Les 3 actions que les PERDANTS ne feront jamais

Franck Rocca était champion de moto et de natation, et il est aujourd’hui entrepreneur à succès et multimillionnaire. Il partage dans cette vidéo ses secrets pour toujours performer, quelque soit les circonstances.

🎙️ Pour voir l’interview complète dont est tiré cet extrait, tu es libre de cliquer sur  : « Comment Franck Rocca est devenu multimillionnaire après avoir raté ses études »

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

#RebellesIntelligents #DéveloppementPersonnel

https://youtu.be/weyIfiTZtYA

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Les 3 actions que les PERDANTS ne feront jamais » :

Olivier Roland : Du coup, tu en as déjà pas mal parlé, mais en résumé, est-ce que tu as des croyances qui sont différentes de ce que tu peux voir en général autour de toi ?

Franck Rocca : Oui.

Olivier Roland : En résumé, c’est quoi ?

Franck Rocca : La première, c’est que je n’accepte pas le « non », ni le premier « oui ». Ça, c’est une très grande différence.

Olivier Roland : Tu n’acceptes pas le premier oui, c’est-à-dire ?

Franck Rocca : Par exemple, là, je prends l’exemple avec mon avocate où le temps qu’on ait appris à se connaitre, elle sait qu’aujourd’hui quand elle va me proposer quelque chose, une solution ou peu importe, elle vient avec au minimum 2 ou 3 projets parce qu’elle sait que le premier, je vais lui dire « non, mais ça, ça a été la facilité », donc du coup, même pas, je ne la regarde. Et on commence à réfléchir à partir de où tu as commencé à travailler ton cerveau.

En fait, c’est ce truc-là que j’emmène tout le temps de « le non n’existe pas », puisqu’en fait, le non, on l’a déjà. Déjà de base, si tu te contentes du non, tu ne fais rien de ta vie parce que tu l’as déjà.

Là, je n’ai pas d’argent, oui, tu ne l’as pas maintenant. Je n’ai pas osé appeler la personne, oui, tu ne l’as pas appelé. Tu as déjà le « non », donc en fait, tu ne risques que le « oui ». Sauf que le premier oui, il est tellement simple parce qu’à peine, tu soulèves le pied, tu peux l’avoir. C’est comme l’échec. Pour moi, tu ne peux jamais échouer tant que tu ne t’arrêtes pas.

Bien sûr, tu peux avoir des erreurs et des échecs passagers selon la définition qu’on en met, mais tant que tu ne t’arrêtes pas, tu es obligé de réussir. Et même je vais dire, tant que tu ne t’arrêtes pas, tu es condamné à réussir.

Olivier Roland : Ok. Donc, on n’accepte pas le non, on n’accepte pas le premier oui. Il y a d’autre croyance que tu as l’impression d’être un peu pas seul au monde, mais tu fais partie d’une minorité des gens à avoir.

Franck Rocca : Vraiment je ne m’accorde aucune excuse.

Olivier Roland : Ok. Oui, ça, c’est vrai, j’ai pu le remarquer.

Franck Rocca : J’ai une dureté envers moi-même qui est extrême.

Olivier Roland : C’est vrai, oui. On voit qu’effectivement, tu es quelqu’un avec une énorme discipline et que tu ne vas pas te faire arrêter par une petite bosse sur la route. C’est clair.

Franck Rocca : C’est cela.

Olivier Roland : D’autres choses ?

Franck Rocca : Oui, le côté de hacker. Donc là, cela englobe un peu tout cela.

Olivier Roland : Oui, on le voit dans ta vie où tu as vraiment ce point de vue qui est très commun chez les rebelles intelligents.

Franck Rocca : Oui, même dans la nourriture, tu vois. Des fois, on se dit « Oui, mais là, je n’ai pas le temps, donc je suis obligé de manger mal ». Mais non, on peut juste réfléchir un minimum et Ok, au lieu d’aller manger McDo, je ne vais pas dire là, c’est du magique, mais ne serait-ce qu’une tranche de poulet et de jambon pour ceux qui mangent encore de la viande, pas moi, une tranche de poisson avec du taboulé ou des légumes, des fruits. C’est assez simple, même si tu n’as pas pour cuisiner, tu prends des légumes crus, tu prends des pommes, tu prends un taboulé, une viande.

