Les 10 mesures que j’adopterais en tant que ministre de l’Éducation (272/365)

Que feriez-VOUS si vous étiez Ministre de l’Éducation ? Donnez-moi vos réponses dans les commentaires et découvrez les 10 mesures phares que je prendrais si j’endossais ce rôle ! En pleine campagne présidentielle, ce sujet est non seulement brûlant, mais aussi en écho avec la critique du système éducatif que je fais dans mon dernier livre.

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Les 10 mesures que j’adopterais en tant que ministre de l’Éducation (272/365) » :

Récemment, je me suis fait interviewer par un journaliste du Figaro et il m’a demandé ce que je ferais si j’étais ministre de l’Éducation.

Il posait cette question pour deux raisons.

  • parce qu’on est en pleine campagne présidentielle, donc, c’est un sujet brûlant.
  • parce que toute la première partie de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études », c’est une critique du système éducatif et de comment contourner ses limites.

Puis, le titre du livre est aussi un peu piquant.

Donc, je vais vous partager mon point de vue.

La toute première chose que je ferais, c’est partir de ce constat : on peut passer 20 ans ou plus de sa vie sur les bancs de l’école et on ne nous apprend jamais à apprendre.

Comment expliquez-vous que vous passez 20 ans de votre vie et plus à apprendre sur les bancs de l’école sans jamais qu’on vous explique comment faire ça de la manière la plus efficace possible ?

C’est un des nombreux manquements du système scolaire et je suis évidemment loin d’être le seul à en faire le constat.

Par exemple, la répétition espacée a été prouvée depuis des décennies par les scientifiques comme étant une méthode d’apprentissage plus efficace que la méthode analogique utilisée à l’école.

En 1988, il y a un article au titre évocateur qui a été publié par des scientifiques américains : « La répétition espacée, une étude de cas sur l’échec de l’application des résultats de la recherche psychologique à l’école ».

Là c’est clair, on ne peut faire plus limpide comme titre.

Dans cet article, les chercheurs s’insurgent sur le fait que déjà en 1988, aucune école ne met en pratique dans son programme et sa manière d’enseigner l’apprentissage de la répétition espacée alors que c’est prouvé par des méta analyses, des études d’étude qui montrent que c’est plus efficace.

Ils se disent : mais pourquoi ?

Et 30 ans plus tard, aujourd’hui, on en est toujours au même point alors même qu’on a accès à des tas de logiciels gratuits ou peu chers qui nous permettent d’utiliser la répétition espacée de manière encore plus efficace qu’en 1988.

D’ailleurs, sur cette incapacité de l’école à mettre dans ses programmes les découvertes de neuroscience, Elkhonon Goldberg qui est professeur neurologique dit ceci : « Les parents se souviennent de leurs expériences scolaires. Et comme ils y ont survécu, ils sont souvent méfiants à propos des éducateurs qui expérimentent avec leurs enfants. Ce qui explique pourquoi, en général, les écoles n’ont pas intégré beaucoup les découvertes des neurosciences et de la psychologie cognitive. »

Ça, c’est un classique puisque l’école échoue de manière régulière et systématique à mettre en pratique dans son programme et ses méthodes les découvertes des neurosciences au point même que Terry Sejnowski qui est un chercheur en neuroscience dit : « Apprendre est trop important pour être confié uniquement à l’école. Apprendre à apprendre est une compétence que vous pouvez maitriser personnellement. »

Ce qu’il veut dire, c’est qu’il est vain d’attendre que le système scolaire se réforme et qu’il vaut mieux développer cette compétence par soi-même.

En tant que ministre de l’Éducation, c’est la première chose que je ferais : mettre en place un groupe de scientifiques et d’enseignants qui puissent faire la liaison entre les découvertes des neurosciences et les programmes scolaires.

Et une des premières choses que je ferais, c’est de mettre l’enseignement de la répétition espacée, puis l’utilisation de la répétition espacée au cœur de l’enseignement.

C’est prouvé comme le plus efficace. Pourquoi ne pas l’utiliser ?

Un autre grand échec sur le système scolaire, c’est que tout le monde s’accorde à dire aujourd’hui qu’il est vraiment très important de savoir parler une langue étrangère, en premier lieu l’anglais.

