est une économie dollarisée et ils sont normalement obligés d’accepter le Bitcoin. En fait, la loi dit que si vous avez les moyens techniques de le faire, vous devez accepter le Bitcoin. En réalité, cette loi n’est pas vraiment surveillée, et la population fait comme elle veut. J’ai quand même réussi ce soir-là à trouver quelqu’un qui accepte que je le paye en Bitcoin. Cette personne était tout simplement mon guide. Il m’a dit : « Voilà, j’ai encore le wallet proposé par le gouvernement qui s’appelle Chivo, et régulièrement j’ai des touristes qui veulent me payer en Bitcoin. Je suis toujours ravi d’accepter ça. » Donc je dis : « Ok super, je vais te payer le tour plus la bière que j’ai prise à ton bar, parce qu’il a un petit bar, en Bitcoin. » Il m’a dit : « Ok super, par contre viens là. » Quand je dis ça, on était dans la rue. Il m’a dit : « Viens, on va aller sur la grande place, il y a du wifi. » Je lui dis : « Ok, si tu veux, mais pourquoi tu n’as pas internet sur ton téléphone ? » Il me dit : « Ah non, non, non, je n’ai pas internet sur mon téléphone, en tout cas pas tout le temps. » Je lui demande pourquoi. Il me dit : « Le truc c’est que voilà, ça coûte un dollar par jour, et c’est beaucoup trop cher en fait. » Donc voilà, il faut se rendre compte qu’apparemment au Salvador, si vous voulez avoir internet sur votre téléphone, c’est à peu près 30 dollars par mois, et le salaire minimum là-bas est de 200 dollars. Bien sûr, tout le monde n’est pas au salaire minimum, mais vous pouvez voir que même pour quelqu’un qui serait à plus du double, disons à 500 dollars par mois, 30 dollars par mois juste pour internet sur son téléphone, c’est un coût non négligeable et probablement peu de gens peuvent se le permettre.

Donc là, on voit un premier frein à l’adoption du Bitcoin. On va sur cette grande place et là, bam, wifi marche pas. Je lui dis : « Bah écoute, ok, on peut retourner dans ton bar, c’est à 5 minutes à pied, le wifi fonctionne bien. » Il m’a dit : « Ok, tu es sûr, tout ça ? » Je dis : « Oui, oui. » Donc on retourne au bar, et là ça s’est bien passé. D’ailleurs, je vous montre une petite vidéo de moi qui paye ce tour guidé plus la bière. Vous allez voir que le paiement est instantané.

Et là, pour ceux qui ont étudié un petit peu le Bitcoin, vous allez dire : « Comment est-ce possible que ça soit instantané ? Normalement, ça prend au moins 10 minutes une transaction pour être validée, et en plus, en fonction des frais que tu payes, ça peut même prendre des heures. Ça dépend de quand est-ce qu’un mineur va accepter ta transaction. » Eh bien, tout simplement, on est passé par un réseau de niveau 2 qui s’appelle le Lightning Network. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais en gros, la blockchain Bitcoin, c’est niveau 1 ; elle est très robuste mais très lente, très chère. Vous avez un réseau de niveau 2 qui s’appelle Lightning Network, qui fait des transactions entre les gens sur cette chaîne, et une fois que tout a été consolidé, par exemple en regroupant une centaine de transactions en une seule dans la blockchain finale, donc de niveau 1 de Bitcoin, c’est très facile à utiliser. Il suffit juste d’avoir un portefeuille compatible, comme c’était le cas ici.

Je l’ai payé à peu près 45 dollars. Ce qui est intéressant, c’est qu’il a mis le chiffre en dollars. Donc on voit que quand même il compte en dollars avant tout. Il avait configuré son wallet pour qu’il convertisse automatiquement les bitcoins en dollars. Il n’était pas obligé de faire ça, mais c’est ce qu’il fait. Donc on voit que là, ce n’était quand même pas trop dur pour moi de trouver quelqu’un qui accepte les Bitcoin au Salvador. La plupart des gens étaient informés sur le sujet. Après, clairement, il n’y a pas une grosse adoption dans les commerces. On voit que la seule personne que j’ai trouvée qui accepte les bitcoins l’a converti immédiatement en dollars. Je lui dis : « Mais pourquoi tu ne mets pas de côté pour le futur ? » Il m’a dit : « Bah écoute, tu sais, pour l’instant avec l’argent que je gagne, c’est difficile de mettre beaucoup d’argent de côté, et puis c’est très volatile, le Bitcoin, ça pourrait se cracher demain. Donc je préfère avoir des dollars pour pouvoir vivre. » Ce qui se comprend tout à fait.

