Utiliser les moments douloureux de sa vie pour devenir inarrêtable, avec Kamal

Fraîchement arrivé à Varsovie, Kamal a un jour abordé une femme dans la rue, et avant même qu’il ait pu dire un mot, s’est fait rembarrer avec ces mots : « je ne parle pas aux vendeurs de kebab ! ».

Plutôt que de se laisser arrêter par cela, il l’a pris comme un challenge.

Seduction By Kamal
Glamorous Pochette

🎙️ L’interview complète dont est tiré cet extrait « Comment créer sa vie de rêve en vivant la semaine de 4 heures, avec Kamal »

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : Utiliser les moments douloureux de sa vie pour devenir inarrêtable, avec Kamal

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Utiliser les moments douloureux de sa vie pour devenir inarrêtable, avec Kamal » :

Et c’est à peu près à ce moment-là aussi que tu as commencé à changer ton apparence ?

Absolument.

Tu peux raconter ? Parce que tu as une anecdote quand même assez intéressante — douloureuse sur le moment, mais qui t’a ouvert quand même pas mal tes chakras, que tu m’as partagée. Est-ce que tu peux la partager ?

Donc là, comme je l’ai dit, en 2011, j’ai un petit business qui marche, j’ai pas mal d’argent, etc. Donc je commence à profiter, d’accord ? Je me dis : « Bon, enfin, il faut profiter de toute façon. »

Et donc là, je commence à sortir, à essayer les restos, les boîtes, les bars, etc., etc., à créer un petit peu ce cercle social.

Mais à un moment donné, je voyais… parce que j’étais tout seul, il faut pas oublier : j’avais personne ici, pas de famille, pas d’amis. J’avais quelques amis, mais t’es seul, de toute façon. T’es seul. C’est le vrai « seul ».

Et du coup, j’étais un petit peu forcé à aborder n’importe qui — pas que les femmes, les mecs aussi — donc il fallait que je crée un petit peu mon cercle social.

Et alors j’ai eu la chance de rencontrer des gens super sympas, super cool, intéressants, droits — tu connais, Matcher par exemple, que tu connais — mais en contrepartie, j’ai eu aussi la « chance » de rencontrer des gens pas très sympas.

Et je me rappelle très bien de cette soirée.
Je sortais de boîte, tout seul — donc ça arrivait, ça m’arrivait — et il y avait cette fille… donc j’étais à fond dans la séduction, les livres, j’en sais rien, « comment aborder », « quand aborder »…

Donc j’aborde cette fille, et au moment de vraiment essayer de prononcer le premier mot, elle me dit :

« Écoute, je parle pas aux mecs qui vendent des kebabs. »

Et moi je dis : « What the fuck ? What ? »

Et là, j’étais… je sais même pas… je pense que je suis resté bouche bée, déjà choqué. Électrochoc, même.
Et ça m’a frappé, cette réflexion.

Je suis rentré chez moi.
Je me rappelle, je prenais la douche, et je tournais la tête comme… tu vois, comme les chiens qui font : « Hein ? »
Mais tu vois, c’était assez perturbant.

Et du coup, bon… la question que je me suis posée, c’est :
Est-ce que je ressemble vraiment à un vendeur de kebabs ?

Je regarde, je me dis : pas vraiment…
Je portais quand même un truc pas mal, assez sympa.
Mais peut-être que c’est un petit peu… c’est l’impression, c’est le look, etc., tu vois.

Et du coup je me dis :
« Bon, écoute, si cette fille a pu me rejeter en un clin d’œil, en un claquement de doigts — même pas deux secondes, tu vois — et si on faisait un petit peu l’opposé de cette réaction ? »

C’est-à-dire :
Et si, seulement, cette fille — ou bien une personne — pouvait se faire une impression de moi… mais positivement, d’accord ?

