Je RÉPONDS à VOS questions PERSONNELLES ! (139/365)

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– « Pourquoi le système éducatif est OBSOLÈTE et comment HACKER votre éducation (Facebook Live, 137/365)  » : https://www.youtube.com/watch?v=OwSilWDYcAM&list=PLlNaq4hbeacS07PeMWQJLiCEcWpNqX_IH
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– « Comment INVESTIR à Miami (et pourquoi c’est IMPORTANT)  » : https://www.youtube.com/watch?v=CtWsXWvU5j8&list=PLlNaq4hbeacRenu3pV65ir209cjP6CZph
– « Comment être PROPRIÉTAIRE de 97 appartements à 44 ans en partant de ZÉRO  » : https://www.youtube.com/watch?v=NUfzblskM50&list=PLlNaq4hbeacQ-O84SlCxsAPQtUNAcqXda
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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Crédit image Arnold Schwarzennegger :
Titre : Arnold Schwarzenegger speaking at the 2012 San Diego Comic-Con International in San Diego, California, before being presented the Inkpot Award.
Auteur : Gage Skidmore
Lien : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Arnold_Schwarzenegger_(7588448982).jpg

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Je RÉPONDS à VOS questions PERSONNELLES ! (139/365) » :

Il y a quelques jours, je vous ai proposé de me poser toutes vos questions dans les commentaires d’une vidéo et vous avez été nombreux à le faire.

J’ai eu des questions sur tout : comment réussir dans sa vie, comment réussir dans son business, etc., mais aussi pas mal de questions personnelles.

Et je me suis dit que je n’ai jamais répondu à des questions perso. Il est temps peut-être de me dévoiler un peu, de partager avec vous certains aspects de ma vie.

Donc, je vais traiter toutes les questions sur ma vie privée que vous m’avez posées, parfois aussi sur comment je m’organise en tant qu’entrepreneur. Puis dans les prochaines vidéos, je répondrai aux autres questions : comment réussir ma vie, comment réussir ma boite.

Mais je pense que là, à travers mes réponses, je vais pouvoir vous partager un ou deux trucs pour vivre une vie qui vaut la peine d’être vécu.

Monsieur Loupio dit : « Salut Olivier ! Avec ton métier d’entrepreneur pour lequel tu voyages souvent, as-tu le temps pour une vie de famille, voire as-tu envisagé d’avoir des enfants ? Merci à toi ! ».

Aujourd’hui, je n’ai pas de famille. J’ai une copine qui est brésilienne, mais je n’ai pas d’enfant.

Pour l’instant, je n’envisage pas d’avoir des enfants dans un avenir proche parce que je suis amoureux de ma liberté, j’adore prendre ma liberté.

Voyager 6 mois par an, c’est un kif extraordinaire pour moi. Je ne me vois pas amener un enfant au monde dans les circonstances actuelles.

Je ne m’interdis pas d’avoir des enfants. Je ne sais pas si ça va changer un jour.

Aujourd’hui, j’ai 35 ans. Je sais que j’ai l’air plus jeune. En général, c’est ce qu’on me dit. Mais toute ma vingtaine, je me disais : « On verra à trente ans si j’ai envie d’avoir un enfant ». Et là, je me dis : « on verra à 40 ans ».

Donc, je ne sais pas si à 40 ans, je vais me dire la même chose : on verra à 50 ans. Mais à 50, je pense que ça va commencer à être un peu tard. Soit que je vais me mettre à changer.

Pour l’instant en tout cas, je n’ai toujours pas envie d’avoir des enfants.

2e question : « Pourquoi tu as choisi l’Angleterre ? »

C’est une bonne question.

Je voulais bouger de la France. Et quand j’ai décidé de bouger de la France, j’ai dû prendre la décision de : où est-ce que je vais dans le monde ?