J’étais content d’avoir fait cette transaction. Je reprends l’avion le lendemain pour arriver à Prospera, dans la cité libre. Le Bitcoin est aussi monnaie légale. En fait, une des innovations de cette cité libre, parmi plein d’autres dont j’ai parlé dans la vidéo sur le sujet, c’est qu’il n’y a pas de monnaie officielle. Vous êtes libre d’utiliser la monnaie que vous voulez, y compris toutes les cryptos que vous voulez. Tous les restaurants, les magasins, tous les services acceptent les bitcoins et parfois d’autres cryptos comme les stablecoins, Ethereum, etc. Ça m’a permis de vraiment tester. Donc, le soir même de mon arrivée, j’ai payé mon restaurant en Bitcoin. Là, pareil, vidéo, vous allez voir que ça a été très, très efficace et rapide.

Là, les amis, je vais payer les tickets de restaurant en Bitcoin. Je vais scanner le QR code. Ça charge les détails de paiement. Voilà, hop, je vérifie, c’est bon. Yes, je l’envoie. Ça va partir. Voilà, c’est parti. Et elle a reçu, voilà, instantané. Il y a eu un restaurant où j’étais connecté en 3G, la connexion était lente. Donc là, j’ai dû mettre mon téléphone à bout de bras pour que la connexion passe, et là, ça a été un petit peu plus long, mais juste à cause de la connexion qui était un petit peu lente. Les autres transactions ont été rapides et efficaces. À partir du moment où il y a une bonne connexion, ça passe très bien.

Alors, Prospera, c’est beaucoup plus petit que le Salvador. Il y avait quelques milliers de personnes à peine. C’est vraiment une ville de pionniers. Tous ceux à qui j’ai parlé qui acceptaient le Bitcoin étaient éduqués sur le sujet, y compris les Honduriens. Il y avait beaucoup de Honduriens qui, en général, gardent leurs bitcoins pour le futur. Notamment, quand j’ai fait ce paiement au restaurant où j’ai dû mettre le téléphone à bout de bras, la serveuse m’a dit : « Ah, est-ce que vous pouvez me donner un pourboire en Bitcoin ? » Je dis : « Oui, avec plaisir, il n’y a pas de problème. » Elle m’a sorti son portefeuille personnel, et je lui ai envoyé l’équivalent de quelques dollars en Bitcoin. Je lui ai demandé : « Tu vas en faire quoi ? » Elle me répond : « Tous les pourboires que j’ai en Bitcoin, je les garde pour le futur, parce que je sais que le Bitcoin a une quantité limitée. Contrairement à l’argent fiat, les gouvernements n’arrêtent pas d’imprimer de l’argent, alors que le Bitcoin, il n’y en a que 21 millions maximum. Donc je sais que sur le long terme, ça va prendre de la valeur. Je garde ça pour beaucoup plus tard, dans quelques années. »

Je me dis : « Wow », il y a quand même un niveau d’éducation qui est assez impressionnant. Cela vient en grande partie du fait qu’il y a un Bitcoin Center qui s’appelle Dusan, qui est vraiment un missionnaire de Bitcoin, il faut le dire, et qui fait un excellent travail pour éduquer les gens, notamment la population locale de Roatan, sur le sujet. C’est vraiment impressionnant.

J’ai déjà rencontré des gens très enthousiastes par rapport au Bitcoin, qui répandent clairement la bonne parole, mais là, c’était plus qu’un convaincu, c’était un missionnaire. Il a déménagé à Roatan exprès. J’ai vu quelqu’un qui avait une vraie ferveur religieuse pour répandre la bonne parole du Bitcoin et qui faisait vraiment un remarquable travail pédagogique pour le faire. J’ai rencontré à nouveau plein de Honduriens qui avaient une excellente connaissance de Bitcoin grâce à lui. On pourrait se dire que quelqu’un de religieux comme ça a des tendances peut-être un peu fanatiques, mais je trouvais qu’il était extrêmement rationnel. C’est un maximaliste, c’est-à-dire qu’il pense que sur le long terme, le Bitcoin va l’emporter sur toutes les autres cryptos, mais il avait des bons arguments rationnels. Et il était quand même prêt à concéder que peut-être il y aurait certaines cryptos, comme Ethereum, qui auraient aussi une place dans l’écosystème.