Merci pour la transcription ! Voici la version corrigée uniquement au niveau des fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation, tout en conservant le style oral et spontané de ton récit :

Heureusement, c’était l’époque How I Met Your Mother, Barney Stinson, etc. Donc c’était un personnage qui m’a beaucoup inspiré et qui portait souvent des costumes.
Et donc là, du coup, je me dis : « Bon, le moment est venu de vraiment mettre en pratique cette théorie : sweat en costard, etc. »

Je me rappelle, j’ai acheté ce costard par hasard. C’était un truc vraiment simple : un costume noir.
Et effectivement, je l’ai porté, avec des petits accessoires : une pochette de costume, une petite montre…

Et immédiatement — pratiquement une semaine après — dans le même endroit (je sais que c’est fou, mais dans le même endroit), je pense que c’étaient deux filles, en fait, qui m’ont abordé.
Elles m’ont dit :
« Mais… est-ce que tu es un prince ? »
Je dis : « What the… ? »
La même chose !

Et après, je me dis : « OK, bah le challenge est réussi, hein. »
Donc là, j’ai confirmé un petit peu le « hey, beast », c’était un test.

C’est comme quand on envoie, sur une page de vente par exemple, une moitié des gens sur une version, et l’autre moitié sur une autre version, et on voit laquelle convertit mieux.
Donc là, tu as fait un test.

Et c’est exactement ce que Warren Buffett a fait, par exemple, en testant Comment se faire des amis.
La moitié du temps, il était « normal », et dans l’autre moitié du temps, il utilisait les principes de Comment se faire des amis, et il a vu que ça marchait.
Là, c’est ce que tu as fait, en fait.

Moi, j’ai fait, en fait, l’inverse.
Robert Cialdini, dans son livre Influence et Manipulation, a fait la même chose.
Il a remarqué qu’en voyageant en costard, les gens avaient, en quelque sorte, peur de lui, donc il ne connectait pas.
Et quand il portait un T-shirt, etc., il avait la facilité de rentrer en contact avec les gens.

Avec les Américains, c’est différent, parce qu’ils ont un contact facile de toute façon — ça, c’est vrai.
Mais je pense que c’était dans le chapitre Autorité.
Je me rappelle pas de ce passage-là, mais OK, intéressant.

Mais toi, tu as vu que ça marchait.
Moi, j’ai fait : « Bon écoute, justement, j’ai envie de faire peur aux gens… positivement ! »
Donc c’était, pour moi : costard tout le temps, cravate.
Et j’ai bien kiffé.
Et les réactions ? J’ai adoré.

Et du coup, littéralement, ici, les gens ont commencé à m’appeler Monsieur Costard, parce que je le portais tout le temps.
Et en plus, le même, parce que — je dois l’avouer — à cette époque, j’avais pas cette mentalité de trop dépenser, etc.
Parce qu’on avait toujours peur… voilà, on ne sait pas ce qui va arriver, etc., etc.

Mais après, l’opposé va se passer — on va parler de ça après.

Et je portais le même costard.
Ce que je faisais, c’était les accessoires que je changeais.
Ça, c’était une astuce que j’avais lue.

Donc je mettais une pochette de costume rouge, le lendemain une pochette blanche, tu vois…
Les montres, etc., la cravate, tu vois…
Donc le même costard, mais on peut un petit peu jouer avec.

Et les gens ont commencé un petit peu à me respecter, à venir vers moi.
Ils me disaient :
« Mais… tu es qui ? Tu fais quoi ici ? », etc., etc.

J’ai même commencé mon deuxième business grâce à ça !

Parce que je portais des pochettes de costume que je faisais fabriquer au Maroc, et les gens disaient :
« Waouh, c’est super cool ! »
Et personne ne portait de pochette ici.
J’étais le premier à le faire, parce que je lisais sur le style.

Et je me rappelle, j’ai rencontré cette personne en boîte. Il m’a dit :
« Écoute, c’est super cool, j’aimerais bien acheter ça. »
Je lui dis :
« Écoute, je te fais ça à tel prix. »
Il me dit :
« OK, pas de souci. »

Et après, il est encore revenu me dire :
« Écoute, moi j’ai en fait une société. J’aimerais bien les offrir en cadeau de Noël. »
Je dis :
« Je te fais ça aussi. »

Donc ça, c’est une autre histoire bien sûr.
J’ai monté mon deuxième business, Glamour Spochette, et c’était grâce à ça.
Grâce au costard Zara.

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