🎥 ► Dans cette nouvelle vidéo je vais te présenter ma stratégie pour devenir millionnaire.
En effet, il y a différents facteurs qui vont faire de toi un millionnaire, je te les partage tous dans cette vidéo.
Mais tout d’abord, tu dois déjà trouver un business qui te plaît et qui est en accord avec ta vision.
Une fois trouvé, je vais t’expliquer le plan d’action à mettre en place pour scaler ton business vers les 1 000 000€.
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?
Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire
À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
📺 ►Lien de la vidéo : https://youtu.be/4Owudpi_Jxo
Pourquoi le monde a besoin de gens qui veulent devenir millionnaires ?
⏱ ►Timecodes
00:00 Introduction de la vidéo sur pourquoi le monde a besoin de gens qui veulent devenir millionnaires ?
00:54 Ton ikigai et ta vision
01:22 Le financement du lancement de ton activité
03:30 Commencer à vendre
05:00 Mettre en place des objectifs SMART et des sous-objectifs
09:52 Conclusion de la vidéo sur pourquoi le monde a besoin de gens qui veulent devenir millionnaires ?
#RebellesIntelligents #business #entrepreneur
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Pourquoi le monde a besoin de gens qui veulent devenir millionnaires ? » :
Tu veux faire des millions d’euros avec ton business ? Génial ! Le monde a besoin d’entrepreneurs motivés comme toi. Mais avant, il va falloir commencer par le commencement.
Le point de départ, c’est d’avoir une idée la plus claire possible des étapes qui t’attendent pour atteindre cet objectif. Si par exemple, tu n’as pas encore créé ton business et que tu vas avoir un business qui te rapporte des millions d’euros, cool. Mais la première étape, c’est déjà d’avoir une idée et ensuite de la mettre en œuvre, on est d’accord.
Idéalement, il faut que tu aies une idée qui va te motiver et qui va avoir un potentiel de business lucratif, parce que si tu crées quelque chose qui est super excitant pour toi, dans lequel tu es passionné mais qui ne te rapporte rien, tu n’as pas un business, tu as un hobby.
En général, quand tu te lances dans un domaine, tu as une idée relativement précise des toutes premières étapes, mais le reste est super flou. Et rien que le fait d’avoir une carte avec les différentes étapes que tu dois parcourir, cela peut déjà t’apporter énormément de valeur. Je te donne les grandes étapes, grosso modo, de comment on part de zéro jusqu’à un business qui rapporte plusieurs millions d’euros.
Je te l’ai dit, l’idée, idéalement, c’est ton ikigai. C’est un concept japonais qui veut dire que ton idée, elle doit être économiquement lucrative, chose qui te passionne, dans laquelle tu es compétent, ta mission de vie. Mais ce n’est pas obligatoire. Le plus important de tous ces critères pour avoir un business, c’est qu’il y a un potentiel économique.
Une fois que tu as ton idée et que tu as validé son potentiel économique, et pour faire cela, bien sûr, il faut faire une étude de marché. Tu vas créer un petit document de 2 à 4 pages qui va résumer le projet, résumer ta vision, expliquer pourquoi tu penses que cette idée, ça va vraiment cartonner, et qu’est-ce que ça va t’amener ? Une fois que tu as ça, tu as deux grandes approches et laquelle tu vas choisir va dépendre d’un critère : est-ce que t’as besoin de financement ou pas ?
Si tu as besoin de financement, du coup, il va falloir aller les chercher. Moi, ce que je te recommande, c’est de te connecter au réseau d’accompagnement à la création d’entreprise de ta ville. Tu verras qu’il y a beaucoup plus de structures d’accompagnement à la création d’entreprise dans ta ville que tu crois. Il est possible d’obtenir beaucoup de prêts, de subventions et de prêts d’honneur. Les prêts d’honneur, c’est typiquement des prêts que tu n’auras pas à rembourser si tu te plantes. En tout cas, tu auras droit à beaucoup d’aides.
Une fois que tu te seras connecté à tout ce milieu d’accompagnement à la création d’entreprise, tu vas te faire accompagner, tu vas développer un business plan sur trois ans, parfois sur cinq, solidifier ton projet pour pouvoir le présenter à des banquiers, à des prêteurs, à des investisseurs.