Je l’ai trouvé intense dans sa conviction. Des gens comme ça, aujourd’hui, il y en a des milliers, peut-être même des dizaines de milliers, qui sont en train de répandre la bonne parole du Bitcoin dans le monde entier. Le christianisme a conquis l’Empire Romain avec des gens exactement comme ça. Je ne dis pas que ça va forcément se produire ici, mais en tout cas, c’est un signe que peut-être le Bitcoin va continuer à se répandre. En tout cas, s’il y a des gens comme ça avec cette ferveur religieuse un peu partout, à mon avis, c’est le cas clairement. C’est un énorme atout pour le Bitcoin, et je n’ai pas encore vu de gens avec cette énergie et cette ferveur pour d’autres cryptos, même pour Ethereum.

Il faut dire qu’en ce moment, le réseau est quand même pas mal congestionné, car il y a des gens qui ont trouvé un moyen, avec ce qu’on appelle les ordinals, d’inclure des NFT, donc des œuvres d’art uniques, sur la blockchain Bitcoin, alors que ce n’était pas vraiment prévu pour ça au départ. Cela fait que le réseau est très utilisé, et le problème de cela, c’est que les frais de transaction sont élevés, y compris sur le Lightning Network. Je m’en suis rendu compte après, mais par exemple, j’ai donné quelque chose comme 5 dollars de pourboire à cette serveuse, et j’ai dû payer 2 dollars en frais, alors que c’était sur le réseau Lightning, censé être beaucoup moins cher que ça.

Mais à part ça, vraiment, j’ai pu constater qu’aujourd’hui, il est tout à fait possible d’utiliser le Bitcoin comme de l’argent avec des transactions qui sont instantanées, et bien sûr, des frais qui sont raisonnables. Finalement, ils sont assez équivalents à ceux des cartes bancaires aujourd’hui, en tout cas pour des sommes supérieures à 5 dollars. C’est assez encourageant, sans compter que vous avez des boutiques, des magasins, des restaurants, des gens qui acceptent le Bitcoin dans le monde entier aujourd’hui, même dans les pays où ce n’est pas une monnaie légale, même dans des pays où c’est interdit. Si vous allez sur une application qui s’appelle BTC Map, par exemple, vous pouvez voir que dans votre pays, probablement il y a déjà pas mal d’entreprises qui acceptent le Bitcoin et que vous pouvez utiliser pour acheter des choses.

Tout ça alimente ma réflexion. Je vous ai partagé mes réflexions sur les cryptos, le Bitcoin en général sur cette chaîne depuis déjà pas mal d’années. Je sais qu’il y en a qui se sont mis au Bitcoin après avoir vu une interview que j’avais faite avec David J en 2017. D’ailleurs, il y avait même quelqu’un qui m’avait dit en commentaire de cette vidéo : « Merci, parce que grâce à vous et à David, je suis devenu millionnaire en Bitcoin, parce que c’est vrai que si vous vous étiez mis dans le Bitcoin en 2017, vous avez forcément une méga plus-value aujourd’hui. »
Tout ça alimente ma réflexion pour mon livre qui s’appellera probablement « Tout le monde n’aura pas la chance de quitter son pays ». Les cryptos, c’est un pouvoir extrêmement disruptif pour les États. Il y a de plus en plus de gens qui voient les cryptos comme un moyen de séparer l’État et la monnaie, ce qui est quelque chose d’assez fort. Parce que tout comme au Moyen Âge, ça paraissait inconcevable de séparer l’État de l’Église ou de la religion, et pourtant ça a été fait, il est possible que dans le futur, on puisse séparer l’État de la monnaie, avec des conséquences positives et d’autres moins positives. Justement, j’en parlerai dans mon livre. D’ailleurs, si ça t’intéresse de faire partie de la liste des ambassadeurs de ce livre et surtout de ceux qui seront au courant des avancées de mon livre en avant-première, tu peux t’inscrire à la liste VIP des futurs lecteurs de « Tout le monde n’aura pas la chance de quitter son pays » en cliquant sur le lien qui est lié à cette vidéo. Et tu me dis simplement à quelle adresse email je dois t’envoyer les informations VIP.

D’ailleurs, dis-moi un petit peu, si tu es toujours là, c’est que forcément le sujet t’intéresse. Est-ce que tu as déjà utilisé le Bitcoin ou d’autres cryptomonnaies pour acheter des produits et des services ? Si oui, partage ton expérience en commentaire. Ça sera très intéressant de savoir un petit peu à quel point c’est répandu. Honnêtement, aujourd’hui, on estime qu’il y a quoi, quelques pourcents, peut-être 2 % de la population qui ont des cryptos, ce qui est déjà beau. Peut-être que 10 % d’entre eux, à peine, ont utilisé des cryptos pour acheter quelque chose. Partage ton expérience, ce sera intéressant de la savoir.

Je te dis à très vite pour une prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas : sois rebelle, sois intelligent et fais partie de ceux qui étudient les phénomènes disruptifs. Ciao !

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