Olivier Roland : Il y a toujours un moyen d’arriver à son objectif.

Franck Rocca : Il y a toujours un moyen. Donc ça, c’est mon truc. C’est parce qu’en fait, la vie et notamment là l’éducation quand même francophone, un peu le côté système européen, on voyage tous les deux dans beaucoup de pays, on se rend compte que les cultures sont quand même différentes en côté anglo-saxon, Asie, Amérique. Il y a encore des différences. Et nous, c’est vrai qu’en Europe et en France, on est quand même très assisté, ce n’est pas une nouvelle quand on dit cela.

Et je pense que c’est vraiment cela, c’est qu’il faut shifter. Et mes clients, je leur apprends aussi à shifter leur mindset, shifter leur cerveau, mais surtout à transformer leurs chemins neuronaux qui, aujourd’hui, sont des labyrinthes à part entière et à faire plutôt des lignes droites de « Ok, non, mais là, pour atteindre le résultat que tu voulais, tu n’as plus besoin de faire comme à l’époque à faire des allers-retours dans tous les sens, tu vas juste tout droit. »

« Oui, mais tout droit, c’est peut-être plus compliqué. »

Non, ce n’est pas plus compliqué. C’est parce que tu penses que ça l’est, parce que tu vois peut-être le résultat trop rapidement et tu as peut-être peur du résultat. Et en fait, c’est sur cela qu’il faut travailler et pas le reste. Donc, c’est vraiment ce côté de passage à l’action.

D’ailleurs, on a un hashtag depuis 3-4 ans « Do it now ». Cela veut tout dire. C’est « fais-le maintenant, pas demain. C’est maintenant qu’il faut le faire. »

Donc il y a aussi, je pense, ce côté-là où je ne vais pas attendre pour faire les choses. Et là, d’ailleurs, on est aussi dans la ligne conductrice de tout mon business model depuis que je l’ai compris. La première formation en 2015, j’ai vendu quelque chose qui n’existait pas. Et cela, pour moi, c’est l’ultime. On est dans le lean startup… C’est : propose quelque chose, valide que le marché a besoin de ce quelque chose, et à partir de là, tu le crées.

Olivier Roland : Voilà. Et toujours être en contact avec la réalité plutôt que de créer les meilleurs plans dans sa chambre. Ça, c’est super important.

Et en termes d’action, est-ce qu’il y a des actions que tu fais régulièrement ou des habitudes que tu as qui sont assez minoritaires finalement dans la population ?

Franck Rocca : De m’écouter.

Olivier Roland : De t’écouter ?

Franck Rocca : Je pense que les gens ne s’écoutent pas vraiment.

Olivier Roland : Oui, tiens, intéressant.

Franck Rocca : Je pense que les gens pensent qu’ils s’écoutent. A l’époque, dans une interview, j’avais dit « Arrêtez de vous mettre un film opaque quand vous vous lavez les dents ». Parce que quand tu laves les dents, la plupart du temps, tu as un miroir en face de toi et que la plupart du temps, on se ment tellement à soi-même que c’est comme si on ne voyait plus la réalité en face.

Et notamment, là, l’image simple avec les couples, tu rentres après le boulot par exemple, que ce soit la femme ou l’homme, et puis tu trouves, alors moi j’aime bien parler du canapé chips Bibendum où ils se sont laissés aller. Là, c’est mon reliquat de sport, tu vois, mais où ils se sont laissés aller et ils n’ont plus le physique de. Alors Ok, on va me dire « oui, mais l’amour, ce n’est pas que physique », oui, Ok merci. C’est tout ce truc-là de plus rien, plus d’envie, plus d’excitation, la routine, etc. et justement de ne pas tomber là-dedans.

Et parfois, la dernière fois, j’ai même annulé un call parce qu’à ce moment-là, j’avais envie d’aller nager en mer, donc j’ai annulé un call. C’est vraiment à un moment donné ce truc-là. Je ne peux pas dire que je l’ai fait à 100% du temps puisque des fois, tu as quand même des obligations même si je n’aime pas ce mot-là, mais en tout cas, c’est vraiment cela, c’est d’apprendre à s’écouter et se faire kiffer. On s’oublie souvent.