Si tu passes par la caisse startup dans laquelle tu dois lever des dizaines de milliers, des centaines de milliers d’euros, voire même des millions, là, il faut te faire accompagner par des réseaux spécifiques pour ça. En France, tu as The Family. Tu as peut-être vu que récemment, il y a une petite bisbille avec Oussama Ammar, mais en tout cas, la structure de The Family, elle, elle continue.
D’ailleurs, disclaimer, moi, je fais partie des investisseurs, des Godfather de The Family, donc je peux te dire que la structure, pour le moment, elle continue. Mais tu dois te faire accompagner par les incubateurs de startups qui sont spécialisés là-dedans.
Si tu n’as pas besoin de financement, génial. Il y a des milliers, des millions probablement de business à créer sans financement et beaucoup de business sur le web peuvent être démarrés de zéro. Tu regardes tous les influenceurs, les Youtubeurs, les Instagrameurs, les Tiktokeurs, tout ça, en général, ils ont démarré avec absolument zéro euro d’investissement.
Je te parle d’expérience puisque les deux business majeurs que j’ai créés dans ma vie ont été créés avec ces deux approches. Le tout premier que j’ai créé quand j’avais 19 ans, qui était un business d’informatique, j’ai eu besoin de financement. Je suis passé par tout ce réseau d’accompagnement à la création d’entreprise. Et le deuxième, c’est le business que j’ai aujourd’hui, dans lequel je partage comment créer, développer des business sur le web. Pour cela, j’ai eu besoin de zéro euro d’investissement.
Si tu pars sur l’approche zéro euro, là, dans ce cas-là, tu vas devoir faire un projet à temps partiel à côté de ton activité actuelle. Typiquement, tu vas commencer à créer du contenu sur le web pour attirer l’audience que tu veux, une audience qualifiée que tu vas pouvoir aider. Si par exemple, tu es prof de judo, tu vas faire des vidéos sur le judo, des articles sur le judo, des podcasts sur le judo. Cela va attirer des gens forcément intéressés par le judo. Tu leur proposes de s’inscrire à ta mailing-list en échange d’un livre numérique par exemple. Après, tu leur proposes des formations, des produits…
Dans les deux cas, il faut que tu commences à vendre. C’est le plus important. Au début, tu as trois actions majeures à faire : la première, c’est vendre ; la deuxième, c’est vendre et la troisième, c’est vendre. Ne perds pas trop de temps à designer le site web parfait, ne perds pas trop de temps à faire un plan sur la comète pour passer à des millions. Si déjà tu n’as pas tes premiers clients, ça ne va pas fonctionner.
Utilise toutes les méthodes que tu connais et que tu ne connais pas pour trouver des clients. Il y a une approche que j’ai appris aux États-Unis qui est très intéressante, qui dit que tu ne connais pas forcément une manière d’amener 100 clients en même temps, mais tu connais potentiellement 100 manières différentes d’amener un client, tu as juste besoin de toutes les faire. Et que si tu te les fais toutes, au bout d’un moment, tu auras une masse critique de clients qui va être suffisante pour que t’aies un vrai business et que tu puisses scaler à partir de ça. C’est ce qu’on appelle atteindre le seuil de rentabilité, c’est-à-dire le seuil auquel les revenus de ton entreprise sont supérieurs aux dépenses. Là, cela veut dire que tu peux scaler.
A partir de là, tu vas essayer de créer des nouveaux produits, essayer d’avoir une gamme avec des produits le plus entrée de gamme possible jusqu’aux produits ultra premium, affiner ton marketing. Ensuite, tu vas commencer à recruter, à déléguer de plus en plus, à automatiser et surtout à utiliser effet de levier, effet de levier, effet de levier, c’est-à-dire toujours avoir plus de résultats avec le moins de travail possible. Essayez de créer des synergies entre tous tes projets.
Je t’ai donné une carte générale. Bien sûr, il y a plein d’étapes intermédiaires. On pourrait affiner sur chaque étape, on pourrait y passer des heures. Et tu vois que ce que je t’ai partagé là, cela peut déjà t’apporter de la valeur si tu n’avais pas trop d’idées des différentes étapes qui t’amènent de zéro à plusieurs millions.
Quand tu démarres, tu ne dois pas avoir une idée ultra précise de chacune de ces étapes, mais idéalement, tu dois avoir au moins une bonne vue d’ensemble. Pour cela, ce n’est pas compliqué, il faut te former. Lis des livres, suis des entrepreneurs qui ont déjà accompli ce que tu veux accomplir sur les réseaux sociaux, éventuellement, inscris-toi à des formations…
Une fois que tu as ce plan d’ensemble, il faut passer aux objectifs SMART.
