Un Hack pour détruire cette addiction qui vous bloque dans votre projet

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Un Hack pour détruire cette addiction qui vous bloque dans votre projet » :

Est-ce que ça vous est déjà arrivé d’avoir une addiction ou une habitude néfaste qui vraiment vous bloque dans l’accomplissement de vos objectifs, ou peut-être même que tous les jours, vous vous dites : « franchement, j’aimerais vraiment m’en débarrasser. Ok, c’est sûr, aujourd’hui, je me focalise dessus et j’arrête », et puis, ça continue ?

Si vous avez été dans ce cas ou peut-être même que vous êtes dans ce cas, rassurez-vous, vous êtes loin d’être le seul.

C’est pour cela qu’aujourd’hui, je partage une manière parmi d’autres de vous débarrasser de ces addictions.

Il y a quelque chose qui m’a frappé en discutant avec des amis récemment.

Pour plusieurs d’entre eux, ils se sont rendu compte que quelque chose dont ils pensaient être complètement addict, être un truc qui était impossible à arrêter, était en fait davantage une habitude choisie et qu’à partir du moment où ils ont fait le choix de complètement d’arrêter cette habitude, ça n’a pas été très dur, voire même ça a été très facile.

Quand ces deux amis m’ont parlé, je me suis rendu compte que moi-même, j’avais vécu exactement la même situation. Je vais vous partager ces exemples pour que vous puissiez bien comprendre.

Le premier exemple, c’est une amie qui pendant 10 ans a été complètement addicte au Red Bull. Elle buvait entre une et trois canettes par jour pendant 10 ans. C’est un truc de malade.

Quand j’ai vu ça je, lui ai dit que ce n’est pas super bon pour sa santé. Elle m’a dit : « oui, je sais, t’as raison. Mais tu sais, c’est très dur. Moi, ça fait des années que je bois ça. J’en ai besoin, j’ai arrêté le café, c’est quelque chose dont j’ai vraiment besoin pour mon énergie. Puis, c’est bon, il y a plein de personnes qui me disent ça. »

Mais finalement, à force de discuter, et puis à la force aussi de voir que je mange très sainement et de voir d’autres sources d’inspiration, je n’ai pas été la seule, elle s’est rendu compte qu’elle pensait être addicte au Red Bull alors qu’en fait, pas du tout, et qu’elle en buvait tous les jours plus par tradition que par réflexion et que finalement, il n’y avait pas vraiment de raisons pour elle de boire ces Red Bull.

Ce qui était l’élément déclencheur, c’est qu’un jour, elle a pris une Red Bull dans sa main, elle l’a bu et elle s’est dit : « est-ce que j’aime vraiment ça ? Est-ce que vraiment ça m’apporte quelque chose ? » Et elle s’est rendue compte que non, elle n’aimait pas ça tant que ça, que c’était une sorte d’histoire qu’elle s’était créée dans sa tête pour justifier une tradition, une habitude.

Et elle s’est dit : « ça ne m’apporte rien du tout, ce n’est pas si bon que ça, j’arrête », et elle a arrêté du jour au lendemain.

Le résultat a été radical puisque ça couplait à une meilleure alimentation et à « le 7 minutes workout » tous les jours. Elle a perdu dix kilos en 6 mois. Ce n’est pas rien du tout. Aujourd’hui, elle a beaucoup plus d’énergie, de pêche et elle n’a pas besoin de boire de Red Bull.

À un autre ami, il est arrivé exactement la même histoire mais avec quelque chose qui peut sembler encore plus redoutable à certains d’entre vous, c’est la cigarette.

Ça faisait 15 ans qu’il fumait tous les jours, juste quelques cigarettes, il ne fait pas non plus un paquet mais quand même. Il était persuadé que c’était super difficile d’arrêter, que ça allait lui demander un effort de volonté héroïque et que peut-être il va devoir s’isoler pendant 6 mois dans un monastère bouddhiste, manger des trucs bizarres et réciter des incantations bizarres pour pouvoir y arriver.

Et en fait, il lui arrivait exactement la même révélation, la même question.

Il était en train de fumer et il s’est dit : mais en fait, est-ce que j’apprécie ça vraiment ?

Et puis là, il s’est rendu compte que c’était dégelasse. Il s’est dit : « en fait, ça pue, ça n’a pas d’intérêt de fumer. Ok, ça me relaxe, mais il y a des milliards d’autres manières de se relaxer. Il n’y a pas juste la clope ».

Et il s’est dit : « je me suis construit une histoire, une légende, un truc pour justifier une tradition ».

Finalement, comme mon amie, il a arrêté extrêmement vite la cigarette. Et aujourd’hui, ça fait plus de 6 mois qu’il a arrêté et il ne ressent pas le besoin de fumer.