C’est évident que c’est une compétence extrêmement importante au XXIe siècle dans notre monde ouvert et globalisé.

D’après la commission européenne, 19 % des Français estiment pouvoir tenir une conversation simple dans une langue étrangère.

On a une compétence que tout le monde reconnait comme étant ultra importante d’un côté et d’un autre côté, on a 19 % des Français qui savent parler dans une langue étrangère. C’est un autre signe de l’inadéquation du système scolaire par rapport au besoin du monde moderne.

Nous avons aujourd’hui un système qui a une inertie énorme et qui prend du retard de plus en plus sur un monde qui, lui, avance de plus en plus vite.

Donc, l’autre réforme que je ferais en tant que ministre de l’Éducation, c’est d’améliorer l’enseignement de l’anglais.

Il y a une grosse contrainte aujourd’hui dans le système éducatif français, c’est qu’on demande aux profs d’anglais de parler impeccablement français. Du coup, on se retrouve avec la plupart des profs d’anglais qui sont des francophones natifs et qui enseignent l’anglais avec un accent français.

C’est terrible parce que l’anglais est une langue qui est beaucoup plus difficile à l’oral qu’à l’écrit. Il y a des tas de sons qui n’existent pas en français. Et dès le départ, on part sur de mauvaises bases puisqu’on apprend déjà avec l’accent du prof, et qu’en plus, la méthode n’est pas suffisamment axée sur l’oral et beaucoup trop sur l’écrit.

Donc, la première réforme que je ferais, c’est qu’on demanderait davantage aux profs d’anglais d’être impeccables dans leur anglais que d’être impeccables dans leur français.

Vous ouvrez les portes à des profs anglophones natifs, et je pense qu’il y aura plein de profs aux États-Unis ou en Grande-Bretagne ou ailleurs qui aimeraient passer quelques années à enseigner en France.

C’est une des raisons qui explique que les Québécois ont en général un bien meilleur anglais que les Français parce qu’ils ont davantage accès à des profs dont c’est la langue natale.

Puis, je rendrais obligatoire le fait de faire un cursus de 6 mois à l’étranger dans une zone linguistique différente. Aller en Wallonie ne suffit pas.

Et ça serait énormément de bénéfices.

Découvrir un nouveau pays, une nouvelle culture, une nouvelle langue, ça va ouvrir des horizons intellectuels et culturels aux jeunes qui n’existent pas aujourd’hui. Je pense que c’est tout à fait possible d’organiser des échanges de manière systématique avec des pays européens.

Bien sûr, ça demande un budget que je n’aurais peut-être pas si j’étais vraiment ministre de l’Éducation. Mais je vous donne un programme idéal. Et finalement, ce que je vais partager avec vous, c’est plutôt des choses que vous pouvez vous-même appliquer parce que vous ne pouvez pas tout attendre du système scolaire.

Un des autres grands bénéfices du fait de faire des études à l’étranger au moins quelques mois, c’est que ça a été prouvé, réprouvé et re-réprouvé qu’il est beaucoup plus efficace pour l’apprentissage d’une langue d’apprendre les autres matières dans cette langue plutôt que de juste avoir des cours sur cette langue.

Donc, si je veux devenir meilleur en anglais, il vaut mieux que je suive des cours d’histoire, de géo ou de maths également en anglais plutôt que de juste suivre des cours d’anglais.

C’est pour cela que les classes européennes ou les classes bilingues sont une idée absolument géniale et que c’est une honte que le programme scolaire de 2016 l’a supprimé. Et je suis d’accord avec les candidats qui souhaitent rétablir ces classes.

Ensuite, comme je l’ai brièvement abordé, l’école fait quand même un mauvais job pour préparer les jeunes au XXIe siècle.

Je reprends une étude qui était faite par l’OCDE qui s’est intéressé aux compétences les plus importantes pour le XXIe siècle et voici les 4 compétences majeures que l’école devrait enseigner d’après elle :

  1. Être plus créatif.
  2. Former son esprit critique
  3. Résoudre efficacement les problèmes
  4. Mieux prendre des décisions.

