J’ai eu l’occasion de visiter la ville libre de Prospera, au Honduras, qui teste un modèle de société très innovant : qu’est-ce qui est si nouveau ? Est-ce que ça va marcher, ou c’est une idée utopique ? On en parle !
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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
🎥 Lien de la vidéo YouTube : Cette ville libre va disrupter les états et les économies
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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Cette ville libre va disrupter les états et les économies » :
Salut les rebelles intelligents ! Donc, je me trouve actuellement dans un lieu très particulier. Là, derrière moi, il y a « The Dome » qui est en train d’apparaître. Je suis actuellement dans une cité libre qui s’appelle Prospera, située sur l’île de Roat au Honduras. C’est un endroit tellement particulier que j’ai décidé de vous faire une vidéo dessus. C’est parti !
Ceux qui suivent la chaîne régulièrement se rappellent peut-être d’une vidéo que j’ai publiée il y a quelques années sur le concept de cité libre. Je vous fais un résumé rapide : il y a le Prix Nobel d’économie Paul Romer qui a fait un TED Talk sur une idée très, très intéressante en 2009, avant qu’il ne reçoive son prix Nobel. Il a dit, en gros, qu’il y a des pays qui ont vraiment des difficultés à se développer, qui restent longtemps à un niveau de revenus pas incroyables, et du coup, une grosse partie de leur population est assez pauvre. Que se passerait-il si un pays comme ça faisait un partenariat avec un autre pays qui a des lois et des régulations probablement plus performantes sur certains points ? C’est aussi pour cela que ce pays est plus riche. Ce partenariat viserait à mettre en place une expérience dans ce pays. Il prenait l’exemple de Madagascar et disait : « Voilà, qu’est-ce qui se passerait si Madagascar contactait le Canada et disait : ‘Voici, vous avez je ne sais pas, 30 km² de jungle où il n’y a rien, ça ne sert à rien. On vous donne une concession de 99 ans, on vous vend le terrain ou on vous le donne, et les lois du Canada vont s’appliquer sur ce terrain, à l’exception que nos citoyens auront le droit de résider sur ce terrain. Mais à part ça, tout le reste sera régi par les lois du Canada.’ »
Les bénéfices attendus de cela seraient les suivants : un, ça va inciter pas mal d’entrepreneurs canadiens à venir créer des entreprises, créer de la richesse en embauchant beaucoup de gens sur place ; deux, ça va aussi rassurer les investisseurs internationaux qui vont pouvoir se dire : « OK, on doit être protégé par les lois du Canada, c’est quelque chose de sérieux, on va pouvoir effectivement mettre de l’argent dans ce projet. » L’idée est de créer une ceinture de prospérité, donc non seulement pouvoir embaucher plein de gens locaux de Madagascar, mais aussi créer une ceinture de prospérité autour, comme Dubaï crée une ceinture de prospérité pour les Émirats arabes unis, comme Singapour le fait pour la Malaisie, ou Hong Kong pour la Chine dans les années 80. Hong Kong avait quelque chose comme 25 % du PIB de la Chine, c’était juste démentiel !
L’idée est aussi de dire que dans ces pays-là, il y a souvent une émigration massive, des milliers de personnes partent parce qu’elles ne sont pas contentes des conditions et pensent pouvoir trouver de meilleures conditions ailleurs. Dans un nombre non négligeable de cas, ces personnes ont même essayé d’immigrer illégalement dans d’autres pays, en Europe, aux États-Unis, au Canada, etc. L’idée était donc de dire : plutôt que ces gens aillent immigrer illégalement ailleurs, pourquoi ne pas leur donner la possibilité d’immigrer à l’intérieur de leur propre pays ? Parce que s’ils veulent partir, c’est qu’ils estiment que les conditions sur place ne sont pas bonnes et qu’ils vont avoir de meilleures conditions ailleurs. Pourquoi ne pas leur proposer de meilleures conditions dans leur propre pays ?