Après mûre réflexion, je me suis dit que je vais rester en Europe dans un premier temps pour plusieurs raisons : déjà parce que j’adore l’Europe, je trouve qu’on vit vraiment dans un coin du monde extraordinaire, qui a une diversité de culture, de langue absolument géniale, tout en ayant une monnaie commune dans la plupart des pays.

En ayant un niveau de paperasse qui est minima, je peux me balader avec ma carte d’identité partout en Europe. Je trouve cela extraordinaire.

En plus, tout est vraiment proche l’un de l’autre. Si vous faites plus de 2 heures d’avion, il faut y aller.

Même Moscou, j’avais fait Paris-Moscou en 2013. On m’avait invité à une conférence et j’ai dû faire 2 heures et demie de vol.

Quand j’ai décidé de quitter la France, c’était début 2015. C’était aux alentours de mars 2015 que j’ai pris cette décision.

Cela faisait un bon moment que je voyageais tout le temps, mais je n’avais jamais mis ma base autre part qu’à Lille. Donc, c’est aussi pour moi une manière de tester.

Une fois, je me suis dit que je reste en Europe, j’ai envisagé trois villes différentes.

J’ai envisagé Barcelone parce que j’adore cette ville. En tout cas, c’était ma ville préférée en Europe jusqu’à ce que je découvre Lisbonne. Mais j’ai découvert Lisbonne après avoir déménagé à Londres.

J’ai envisagé Barcelone, j’ai envisagé Amsterdam.

J’adore Amsterdam, j’y suis allé plein de fois. C’était à 3 heures de voiture de Lille. Et j’ai envisagé Londres.

Finalement, j’ai décidé de prendre Londres pour des tas de raisons.

D’abord, c’est un pays de langue anglaise. Je parle l’anglais. Donc, c’est super pour moi.

C’est un hub. C’est le meilleur hub d’Europe. On peut balader partout dans le monde très facilement. Il y a un nombre incalculable de vols directs partout.

Je suis allé à Phœnix il y a à peu près un an et j’ai pris le seul vol direct de l’Europe vers Phœnix. C’était de Londres à Phœnix.

C’est aussi très proche de ma ville natale, Lille, et de Paris où je vais assez régulièrement pour des conférences.

Je savais qu’avec mon bouquin, j’allais aller à Paris pas mal de fois. Je suis à 15 minutes de la gare Saint-Pancras à pied. Cela me permet d’aller voir mes amis et ma famille si j’en ai envie facilement. Et ça me permet d’aller à Paris facilement, ce qui est aussi sympa.

Londres, c’est la Silicon Valley de l’Europe. Si le Brexit se produit, on verra si ça va rester le cas. Mais aujourd’hui, Londres, c’est la ville la plus dynamique d’Europe.

Moi qui suis entrepreneur, je trouve génial de baigner dans un environnement qui est tellement pro entrepreneur.

Il y a des tas d’entrepreneurs et d’investisseurs, de gens très intéressants qui vivent ici.

Au-delà de ça, la ville en elle-même est géniale comme Amsterdam, comme Barcelone. C’est une ville énorme avec des milliards de trucs à faire. J’adore.

Il se trouve que c’est un upgrade par rapport à Lille alors que j’adore Lille. J’y ai vécu 30 ans et j’avais aussi envie d’un peu de changement.

Souvent, on dit que le plus grand inconvénient de Londres, c’est le climat. C’est vrai qu’il n’est pas extraordinaire. Honnêtement, entre Lille et Londres, il n’y a aucune différence de climat. Et entre Paris et Londres, la différence est minime.

Quand je veux voir le soleil, je prends l’avion. Et comme je voyage souvent, ça ne me pose pas de problème.

Après, l’été, Londres c’est une caresse. C’est moins imposé que la France, mais ce n’est pas compliqué vu que le seul pays qui est plus taxé que la France, c’est le Danemark. Ce n’est pas trop dur.