Je pense que l’école, en tout cas au niveau universitaire, fait un bon boulot aujourd’hui pour enseigner le « former son esprit critique ».

Par contre, pour « être plus créatif, résoudre efficacement les problèmes et mieux prendre des décisions », il y a beaucoup de choses à dire.

Le plus gros morceau dans tout ça, c’est la créativité.

Picasso disait : « Tout le monde nait artiste, le problème est de rester artiste en grandissant ».

Et mon sentiment est que l’école étouffe la créativité de beaucoup d’élèves.

Sir Ken Robinson est un spécialiste de l’éducation et il a fait une conférence TED qui est l’une des conférences les plus visitées du site. C’est une vidéo qui a été vue plus de 44 millions de fois et ça augmente de mois en mois.

Il dit que le problème de l’école, c’est qu’avant tout, elle veut former des bons ouvriers, des bons salariés. Et donc, elle vise une certaine uniformité.

Il y a aussi des matières qui sont plus valorisées que d’autres. Par exemple, les maths sont plus mises en avant que la danse.

Il donne l’exemple d’une petite fille qui avait énormément de mal à se concentrer et à apprendre avec la manière dont on lui enseignait et à qui on avait prédit qu’elle allait complètement louper sa vie.

Cette petite fille s’est révélée être une des danseuses les plus talentueuses du XXe siècle au point que c’est devenu une des danseuses les plus célèbres. Cette danseuse, c’est Gillian Lynne.

Et comme le dit Sir Ken Robinson, le problème, c’est que les programmes scolaires ont été faits par des personnes qui sont avant tout académiques et qui n’ont pas le même rapport au corps que peut l’avoir une danseuse par exemple.

Il dit d’ailleurs en rigolant que pour beaucoup des gens à l’université, leur corps, c’est juste une manière de déplacer leur TED jusqu’aux salles de conférence.

Donc, en tant que ministre de l’Éducation, je mettrais la créativité davantage au centre du système éducatif. Et pour ça, je pense que le mieux, c’est de s’inspirer des écoles Montessori qui a priori font un excellent travail pour ça.

Enfin, nous sommes au XXIe siècle. Nous sommes à une période de notre histoire où on ne peut garantir à personne que son métier existera encore dans 20 ans. Et que même s’il existe encore, il sera sans doute profondément chamboulé par l’arrivée des nouvelles technologies.

Il y a 20 ans, la plupart des gens n’avaient pas de connexion internet et n’avaient pas de téléphones portables.

Du coup, une compétence fondamentale de notre siècle, c’est la volonté et la capacité d’apprendre tout au long de sa vie parce que si quand vous sortez de l’école, vous pensez que vous n’avez plus besoin d’apprendre quoi que ce soit, vous allez forcément vous faire dépasser par le monde qui lui progresse de plus en plus vite.

Ça rejoint le fait de mettre l’apprentissage de l’apprentissage au cœur du programme scolaire.

À partir du moment où les gens savent apprendre efficacement, c’est plus facile de les motiver pour apprendre tout au long de leur vie.

Il faut essayer d’encourager l’autonomie, l’entreprenariat, donner aux jeunes l’envie d’apprendre par eux-mêmes en leur montrant comment faire, leur montrer qu’il y a des sources incroyables, des trésors dans les bouquins.

On ne donne pas assez aujourd’hui aux jeunes l’envie de lire.

Ensuite, aujourd’hui, la gamification est quelque chose qui est énormément utilisé par les startups dans le domaine de l’éducation pour créer des applications qui rendent addictes ses utilisateurs au fait d’apprendre davantage.

Le meilleur exemple en est Duolinguo.

En tant que ministre de l’éducation, je ferais développer soit en interne soit avec des partenariats et des startups des applications gamifiées qui vont permettre aux jeunes d’apprendre en s’amusant avec des mécanismes de motivation qui sont tirés des jeux vidéos.

À une époque où il y a tellement de jeunes qui jouent aux jeux vidéos et qui ont accès à des smartphones ou des tablettes ou des ordinateurs, ce serait vraiment quelque chose qui va les aider à rester concentrés, rester motivés et à accompagner leurs apprentissages.

