Découvre les avantages fiscaux pour les digital nomads dans cette vidéo captivante !
En tant que digital nomad, tu comprends l’importance de la fiscalité. Dans cette vidéo, j’explore les facteurs à considérer avant de changer de pays, la différence entre fiscalité et droit de vivre, et je te dévoile les meilleurs pays pour les digital nomads.
Ne manque pas ces conseils précieux pour optimiser ta situation fiscale en tant que digital nomad !
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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
🎥 Lien de la vidéo YouTube : Les avantages fiscaux pour les digital nomads
🎞 TIMECODES :
00:00 Introduction
00:51 Les pays les plus taxés
01:35 Les facteurs à prendre en compte pour changer de pays
01:46 La fiscalité et le droit de vivre !
02:22 Le pays de départ !
05:13 Les meilleurs pays pour les digital nomad
06:31 BONUS !!
#digitalnomad #fiscalite #impot
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Les avantages fiscaux pour les digital nomads » :
Nous ne devenons pas des nomades numériques justes pour les impôts. Nous le faisons pour explorer le monde, vivre des milliers d’aventures, nous ouvrir l’esprit, apprendre des langues, etc. Mais force est de constater que c’est aussi une excellente manière de diminuer légalement ses impôts, et c’est particulièrement vrai si vous vivez aujourd’hui dans un pays très imposé. Parmi les pays francophones les plus imposés, il y a bien sûr la France, qui figure également dans le top 3 des pays les plus taxés du monde tous les ans depuis plus de 50 ans. Là, je vous ai mis un petit graphique de l’OCDE. Il y a aussi la Belgique. Si vous êtes au Canada, c’est un peu mieux, et si vous êtes en Suisse, c’est vraiment beaucoup, beaucoup mieux. Regardez un peu ce classement des pays les plus efficaces fiscalement. Qu’est-ce qu’on voit en tout dernier ? Eh bien, la France.
Donc, clairement, si vous venez de la France ou de la Belgique, si vous lancez une fléchette sur la carte, vous êtes quasiment sûr de tomber sur un pays moins imposé, sauf si bien sûr ça tombe dans l’eau. Ce qui est incroyable, c’est que parmi tous les pays qui existent, il y en a beaucoup, plus de 200, il y en a un qui représente la meilleure combinaison pour vous en termes de qualité de vie, de soleil, d’activité et de fiscalité. Et vraiment, je veux démarrer par ça : n’allez jamais dans un pays juste pour payer moins d’impôts, d’accord ? Mais par contre, comprenez que les impôts sont un facteur parmi d’autres qu’on va prendre en compte avec tout le reste. Et si vous voulez être un vrai digital nomade, c’est-à-dire si vous voulez vous balader tout le temps, pas de problème, il vous suffit de choisir un pays qui soit une base et dans lequel vous passez assez de temps pour être considéré comme résident fiscal. En fait, il y a trois facteurs à prendre en compte. Ce sont des facteurs généraux que je vous partage pour ouvrir vos chakras : Surtout, surtout, consultez toujours un avocat fiscaliste pour valider votre montage.
Voici ces trois principes :
Premier principe : la fiscalité et le droit de vivre dans un pays ne sont pas la même chose. Par exemple, si vous êtes dans l’Union européenne, vous avez la liberté d’aller dans n’importe quel autre pays de l’UE. Vous pouvez aller vivre dans des tas d’autres pays en obtenant des visas. D’ailleurs, il faut savoir qu’aujourd’hui, il y a des dizaines de pays qui vous proposent des visas pour digital nomades, des pays aussi attirants que les Émirats Arabes Unis, Dubaï, comme ici, le Costa Rica, et plein, plein d’autres pays. Donc, comprenez qu’on peut avoir un visa pour un pays sans pour autant payer d’impôts là-bas, et qu’il est important de devenir résident fiscal dans le pays où vous allez. Je vais y revenir.
Deuxième point important : votre pays de départ, si c’est aussi votre pays de nationalité ou que vous y avez vécu longtemps, c’est ce pays qui va vous prendre le plus pour acquis et qui va être peiné, entre guillemets, de vous voir arrêter de payer des impôts. Vous savez que c’est une tendance humaine naturelle que de valoriser plus ce qu’on n’a pas que ce qu’on a, et c’est vrai aussi pour les pays. Les pays ont tendance à considérer leurs propres citoyens comme acquis, tout en voulant attirer les talents étrangers, les investisseurs étrangers. De ce facteur découlent deux choses :
Le premier, c’est qu’énormément de pays se battent, oui, se battent en soi pour vous attirer, en particulier si vous avez déjà un certain succès avec votre entreprise, alors que votre pays lui, ne se bat pas pour que vous restiez puisqu’il considère que c’est normal que vous restiez. Vous comprenez ?
Deuxième chose : ça veut dire que, parmi tous les pays du monde, c’est le pays dont vous partez, en particulier votre pays de nationalité, et que vous y avez vécu longtemps, qui va essayer de vous mettre des bâtons dans les roues et de vous retenir. Idéalement, vous devez vous débarrasser d’un maximum de choses dans ce pays de départ : plus de voitures, plus de téléphone, plus d’abonnements, plus de comptes en banque, surtout, surtout aucun lieu qui a votre disposition pour vous héberger, comme une maison de vacances. L’immobilier d’investissement est OK à condition qu’il ne représente pas une majorité de vos revenus et/ou de votre patrimoine. Même si, idéalement, vous vous en débarrassez aussi.