Mais là, c’est vrai que je paie à peu près deux fois moins d’impôts en Angleterre plutôt qu’en France.

Après, c’est loin d’être un paradis fiscal. Puis, Londres est une ville extrêmement chère. Vous gagnez de l’argent en faisant ça que si vous êtes déjà à un bon niveau de revenu.

Je pense qu’il faut être dans les 3 à 400 000 euros de bénéfice au moins pour commencer pour que ça soit intéressant de venir à Londres pour ça. Mais il y a d’autres parties de l’Angleterre qui sont moins chères.

J’avais aussi des amis qui sont déjà sur place puisque je connaissais déjà 4 ou 5 personnes.

Il y a même Stéphane Leduc mon éditeur que j’ai déjà interviewé. Je savais qu’il était en Angleterre à Londres. Et par pur hasard, on est dans le même quartier. En plus, on est voisin. Donc, c’est vraiment sympa.

J’adore Londres. Je suis tombé aussi amoureux de Lisbonne récemment. J’envisage fortement d’y aller vivre, mais je ne sais pas encore combien de temps je vais rester à Londres. Peut-être encore un an ou deux. Lisbonne me tente vraiment beaucoup surtout que j’apprends le portugais et je commence à devenir pas trop mauvais.

Aidouni Nadiro dit : « Quels sont les personnes (célèbres ou non) qui t’inspirent et qui ont changé ta vie ? »

Ce n’est pas la même chose entre inspirer et entre changer ma vie.

Il y a des tas des gens qui ont changé ma vie, qui ont cru à mon projet quand j’ai arrêté l’école à 18 ans. J’ai bossé un an sur mon projet de création d’entreprise pour créer ma boite à 19 ans. J’ai eu des clients qui ne se sont pas laissé abattre par ma jeunesse, j’ai eu des clients qui ont été des mentors.

Un de mes premiers mentors, c’était un client qui avait une petite entreprise d’édition et de rédaction éditoriale sur le web qui avait géré une entreprise de 200 personnes, qui avait beaucoup de bouteilles. C’est lui qui m’a donné les premiers bons conseils.

Notamment, il a dit un truc qui est resté encore gravé là : « Il y a beaucoup de gens qui savent faire des coûts, mais les meilleurs entrepreneurs, c’est ceux qui savent faire du business récurrent. »

A l’époque, je ne faisais que du dépannage informatique. Et je me suis dit : il faut que je mette en place des contrats de maintenance.

Mon business, avant, était difficilement rentable. A partir de moment où j’ai mis cela, du jour au lendemain, il est devenu rentable. J’arrivais à payer les factures tous les mois quoiqu’il arrive grâce à ces contrats de maintenance. Et tout le reste, c’est du bonus.

Pour parler plus des gens qui m’inspirent :

– Il y a Tim Ferriss l’auteur de « La Semaine de 4 heures » dont j’ai déjà parlé à peu près 10 milliards de fois. Il a d’autres livres « 4 heures par semaine pour un corps d’enfer» et « The 4-Hour Chef » qui sont aussi deux excellents livres.

J’en parle moins parce qu’ils ont moins impacté ma vie. Mais « La Semaine de 4 heures » a vraiment complètement changé ma vie. C’est cela qui m’a permis d’avoir une entreprise qui est au service de ma vie plutôt que ma vie soit au service de mon entreprise.

– Il y a aussi Josh Kaufman, l’auteur du livre « Le Personal MBA », mais aussi le créateur de la liste des 99 livres du Personal MBA. J’en ai lu beaucoup des livres du Personal MBA.

Pour la petite histoire, j’ai préfacé l’édition française du Personal MBA. C’était quelque chose qui me tient à cœur.

Je vais aussi être le préfacier de l’édition française du tout prochain livre de Tim Ferriss « Tools of Titans ». Cela me fait très plaisir, surtout que la préface américaine est écrite par Arnold Schwarzenegger. C’est un honneur que j’écrive la préface en français de l’édition française.