Donc, c’était l’idée de base. À l’époque, le gouvernement du Honduras a vu ce TED Talk et s’est dit : « Mais c’est génial ! Parce que justement, nous avons un énorme problème, avec énormément de gens dans la population qui partent pour les États-Unis et immigrent illégalement là-bas. Pourquoi ne pas faire effectivement un partenariat avec les États-Unis, le Canada, ou un autre pays qui voudrait bien, pour mettre en place cette chose ? » Ils avaient même recruté Paul Romer pour le projet. Il y a eu plusieurs obstacles. La Cour suprême de justice a dit que c’était inconstitutionnel, donc il fallait modifier la Constitution, et Paul Romer a démissionné parce qu’il y avait certains aspects du projet qu’il n’aimait pas. Bon, ça ne s’est pas fait, et là, un entrepreneur nommé Titus Gebel s’est dit : « En fait, ce projet de Paul Romer est génial, mais il y a juste un point où finalement ce n’est pas utile. » Il a dit qu’on n’avait pas besoin de faire un partenariat avec un autre gouvernement. Et du coup, il a proposé d’avoir simplement une société privée qui gérerait ce projet et qui aurait les mêmes avantages : pouvoir embaucher des locaux, créer une ceinture de prospérité, permettre aux gens qui allaient partir de toute façon d’émigrer plutôt à l’intérieur de leur pays avec de meilleures conditions, etc.
Ce qui est incroyable, c’est que le gouvernement du Honduras, qui était toujours le même, a accepté de mettre en place ce projet. Et c’est ainsi que ce projet a vraiment vu le jour et que la ville de Prospera a été créée, où je suis actuellement. Dire « ville » est un abus de langage, car ça démarre à peine. Cela a commencé il y a quelques années, sur un tout petit terrain, puis ils ont acheté un terrain plus grand, à la base c’était un golf avec plein de maisons, de villas, etc. C’est vraiment très sympa. On est sur une île tropicale paradisiaque, ultra-touristique, et où, d’ailleurs, les gens parlent extrêmement bien anglais parce qu’il y a plein de touristes, mais aussi une population native anglophone. Mais ça, ce sera un sujet pour une prochaine vidéo.
Il y a plusieurs choses innovantes à Prospera. Tout d’abord, ce ne sont pas les lois civiles du Honduras qui s’appliquent, mais les lois de Prospera. Il y a des limites, quand même : ils ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent. Il faut que les lois de Prospera soient compatibles avec la Constitution du Honduras, et le Code pénal s’applique. Donc, ça veut dire que si quelqu’un se dit : « Génial, je vais pouvoir ouvrir une boutique pour vendre de la cocaïne », cela ne fonctionnera pas, car c’est interdit de vendre de la cocaïne au Honduras. Mais il y a une énorme liberté en termes de régulation et de loi. Du coup, Prospera a mis en place plusieurs choses extrêmement innovantes.
La première, c’est le contrat social. Le contrat social est ce sur quoi les démocraties sont censées être basées. C’est un ensemble de droits et d’obligations entre les citoyens et leur gouvernement. D’ailleurs, c’était théorisé en partie par Rousseau dans son livre Le Contrat Social. Ce concept est très intéressant, sauf que Titus fait une critique très pertinente et dit : « OK, c’est un contrat social génial, mais où est ta signature ? » Le fait est qu’à aucun moment on vous a fait signer ce contrat. C’est finalement un contrat qu’on vous impose en fonction du lieu où vous êtes né et ensuite du lieu où vous vivez. À Prospera, il y a un véritable contrat social. Cela veut dire que si vous voulez être résident ici, vous avez un contrat, alors qui est assez important, ça fait plus de 1000 pages. Vous le lisez, en tout cas ce qui vous intéresse, vous le signez. Le gouvernement ne peut pas changer une virgule de ce contrat sans votre autorisation, car c’est un vrai contrat. Un vrai contrat requiert votre signature et pour changer une clause, il faut l’accord des deux parties, et pas juste l’accord d’une partie.