Il ne vapote pas non plus. Il a complètement à 2000% arrêté alors qu’il avait fait ça pendant 15 ans et qu’il était persuadé d’être addict.

Bien sûr qu’il y a de vraies addictions, il y a des gens qui ont une vraie addiction physique. Ces personnes ne sont pas couvertes par ce que je suis en train de partager.

Mais ce que je veux dire aujourd’hui, c’est qu’il y a bon nombre d’entre nous qui sont persuadés d’avoir une addiction alors que ce n’est pas le cas, parce que finalement, c’est aussi une bonne excuse. C’est aussi une bonne manière de se créer une histoire qui justifie un comportement qui finalement n’est pas vraiment justifiable.

Et il faut se rendre compte que dans le cas de cet ami, il s’est mis à fumer comme beaucoup de personnes quand il était adolescent.

Quand on réfléchit aux raisons qui l’ont poussé à fumer et qui poussent beaucoup trop d’adolescents à fumer, et moi-même, j’ai fumé un peu quand j’étais adolescent, donc je sais de quoi je parle, pourquoi on se met à fumer quand on est ado ?

Parce qu’on veut avoir l’air plus grand, on veut avoir l’air plus mûr, on veut se distinguer des autres. On veut donner un air rebelle, on veut défier la société. On veut se créer un personnage qu’on n’est pas.

Et quand on y réfléchit, on fait cela en faisant exactement l’inverse des valeurs qu’on essaie de développer puisqu’on cède au comble du conformisme. On fait ce que tous les jeunes autour de nous, en tout cas beaucoup de jeunes autour de nous, font. On cède à un message marketing de société qui représente ce que le capitalisme a de pire, a de plus exécrable.

Je suis capitaliste, je crois en l’entrepreneuriat et dans le fait que les entrepreneurs apportent de la valeur, mais ce n’est pas automatique. Les entreprises de tabac, c’est ce qu’il y a de pire dans le monde capitaliste. Elles savent très bien depuis des décennies qu’elles tuent des gens et ça ne les empêche pas de dépenser des budgets faramineux de publicité pour convaincre des gens de fumer, ce qui est absolument intolérable.

Donc, on a cédé au comble du conformisme en croyant être rebelle et on a été mené par le bout du nez. Et au final, c’est facile d’être dans une habitude comme ça où on va faire quelque chose tous les jours pendant des années sans même réfléchir parce que les raisons qui nous ont poussé à nous lancer dedans peuvent avoir disparu, mais l’habitude reste.

Finalement, ça demande un vrai examen de conscience que de se dire : quand j’ai démarré, j’étais con, j’étais stupide, je n’ai pas démarré pour les bonnes raisons, du coup, je veux arrêter.

Pour nous empêcher de mal nous voir, de nous dévaloriser, on va se créer toutes ces histoires de dire : oui, mais maintenant, je suis addict. Tu comprends, je ne peux pas arrêter…

J’ai peut-être fumé deux ou trois ans dans ma vie en fumant peut-être une ou deux cigarettes par jour, donc ce n’était pas non plus énorme. Par contre, il y a quelque chose dont j’ai été très longtemps addict, ce sont les jeux vidéo.

Et c’est la même chose. J’étais persuadé d’être complètement addict, que c’était super difficile pour moi d’arrêter.

J’ai déjà partagé que j’ai voulu devenir écrivain de science-fiction, et d’ailleurs, ça fait toujours partie de mes objectifs.

Alors oui, j’ai publié une petite nouvelle dans un recueil. Mais finalement, aujourd’hui, il y a peut-être une dizaine de livres de science-fiction, peut-être moins, mais en tout cas, au moins plusieurs livres de science-fiction qui n’existent pas parce que j’ai été accro aux jeux vidéo.

À un moment, je me suis rendu compte finalement que ça ne m’apportait pas tant de plaisir que ça.

À côté, je me développais une vie passionnante avec des amis, mon entreprise, des voyages, des rencontres et des développements… et qu’à chaque fois que je m’asseyais pour jouer à un jeu, c’était un coût d’opportunité énorme parce que par exemple, à la place d’une heure de jeu vidéo, je peux faire une heure de guitare. Et ces heures de guitare accumulées, au bout d’un moment, ça me fait une compétence que j’aurais jusqu’à la fin de ma vie.

Aujourd’hui, je suis capable de jouer de la guitare parce que j’ai sacrifié des heures des jeux vidéo pour pouvoir jouer, alors que toutes ces heures de jeux vidéo ne m’ont pas apporté grand-chose. Ça m’a fait gagner des points. Oui, ça m’a donné une certaine compétence en informatique, Ok, mais ça arrive à un point où on a une rentabilité décroissante.

Et je joue encore de temps en temps aux jeux vidéo, notamment sur mon iPad, j’ai des petits jeux, c’est sympa, mais beaucoup moins qu’avant et de manière extrêmement équilibrée et sans addiction.

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