– Seth Godin qui a donné l’idée à Josh Kaufman de faire cela.

– Jeff Walker qui a créé la formule « Le lancement orchestré » et qui a écrit aussi le bouquin « Launch », sans qui mon entreprise ferait peut-être 1/10, même maximum 1/4 ou 1/3 de ce qu’elle fait aujourd’hui parce que c’est vraiment la méthode la plus efficace pour vendre sur le web.

– En France, il y a Sébastien marketeur français que j’ai embauché comme mon premier consultant marketing qui a fait un excellent travail.

Il donne des conseils, je donne des conseils, c’est un échange de bon procédé. Mais à l’époque, c’est lui qui m’a donné le coup de pied aux fesses dont j’avais besoin pour gagner un an. Sans lui, je pense que j’aurais mis un an de plus à lancer mon premier produit.

– Il y a aussi Ray Kurzweil qui est l’auteur de « Serons-nous immortels » et d’autre chose qui m’a inspiré énormément sur les compréhensions de la disruption que vont amener et qu’amènent déjà les nouvelles technologies, et surtout l’évolution exponentielle des technologies.

Sam le grincheux qui dit : « Quelle est ta plus grande déception professionnelle ? »

Si on parle de la plus grande dans ma vie, j’ai fait une erreur de recrutement absolument démentiel.

J’en ai eu beaucoup de déceptions.

Quand tu deviens entrepreneur, tu dois apprendre à devenir entrepreneur à être chef d’entreprise. Quand tu te mets à recruter et à manager, c’est encore une autre dimension parce qu’à côté, tu gères l’humain. Tu as quelque chose de beaucoup plus complexe qui se met en place.

La toute première personne que j’ai embauchée, par chance, j’avais trouvé quelqu’un de bien, mais je n’ai pas réussi à la motiver. Ce qui fait qu’il est parti très vite au bout d’un mois et demi ou deux mois.

La personne que j’ai prise en remplacement a été la plus grande erreur que j’ai jamais faite de recrutement dans ma vie. Cette personne n’était juste pas bonne.

Lors du test que je lui ai fait passer, elle a à peine réussi à passer le test. Et normalement, j’aurais dû m’arrêter là. Mais le truc, c’est que j’ai fait une énorme erreur.

Je l’ai embauché pour faire plaisir puisque j’avais un client qui était une association d’insertion de jeunes en difficulté. Il me disait que cette personne a du mal et qu’elle est un petit peu handicapée. J’ai voulu leur faire plaisir, plutôt que de voir d’abord si la personne était apte au poste ou pas.

Je ne calcule même pas le nombre de fois où cette personne est revenue du client avec l’ordinateur parce qu’elle n’arrivait pas à le dépanner et c’est moi qui finalement devais gérer le problème.

Et une fois, elle a été dépannée l’enseigne KIABI à Lille pour faire un truc. Elle revient et elle me dit qu’elle a réussi à dépanner le truc. Je me suis dit dans ma tête que d’habitude, elle ramène l’ordi. Mais là au moins, elle a réussi à le faire.

Et là, on reçoit un appel paniqué du client qui dit : « Monsieur, il faut revenir tout de suite. Il y a toute la caisse du premier étage qui ne fonctionne pas, nous sommes en jour de solde. Sur un jour de solde, Monsieur, c’est inadmissible. »

Elle avait débranché un câble réseau sans le rebrancher et c’était le câble réseau qui alimentait toutes les caisses du premier étage. Heureusement qu’il y avait encore les caisses du rez-de-chaussée qui fonctionnaient. Mais du coup, il y avait une queue énorme dans le magasin.

Je peux vous dire que j’ai eu de la chance, beaucoup de chance que KIABI soit sympa et décide de ne pas me poursuivre parce que là, je pense que j’aurais été sur la paille avec le manque à gagner qu’ils ont eue.