Donc ça, c’est une des innovations majeures. Deuxième innovation majeure, vous n’êtes pas obligé de suivre une régulation qui est attachée au territoire. C’est-à-dire que si vous créez une entreprise, vous allez être libre de choisir quelle régulation s’applique parmi une liste de pays qui ont été shortlistés. Il y en a 37 au moment où je fais cette vidéo. Ce ne sont que des pays développés comme le Japon, les États-Unis, etc. Donc, si vous créez une entreprise, vous pouvez dire : « OK, ce sont les lois et régulations des États-Unis qui s’appliquent, » ou celles du Japon, de la Norvège ou de la France. Vous choisissez ce que vous voulez. Vous pouvez aussi choisir d’avoir les régulations de Prospera si vous le souhaitez ou de ne pas avoir du tout de régulation. Mais dans ce cas-là, il y aura deux choses que vous devrez gérer : la première, c’est que ça va être du Common Law, donc le système judiciaire des pays de langue anglaise d’origine britannique. Le problème, c’est que si, par exemple, vous créez des dommages à un tiers, en général, les dommages et intérêts, si quelqu’un porte plainte contre vous, peuvent être vraiment très élevés. Le deuxième problème, c’est qu’il va falloir que vous trouviez une assurance prête à vous assurer sans régulation. Cela peut être facile si vous faites un business où il n’y a pas vraiment d’enjeu, par exemple si vous vendez des formations en ligne sur la culture des carottes. Par contre, si vous faites quelque chose où il y a plus de risque, comme une entreprise de biotechnologie, ça risque d’être un peu plus compliqué. L’idée est de laisser faire le marché, de laisser les gens choisir la régulation qu’ils veulent en fonction aussi de la protection qu’ils souhaitent, de la manière dont leur activité est perçue par les clients, etc.
Troisième innovation majeure, il n’y a pas de monnaie officielle. Vous êtes libre d’utiliser n’importe quelle monnaie pour faire vos transactions. C’est le marché qui décide. Si vous voulez payer en dollars, vous pouvez, à condition bien sûr que le vendeur l’accepte. Pareil, si vous êtes vendeur, vous pouvez choisir de vendre en dollars, en roubles, en euros, en pièces d’or, vous pouvez vendre en coquillages si vous le souhaitez. Et bien sûr, vous pouvez utiliser la crypto-monnaie. C’est vraiment ultra-crypto-friendly ici. On peut d’ailleurs acheter à peu près tout avec des bitcoins. Là, je vais payer les tickets de restaurant en bitcoin. Je vais scanner le QR code, ça charge les détails de paiement. Voilà, je vérifie, c’est bon. Yes ! Je l’envoie. Ça va partir. Voilà, c’est parti. Et elle a reçu. Voilà, instantané. Tous les vendeurs ici acceptent le bitcoin, il n’y a pas de problème. Et parfois même d’autres cryptos. Vous voyez que c’est quand même magnifique. C’est la cerise sur le gâteau ! Je veux dire, on est dans un endroit qui est juste paradisiaque. L’idée est aussi de proposer une plateforme qui sert de bonnes fondations solides pour des gens qui veulent innover, tester de nouvelles choses dans un environnement moins régulé, plus libre que dans la plupart des pays.
Vous avez vu au début de la vidéo, je sortais du Dome. Il y avait des conférences. Ça s’appelle Vitalia. Le créateur de Vitalia, Niklas M, a dit : « Prospera, c’est le niveau 1, et Vitalia, c’est le niveau 2. » Donc pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce langage de crypto, cela veut dire tout simplement que Prospera fournit une plateforme pour que Vitalia puisse se greffer dessus et proposer aussi quelque chose d’innovant. Vitalia, c’est un événement qui dure environ deux mois, qui rassemble des scientifiques, des entrepreneurs du monde entier, y compris des sommités, sur le thème de comment vivre le plus longtemps en bonne santé, comment bien vieillir, etc. Quelles sont les technologies qui vont nous permettre d’augmenter notre espérance de vie ? Ce genre de choses, c’est très innovant et très sérieux, avec vraiment des grands noms qui sont venus ici. C’était vraiment très intéressant.