Le mieux, c’est de ne plus rien avoir à voir dans votre pays de départ. Il est aussi important de passer moins de temps dans votre pays de départ que dans votre nouveau pays de résidence par an. Mais attention, ce sont des facteurs généraux. C’est particulièrement vrai pour la France et pour la Belgique, mais cela va dépendre de votre pays de départ et aussi de votre pays d’arrivée. En fait, vous devez regarder quels sont les critères de résidence fiscale de votre pays de départ et éviter de les cocher. Par contre, vous devez regarder les critères de résidence fiscale dans votre pays d’arrivée et faire attention à les cocher. Et si vous êtes bien résident fiscal du pays dans lequel vous arrivez et que ce pays a un traité fiscal avec votre pays de départ, dans ce cas-là, vous pouvez être résident fiscal des deux pays tout en payant vos impôts uniquement dans le pays d’arrivée, si le traité vous protège. Alors, ça dépend de chaque traité, il faut lire les deux, mais typiquement, si vous passez plus de temps dans le pays d’arrivée que dans le pays de départ, c’est bon. Mais ça dépend des circonstances.
Vous pouvez très bien avoir un empire immobilier dans votre pays de départ, y passer quelque chose comme 5 mois par an et ne pas être résident fiscal. Ça va dépendre des pays. En France, il y a comme critère de résidence fiscale, notamment : est-ce que c’est le centre de vos intérêts économiques ? Donc, si c’est la source principale de vos revenus, vous allez être considéré comme résident fiscal. Si vous allez au Portugal, ce n’est pas grave, parce qu’à partir du moment où vous êtes résident fiscal portugais, vous êtes protégé par le traité.
Il y a différents critères, mais en gros, si vous passez plus de temps au Portugal que dans votre foyer au Portugal, il n’y a pas de problème. Par contre, si vous allez dans un pays comme les Émirats Arabes Unis, à Dubaï, vous n’êtes pas protégé par le traité, et du coup, si vous répondez à un seul critère de résidence fiscale en France, vous allez payer vos impôts en France, même si vous passez 0 jour en France et 365 jours par an à Dubaï. Il faut le savoir, c’est complexe. C’est pour ça que je vous ai dit qu’il faut consulter un avocat fiscaliste, mais c’est juste pour vous ouvrir l’esprit à tout ça.
Alors, vous allez me dire : génial, mais quels sont les meilleurs pays du coup pour s’expatrier en tant que nomade digital ? Ça dépend de ce que vous voulez. Les hubs classiques, c’est le Portugal, qui a un régime fiscal très intéressant si vous rentrez dans le cadre d’un résident non habituel. Vous avez l’Estonie, qui est top aussi, bon, un peu froid, il faut aimer. Vous avez Chypre, vous avez Malte, c’est pour l’Europe. Ensuite, en dehors de l’Europe, vous avez bien sûr Dubaï. Moi, je vis à Dubaï depuis quasiment 5 ans, c’est juste incroyable le nombre d’infopreneurs et d’entrepreneurs web qui sont arrivés ici. Et vraiment, pas que des influenceurs, loin de là. Aujourd’hui, c’est un Mastermind permanent, c’est assez impressionnant. Vous avez le Panama, qui a une petite communauté d’infopreneurs francophones. Vous avez Cancun, tout ce qui est autour de Playa del Carmen, etc. C’est aussi assez dynamique, il y a vraiment pas mal de choses. Il y a Bali aussi, que j’ai eu l’occasion de visiter l’année dernière, qui est aussi rempli de nomades numériques, pas seulement francophones, mais du monde entier. Donc, vraiment, comprenez que quand vous avez un business sur le web, le monde est dans la paume de votre main. Et surtout, surtout, n’allez jamais dans un pays juste pour payer moins d’impôts, mais que de toute façon, si vous partez de la France, qui est dans le top 3 des pays les plus imposés du monde, à moins que vous le cherchiez vraiment, vous allez forcément arriver dans un pays qui est moins imposé que la France. Si, en plus, vous avez le soleil, les palmiers, un coût de la vie moins cher, une île tropicale ou les montagnes, ou vraiment ce qui vous fait plaisir, que vous apprenez une langue intéressante, vous appréciez votre vie, pourquoi ne pas le faire, n’est-ce pas ?
Donc cette vidéo, c’est juste une toute, toute petite introduction de mon futur livre que je suis en train d’écrire. Je suis très heureux, d’ailleurs, de partager que j’ai dépassé les 100 000 mots. Le titre provisoire, peut-être que ça sera le titre définitif, on verra : « Tout le monde n’a pas eu la chance de quitter son pays ». Et ça va parler notamment de comment les États-nations modernes se font disrupter par internet, et du fait qu’en fait, pour les nomades numériques, avoir accès à ce marché de juridictions qui se battent pour vous, c’est comme d’être un communiste de l’Union soviétique qui découvre un supermarché occidental pour la première fois.
Mikhaïl Gorbatchev a visité les États-Unis au début des années 80, il a visité un supermarché, il n’en revenait pas du nombre de produits et du choix qu’il y avait. Il a dit à un de ses aides, qui était avec lui : « Ouh là, il ne faut vraiment pas que notre peuple voie quel est le choix dans les supermarchés occidentaux, sinon il y aura une émeute. » Et je peux vous dire que, quand vous allez découvrir à quel point il y a des dizaines de pays qui se battent pour vous attirer avec des conditions exceptionnelles, vous allez être dans la même situation. Vous allez juste halluciner du nombre de choix et de la qualité des produits. Donc si tu veux faire partie de la liste des VIP qui sera au courant en avant-première de la sortie de mon livre, ainsi que de son contenu, tu peux t’inscrire tout simplement en cliquant sur le lien qui apparaît dans la vidéo ou en description. Dis-moi à quelle adresse e-mail je dois te confirmer ta place dans la liste VIP des futurs lecteurs de Tout le monde n’a pas eu la chance de quitter son pays. À très vite, Ciao !
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