Suite à cet épisode, elle est encore en période d’essai, j’ai dû lui dire que ça ne pouvait pas continuer comme ça. Donc, on s’est séparé. Au bout d’un moment, quand ça ne fonctionne pas, ça ne fonctionne pas.

En quête du bonheur dit : « J’aimerais beaucoup que tu puisses me dire, nous dire, si tu es un homme heureux ? Si ta réussite professionnelle t’apporte joie et bonheur dans toutes les sphères de ta vie ? »

Récemment, je faisais un Facebook live et quelqu’un m’a posé la question : sur une échelle de 1 à 10, combien tu noterais ta liberté aujourd’hui ?

J’ai dit 9 à 9,5 puisque j’ai une liberté tellement extraordinaire. J’ai une entreprise qui est au service de ma vie qui me permet de travailler un nombre minimal d’heures. Je peux me consacrer à mes passions. J’aide des dizaines des milliers de personnes chaque mois et quand je vous rencontre, je vois tout l’amour que vous m’envoyez aussi. Ça me fait vraiment très plaisir. Je n’ai jamais rencontré un hater dans la vraie vie.

Tous les gens viennent me parler parce que je leur apportais quelque chose. Ils me remercient, etc. cela me fait super chaud au cœur de savoir que toutes mes vidéos vous aident concrètement, que cela vous inspire, que ça vous fait avancer.

Je ne compte plus le nombre d’histoires qu’on m’a raconté de : « Olivier, j’ai quitté mon job et j’ai lancé ma boite, ça cartonne, merci. » Ou « Avant, j’étais surmené. Aujourd’hui, j’ai beaucoup plus d’équilibre dans ma vie, merci beaucoup, etc. »

Je suis amoureux de ma liberté. Ça me rend vraiment heureux d’avoir autant de liberté.

Après, la liberté implique aussi la responsabilité. Ce n’est pas parce qu’on est libre qu’on est forcément heureux. Ça dépend des personnalités. Le fait d’être libre me rend heureux.

Après, on s’habitue très vite à tout ce qu’on a et c’est très facile d’oublier à quel point c’est une chance et un miracle.

C’est extraordinaire que je puisse me lever le matin à l’heure que je veux, que je puisse voyager 6 mois par an quand ça me chante, que je puisse faire quelque chose qui me passionne, que je puisse me consacrer 3 ans et demi avec l’écriture d’un bouquin tout en me baladant partout en découvrant des choses extraordinaires.

J’utilise the five minute journal. C’est le truc qui m’aide à toujours par contraste me rendre plus heureux.

Après, je ne prétends pas être l’homme le plus heureux du monde. Il y a des parties de ma vie où je pense que je pourrais être plus heureux dans mes relations.

Il y a des moments, bien sûr, où je ne me sens pas très heureux comme tout le monde. C’est assez rare.

Je suis quand même naturellement quelqu’un d’assez optimiste, d’assez heureux, qui voit beaucoup le bon côté des choses. Et ça me fait plaisir.

D’ailleurs, souvent, on me donne 28 ou 30 ans d’âge. Donc, 5 à 7 ans de moins.

Après, c’est ma théorie, je me trompe peut-être, mais je pense que c’est en grande partie dû à cette vision positive que j’ai de la vie qui est aussi un choix.

J’ai discuté récemment avec une journaliste qui m’interviewait parce que je faisais un article sur « Comment rebondir après un échec ».

Et je dis : il nous arrive à tous des crashs, des échecs, et des choses qui ne sont pas positives. Et au final, on a le choix. Soit, on l’utilise comme prétexte pour sombrer dans la dépression, pour rester dans l’apathie, ne rien faire. Soit on l’utilise comme source de motivation pour se booster.

Par exemple, j’ai eu beaucoup de difficulté avec mon père quand j’étais jeune, dans mon adolescence, et même avant parce que mon père était alcoolique.