Ensuite, dans la vision de Titus, dans son livre Les Cités Privées Libres (en français), dont j’ai parlé sur la chaîne, il y a aussi cette idée que ce modèle des cités libres fournit une sorte de plateforme ou de système d’exploitation pour que les gens qui ont des idées intéressantes de projets sociétaux et économiques puissent mettre en place leurs idées sans que cela demande une révolution, des révoltes armées sanglantes ou de devoir prendre 51 % des voix dans une élection, ce qui peut souvent être complètement irréaliste pour certains groupes et, dans tous les cas, n’est pas forcément souhaitable. Peut-être que votre projet fonctionnera pour une partie des gens, mais pas pour tout le monde. Donc, pourquoi l’imposer aux autres ? L’idée est qu’à terme, il y ait à peu près une centaine, voire des centaines de cités libres pour que toutes les personnes ayant des projets sérieux, intéressants, innovants puissent tester leurs projets sociétaux de manière pacifique et être en compétition amicale avec toutes les autres cités libres du monde et tous les autres États existants, évidemment, pour pouvoir stimuler l’innovation et voir concrètement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Cela permettra de voir si des idées qui peuvent sembler un peu folles fonctionneront sur le terrain et aussi de trier celles qui ne fonctionneront pas.
Un des gros problèmes du communisme, finalement, c’est que c’était un système politique déployé à grande échelle avant d’être testé sur le terrain. Le problème, c’est qu’on s’est rendu compte après des décennies que ça ne marchait pas, mais ça avait déjà été déployé à grande échelle dans de nombreux pays, causant énormément de souffrances. Le communisme a causé environ 100 millions de morts au 20e siècle, beaucoup plus que le nazisme. Si Karl Marx avait pu créer une cité libre pour tester son concept de communisme, il aurait probablement vu qu’il y avait des soucis dans sa théorie et que beaucoup de choses sur le terrain ne fonctionnaient pas. Il aurait peut-être ajusté ou abandonné certains aspects, et d’autres auraient pu essayer d’expérimenter d’autres manières, etc.
On pourrait avoir des communistes de zéro qui testent leurs idées dans une cité libre sans imposer leurs idées aux autres. C’est toujours sur la base du volontariat, c’est-à-dire que seuls les gens intéressés par ces idées peuvent y aller. Il y a des libertariens qui vont tester des choses, des monarchistes s’ils le souhaitent, etc. L’idée est de permettre à nouveau un libre marché des idées sociétales et économiques, en compétition amicale les unes avec les autres pour booster l’innovation de manière pacifique. C’est vraiment une vision grandiose. Moi, je la trouve absolument pertinente. J’en parlerai plus en détail dans mon livre à venir, qui s’appellera probablement Tout le monde n’aura pas la chance de quitter son pays. Ça peut ne pas fonctionner, on ne sait pas. Mais en tout cas, je trouve que la vision est sympathique.
Ici, nous sommes dans la toute première cité libre du monde. D’ailleurs, tout ce que je vous ai dit est possible qu’il y ait des choses qui ne fonctionnent pas. Par exemple, le contrat social qui n’est pas modifiable sans votre accord pourrait amener beaucoup d’innovation, car il n’y aura rien qui va autant rassurer les gens, et donc cela pourrait leur donner vraiment envie de s’établir ici et de bâtir quelque chose de durable. Ou alors on se rendra compte que ça ne marche pas, que c’est trop difficile, qu’on ne peut pas faire évoluer la législation en fonction des besoins. Il y aura toujours un vieux grincheux qui ne voudra pas signer la dernière version du contrat, ce qui pourrait bloquer des projets dans une zone, par exemple. Tout ça est possible, mais c’est la beauté de la chose : cela va être expérimenté. L’idée est vraiment d’amener des expériences scientifiques pacifiques dans les modèles politiques et économiques. Ça sort un peu des sujets dont je parle d’habitude sur cette chaîne, mais c’est très raccord avec les sujets dont je parlerai dans mon prochain livre.
Dites-moi si cela vous a intéressé. En complément, vous êtes libre d’aller voir cette vidéo résumée du livre Les Cités Privées Libres de Titus Gebel que j’ai faite sur la chaîne il y a quelques temps. Vous cliquez sur le lien qui apparaît ou qui est en dessous. Et si vous voulez creuser un peu plus ce sujet, dans tous les cas, je vous dis à très vite pour la prochaine vidéo. En attendant, n’oubliez pas : soyez rebelle, soyez intelligent et faites partie des gens qui explorent les projets un peu fous et innovants du monde.
Ciao !
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