Se faire kiffer, là, tu as la compétition, c’était vraiment de me faire kiffer puisque je n’avais aucune ambition. C’était de rentrer dans l’écosystème, de voir comment cela se passait.

Olivier Roland : C’est quand même une vision de cette participation à la compétition de wakesurf. C’est quand même aussi parce que tu as envie de voir. Justement, tu es curieux de voir ton niveau par rapport au champion. D’ailleurs, tu étais très bon par rapport à la plupart des gens. Mais voilà, tu n’étais pas en mode « je veux absolument être le premier », c’était plus une curiosité, mais on voit quand même cette envie d’exploration et de savoir te mesurer par rapport aux autres.

D’ailleurs, je fais juste une parenthèse. Mais souvent, on entend parler « oui, c’est… », on entend dire « oui, ce n’est pas bien de se comparer aux autres et tout », c’est un gros bullshit ça. En sport, heureusement que les gens se comparent entre eux parce que sinon, comment ils sauraient s’ils sont bons ou pas.

Franck Rocca : Là, je vais casser un mythe et je vais être cru peut-être, c’est bien de faire du sport, mais attention à la phrase « ce n’est pas grave, si tu n’as pas gagné, tu as au moins participé ». Ça, c’est très bien pour le sportif du dimanche, mais ne dis pas cela à un athlète, il va t’insulter, ce n’est pas possible. On ne va pas, on n’est pas athlète, on ne fait pas… puisque quand tu es athlète, toute ta vie, moi, je me suis entrainé jusqu’à 35 heures par semaine. Tu ne peux pas juste dire « tu as participé », non, mais cela ne marche pas en fait. On y va et ce n’est pas le podium non plus, c’est la première place. C’est que la première place qui compte. Donc, il faut vraiment faire la différence entre le sportif du dimanche et tu as le droit de juste aller courir une demi-heure…

Olivier Roland : D’ailleurs, pour le wakesurf, tu as eu cette approche sportive du dimanche. Tu étais complètement de 5 heures par semaine. Il faut juste bien comprendre les différences de mentalité, mais aussi de motivation, d’implication.

Franck Rocca : Et après, il y a aussi une réalité terrain. Le wakesurf, j’avais 10 heures ou 12 heures maximum de wakesurf. Les gens, ceux qui font les compètes, ils font une heure par jour. Donc à un moment donné, je ne peux pas rivaliser, je laisse aller complètement.

Olivier Roland : Ils font plus qu’une heure par jour.

Franck Rocca : Oui, même plus, mais au minimum une heure par jour. Nous, sur les 6 mois, on a eu 10 ou 12 heures. Maintenant, on fait un peu plus, mais au début, c’était 20 minutes. Je sais que c’était vraiment pour aller voir.

Et là, il y a un hack aussi, c’est d’aller chercher le chemin le plus court pour prendre de l’information. Donc là, pareil, on se fait coacher par la championne du monde, elle est leadeuse de la Coupe du monde en ce moment, pourquoi ? Parce que, alors là, attention entre la différence de ce n’est pas parce que tu es bon athlète que tu es bon entraineur, mais en tout cas, il y a la notion de tout cela. Mais pareil, on short. Au lieu d’apprendre par nous-même, on prend un coach.

Olivier Roland : Et on l’a vu très bien quand tu as été voir tous les mecs de la Côte d’Azur là qui pouvaient t’apprendre quelque chose. C’est aussi une très bonne habitude à avoir de se poser la question de comment je peux hacker la connaissance.

Franck Rocca : Tout à fait, c’est vraiment d’aller chercher directement la personne qui a la plus belle information à l’instant T, boom directement. Ça, pour moi, et même là dans le business quand on fait des recrutements ou quand on a des besoins techniques ou quoi que ce soit, on va embaucher, on va prendre en freelance un consultant. Comme ça, on va récupérer ses 30 ans d’expérience en une journée de consulting qui coûte 1 000 € et on a gagné 10 ans.

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