Il ne l’est plus aujourd’hui. Ça fait 20 ans qu’il n’a pas bu une goutte d’alcool. Mais il était alcoolique, dépressif, ce n’était vraiment pas facile.

Je pense qu’on peut avoir de types de réaction par rapport à ça. Soit je dis : Ok, mon père était dépressif et alcoolique, donc j’ai aussi l’autorisation d’être dépressif et alcoolique. Ou au contraire, je me suis dit : c’est ça être dépressif et alcoolique ? C’est ça que je ne veux pas être. Je ne veux pas être ça.

Donc, mon père m’a quand même permis de voir ce que je ne voulais pas devenir.

C’est quand même énorme parce qu’il y a tellement des gens qui ne savent pas ce qu’ils veulent, mais ils ne savent pas non plus ce qu’ils ne veulent pas être.

De ne pas savoir ce qu’on ne veut pas être et ce qu’on ne veut pas faire, c’est déjà résoudre la moitié de l’équation de : qu’est-ce que je veux devenir ?

Laurie dit : « Bonjour Olivier. Je trouve tes vidéos super, j’aime beaucoup ton état d’esprit et ta façon de voir les choses. T’arrive-t-il d’avoir des petits coups de mou, des jours où tu peux être moins motivé et que tu n’as pas trop envie de faire ce qui était prévu. Que fais-tu dans ces cas-là ? »

Bien sûr que cela m’arrive évidemment. Je suis un être humain, je ne suis pas un robot.

Ça m’arrive d’être là en me disant qu’aujourd’hui, j’avais prévu de faire des trucs de ouf. Mais là, je crois que je vais juste aller me prendre un chocolat et regarder un film.

Je suis dans une vie où j’ai beaucoup de liberté et où typiquement, s’il y a des jours où je n’ai pas envie de faire grand-chose, je ne fais pas grand-chose tout simplement.

Après, ça arrive quand même assez rarement. Je suis quelqu’un d’assez dynamique qui aime faire pas mal de choses.

Puis, j’ai acquis une certaine discipline aujourd’hui.

Quand je n’ai pas envie par exemple d’aller en sport, ça n’arrive pas parce que j’ai externalisé ma volonté et que j’ai un coach sportif avec qui je prends rendez-vous.

Donc, si je n’ai pas envie d’aller au sport, je dois lui appeler et lui dire pourquoi je laisse tomber. Il est venait m’expliquer pourquoi il doit me facturer quand même.

J’ai externalisé ma volonté, ce qui fait que ça arrive beaucoup moins. Puis, maintenant, j’adore tellement faire le sport que dès que je suis à Londres, je boucle 3 heures par semaine.

En plus, comme je voyage 6 mois par an, ça ne fait qu’une heure et demie par semaine en moyenne dans l’année.

Mais pour répondre à ta question, je pense que ta question, c’était : que faire quand on se sent un peu démotivé et qu’on veut se booster ?

J’essaie quand même de faire les premiers pas qui vont me faire faire les choses que je m’étais promis de faire tout simplement.

Zelos Wilder demande : Dans quoi investis-tu tes sous ?

Aujourd’hui, j’investis mes sous dans différentes choses.

D’abord, j’investis dans des fonds indiciels. J’en parle au tout début de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études », dans le chapitre 2, sur le fait que l’école est très mauvaise pour enseigner les finances personnelles.

J’investis dans des trackers.

En gros, c’est des logiciels qui vont suivre des indices boursiers. Il n’y a aucun risque parce qu’une entreprise peut disparaitre, mais les indices boursiers ne vont pas disparaître. En moyenne, cela prend 10 % par an de manière générale sur le long terme.

Donc, j’investis là-dedans. C’est bien, c’est automatique et ça me prend 5 minutes par an. C’est absolument extraordinaire.

Ensuite, j’investis dans l’immobilier.