Il y a aussi quelque chose d’important. C’est qu’avec la multiplication de tous ces appareils et de toutes ces interfaces web addictives, il y a de plus en plus de jeunes qui ont du mal à rester concentrés sur les méthodes d’enseignement old school.

Ce qu’il faudrait aussi, c’est enseigner à rester davantage concentré à l’école.

On reste 20 ans ou plus de nos vies sur les bancs de l’école. C’est important de savoir se concentrer dans le monde présent.

L’outil roi pour apprendre à se concentrer et avoir d’énormément de bénéfices pour la santé et le bonheur qui a été prouvé par la science, c’est la méditation.

C’est tellement prouvé et re-réprouvé que la méditation a énormément d’effets bénéfiques, et qu’en plus, elle améliore la concentration et la capacité d’apprentissage.

On devrait rendre obligatoire la méditation dans chaque classe.

Juste 5 minutes de médiation par jour, ça a déjà énormément d’effets bénéfiques prouvés par la science. C’est aussi quelque chose que je ferais en tant que ministre de l’Éducation.

On entend à tous les coins des rues qu’il est important de faire un boulot qui nous passionne.

Confucius disait : « A partir du moment où tu fais quelque chose qui te passionne, tu ne travailleras plus jamais de ta vie. »

C’est un super conseil. Sauf que concrètement, quand vous regardez autour de vous, il y a combien des personnes qui sont vraiment passionnées par leur travail ?

Au-delà de cette étude sur terrain que chacun peut faire, il y a une étude très sérieuse faite par l’organisme GALLUP portée sur 230 000 employés dans 142 pays qui montre que dans le monde, 13 % des gens adorent leur travail et 24 % des gens haïssent leur travail.

En France, c’est encore pire puisqu’il n’y a que 9 % de gens qui déclarent aimer leur travail et 26 % le haïssent activement.

Entre ces deux, la majorité des Français ont un boulot ni trop génial ni trop nul, qui est l’équivalent de pantoufles en ciment. C’est confortable, ce n’est pas exactement ce qu’on voulait, on ne s’épanouit pas vraiment, mais au moins ça fait manger et ce n’est pas si terrible que ça.

Et ça, c’est le plus grand échec du système éducatif moderne. Il échoue à faire en sorte que les gens fassent vraiment ce qui les passionnent.

Pour faire en sorte que les gens fassent davantage ce qui les passionne, c’est vrai que c’est un challenge très difficile.

En tant que ministre de l’Éducation, j’encouragerais l’exploration, le droit à l’erreur.

Cela rejoint aussi à cette idée de la créativité : on ne peut pas être créatif si, à un moment, on ne se trompe pas. On n’explore pas des voies sans issues juste pour voir si ce n’est pas quelque chose qui nous plaît.

Et je rendrais obligatoire le fait de faire un projet concret quel que soit le projet et qui aussi dans l’idéal se déroulait à l’étranger.

Ça peut être de créer une entreprise ou une startup, d’aller enseigner le français au Tibet ou au Brésil, créer une ferme bio au Maroc ou de mettre des panneaux solaires au Sénégal, d’avoir en tout cas un projet qui soit un véritable challenge et qui teste sur le terrain les compétences qui auront été données aux jeunes qui vont tester leur autonomie, leur créativité, leur résiliente tout en leur enseignant à apporter de la valeur au monde tout en recevant de la valeur en échange.

Évidemment, tout ça aurait un coût qui serait sans doute important.

C’est évident que les véritables ministres de l’Éducation ont un budget et beaucoup de contraintes. C’est aussi l’inertie de tout un métier, tout un corps qui parfois résiste beaucoup aux changements.

Un des messages principaux que j’essaie de partager dans « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études », c’est que ces problèmes du système éducatif qui sont aujourd’hui bien réels, c’est vain d’attendre que le système se reforme parce qu’il y a une inertie énorme, et pendant ce temps, le monde va de plus en plus vite.

Il est beaucoup plus efficace de prendre soi-même conscience de ces problèmes et d’essayer de les contourner par nous-même.

Aujourd’hui, on a accès à des choses technologiques absolument incroyables. Il y a des milliards de ressources avec Internet. Ça n’a jamais été aussi facile.

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