C’est quoi cette bête-là, les objectifs SMART ?
C’est ce qui fait que tu vas transformer un rêve en véritable objectif. Parce que qu’est-ce qui sépare les rêveurs des faiseurs ? C’est tout simplement qu’ils se fixent des vrais objectifs plutôt que d’en rêver. Ensuite, ils se mettent en action pour les accomplir. Donc, la première étape, c’est de transformer ton rêve en objectif SMART.
Qu’est-ce que c’est que SMART ?
Il y a plusieurs méthodologies autour de cet acronyme. Moi, je vais te partager celles que j’ai un peu adaptées à mes besoins. S pour Spécifique, M pour Mesurable, A pour Atteignable, R pour Réaliste, T pour Temporellement défini ?
Admettons que tu rêves d’avoir un business d’enseignement de judo sur le web qui génère un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros par an. Génial. Ça, c’est le rêve. Comment tu le transformes en objectif SMART ?
Déjà, tu vas donner un objectif spécifique.
Déjà rien que le fait de dire ça « je vais avoir un chiffre d’affaires de 2 millions, on va dire, à terme, la deadline temporelle dans laquelle je vais aider les gens à être des meilleurs judokas. » Ça, c’est spécifique, c’est déjà bien. Beaucoup de gens vont juste rêver en disant « je veux devenir entrepreneur un jour ». Là, tu vois que ce n’est pas du tout spécifique.
Pour prendre un exemple qui n’est pas dans l’entrepreneuriat, plutôt que de dire « oui, je rêve un jour d’escalader une montagne », ce qui n’est pas un objectif, tu vas dire « un jour, je veux être capable d’aller en haut du mont Everest en moins de deux jours », par exemple. Ça, c’est spécifique.
Ensuite, mesurable, c’est que justement cela peut être mesuré. Et plus ça va être spécifique, plus ça va être mesurable, les deux choses sont liées. Mais tu dois être capable de pouvoir dire « est-ce que là, non seulement j’ai atteint mon objectif, mais surtout est-ce que là, j’ai avancé vers mon objectif ? » C’est connecté au fait que tu vas devoir te fixer des sous-objectifs SMART. Je vais y revenir.
Ensuite, tu as atteignable. Il faut que tu te donnes un objectif. Il a le droit d’être ambitieux, mais il ne faut pas qu’il le soit trop. Parce que se donner des objectifs trop ambitieux, cela peut être une manière de procrastiner intelligemment, c’est-à-dire d’avoir l’impression d’avancer vers quelque chose, alors qu’en fait, tu ne fais rien.
Si par exemple, aujourd’hui, tu n’as jamais créé d’entreprise et que tu te dis « OK, un jour, je vais concurrencer Elon Musk en créant un nouveau SpaceX », bon courage. Clairement, tu dois probablement être en train de viser largement au-dessus de tes capacités.
Essaie de trouver un objectif, ce n’est pas forcément facile, qui à la fois te challenge parce que ça va te faire sortir de sa zone de confort et que tu veux vraiment réaliser, mais qui reste quand même atteignable par rapport à toi.
Ensuite, tu as réaliste. On pourrait se dire que réaliste, c’est la même chose qu’atteignable, il y a une petite nuance. Atteignable, c’est plutôt par rapport à tes propres capacités, tandis que réaliste, c’est par rapport au monde tel qu’il est.
Elon Musk, ce qui a fait qu’il a réussi à développer SpaceX et Tesla, Tesla, c’est la première entreprise aux États-Unis de fabrication de voitures qui fonctionne depuis Chrysler dans les années 20 ou 30, tu vois, c’est quand même quelque chose assez extraordinaire. Et SpaceX, c’est pareil, on aurait pu se dire « mais c’est impossible d’aller entrer en compétition avec les agences gouvernementales » Mais cela n’a pas freiné Elon Musk parce qu’il a un principe de raisonnement qui s’appelle raisonner par les principes premiers. Il se pose toujours la question quand il se dit « Tiens, est-ce que ça, c’est possible ? » Il regarde si, physiquement, c’est possible. Est-ce qu’il y a quelque chose parmi les lois physiques de l’Univers qui empêchent d’atteindre cet objectif ? C’est un peu cette nuance.
On ne va pas se mettre au niveau d’Elon Musk. C’est juste pour tout dire, atteignable, c’est par rapport à tes capacités.
Réaliste, c’est : est-ce que c’est faisable dans l’environnement actuel ?
Par exemple, tu veux créer un business de vente de marijuana, génial, c’est peut-être atteignable par rapport à tes capacités. Mais si l’environnement légal fait que ça reste illégal pour toi de faire cela, ça ne va pas être réaliste.
Il y a aussi une autre approche des objectifs SMART qui dit que le R, c’est en rapport avec ton objectif principal. Ça, je vais revenir pour les sous-objectifs.
Et ensuite, temporellement défini. Là, il n’y a pas besoin d’être Einstein pour comprendre, il faut juste se donner une deadline. Par exemple, pour transformer ton rêve en objectif SMART, tu vas dire « OK, je vais avoir un business qui rapporte 2 millions d’euros dans l’enseignement du judo d’ici 5 ans, donc date précise, tu mets, qui touchera par exemple 200 000 personnes par mois sur les différents canaux des médias sociaux. »
Une fois que tu as cet objectif principal qui est défini, tu vas le décomposer en sous-objectifs, et chacun de ses sous-objectifs doit être SMART. Si tu démarres de zéro et tu dis « OK, génial, j’ai mon objectif SMART de gagner des millions en enseignant le judo », la première étape, c’est déjà de faire un test, de commencer à créer du contenu pour voir si effectivement, j’arrive à attirer une audience.
Le premier objectif SMART, cela va être de dire « Au bout du premier mois, je dois avoir écrit quatre articles sur mon blog et avoir fait deux vidéos sur ma chaîne YouTube et un podcast audio, et l’avoir partagé un maximum. C’est d’avoir touché 1000 personnes, par exemple. » Il faut à chaque fois que ce soit précis. Et là, le R, c’est là où c’est plus intéressant peut-être de dire en rapport plutôt que réaliste parce que tu vas le connecter à ton objectif principal qui est de créer ta boite.
Si tu fais en sorte que chacun de ses sujets-objectifs soit SMART et lié à l’objectif principal, ce qui est génial, tu sais qu’à chaque fois que tu as réalisé un de ces sous-objectifs, tu as avancé vers ton objectif principal.
Et après, on peut encore décomposer. Tu peux transformer chacun de ces mini-objectifs SMART en objectifs de la semaine et tu peux te dire « chaque jour, je place mes grosses pierres ». Ça vient de l’analogie du fait que si tu prends un bol, tu le remplis de sable, tu ne peux plus rien mettre dedans. Tandis que si tu mets les grosses pierres d’abord, après, tu peux mettre des cailloux, des plus petites pierres, tu peux mettre des cailloux, après, tu peux mettre du sable.
Il faut toujours dans ton emploi du temps mettre les tâches importantes en premier. Tu laisses après le reste du temps que tu as de disponible se remplir avec les petits trucs qui n’ont pas d’importance.
Si tu démarres chaque journée en mettant une grosse pierre qui est liée à ton objectif de la semaine, qui est liée à ton sous-objectif SMART et qui est liée à ton objectif principal, tu sais que chaque journée, quoi qu’il arrive, tu avances vers ton objectif principal. Bien sûr, il faut bosser, mais tu sais que quoi qu’il arrive, tu es en train d’avancer vers l’objectif qui te tient à cœur.
Après, ne t’inquiète pas, tu auras beau avoir l’objectif le plus précis du monde, le plan le plus précis, les supports d’objectifs SMART, il y a toujours des moments où tu vas dévier du plan, où tu vas devoir le refaire. Comme le disait un célèbre Général, il n’y a aucun plan qui survit à la bataille. Il faut aussi bien se préparer. Avec cela au moins, tu t’assures d’avoir toutes les chances de ton côté pour réussir, contrairement à beaucoup de personnes.
Si tu veux apprendre d’autres techniques, d’autres méthodes pour créer, développer ton business sur le web, je t’offre mon livre « Vivez la vie de vos rêves grâce à votre blog » qui justement t’explique comment bâtir ton petit business qualité de vie, ou carrément un empire sur le web, en partant de zéro. Pour le recevoir, tu cliques simplement sur le lien qui apparaît dans la vidéo ou qui est en description et tu me dis à quelle adresse mail je dois t’envoyer le livre.
Merci d’avoir regardé cette vidéo. Bonne lecture d’avance. D’ici la prochaine, n’oublie pas, sois rebelles intelligent, sois intelligent et fais partie des gens qui se donnent des bons objectifs. Tchao.
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