J’ai 6 appartements en France, j’en ai un à Miami. Et là, je suis dans le processus d’acheter un immeuble à Montréal.

Pourquoi dans ces trois pays différents ?

Parce que je pense qu’il ne faut pas mettre ces œufs dans le même panier, et que ça implique d’avoir des investissements dans des zones monétaires et dans des zones géographiques et au niveau de la loi qui sont différentes.

L’appartement à Miami, aujourd’hui, c’est un appartement qui me rapporte quelque chose comme 800 dollars par mois. Il était à 850 dollars. Je crois que je suis à peu près à un rendement de 9,5 % net. Donc, c’est vraiment très bon.

Par contre, mes appartements en France, les 6 appartements, je suis passé par une société qui s’appelle la société Elise Franck.

Au début, j’avais acheté un appartement à Paris. J’étais très content. Du coup, j’avais signé pour 5 appartements. Et très honnêtement, ça a été la descente aux enfers avec eux. Donc, je ne vous recommande absolument pas cette société.

Là, je pense que je vais finir par revendre tout mon parc immobilier tellement je m’arrache les cheveux avec ça.

Parfois évidemment, dans une stratégie d’investissement, tout ne se passe pas comme prévu et on fait des erreurs.

Là, j’ai fait une erreur, c’était de faire trop confiance à cette société, dans cette personne. Une chose que je ne ferai plus.

L’investissement à Montréal, je suis dedans en ce moment puisque j’ai la chance de connaitre Stéphanie Milot qui à 44 ans a 97 appartements. Aujourd’hui, elle a 45 ans.

J’investis aussi beaucoup dans des startups.

Là, c’est plus de manière philanthropique. Mais je dois avoir investi presque 130 ou 140 000 euros dans différentes startups de The Family.

The Family est un incubateur que j’adore qui a été co-crée par Oussama Ammar, Nicolas Colin et Alice aussi. Des personnes que je respecte beaucoup qui font un boulot extraordinaire et qui d’ailleurs viennent de s’implanter à Londres. Ça me fait très plaisir.

Là, il y a des espérances de gain. Et c’est plus parce que j’ai envie de donner un coup de main à des entreprises qui démarrent. Ça me fait plaisir de faire partie de cet écosystème.

Ensuite, j’ai investi un peu dans de l’or pour avoir d’investissement sécurisé. J’ai un fond d’urgence qui va me permettre de vivre à peu près 6 mois sans aucun gain. Mais aujourd’hui, il faut quand même vous dire que je suis à un tel niveau de recette financière que je pouvais si je voulais ne pas travailler pendant plusieurs années.

Ça dépend de comment je m’organise, mais je peux sans doute ne pas travailler pendant 10 ans, voire même toute ma vie si je me délocalise en Thaïlande.

Après, soyons très clair. Ne pas travailler pendant toute ma vie, ça va juste m’ennuyer. J’adore ce que je fais. Donc, ce n’est pas vraiment du travail que je fais en fait.

Mais très honnêtement, le meilleur investissement que j’ai jamais fait, j’en ai fait deux. C’est d’investir dans ma propre amélioration, dans mes connaissances et puis l’entreprenariat.

Il n’y a rien de tel que d’investir dans sa propre entreprise pour gagner de l’argent.

Aujourd’hui encore, c’est mon entreprise qui est ma plus grosse source de revenu. Et tout le reste, c’est complètement annexe.

Puis, ce qui me permet aujourd’hui d’être un entrepreneur qui a beaucoup de succès financièrement, qui aide des tas des gens, et qui en plus est libre de faire à peu près ce qu’il veut, c’est toutes les connaissances et les bouquins.

J’en ai plein. Malheureusement, j’ai donné les autres que j’ai lus à la bibliothèque quand je suis allé ici à Londres.

Cela a été les meilleurs investissements de ma vie : les livres que j’ai achetés, les formations que j’ai suivies, les gens que j’ai rencontrés. Parfois, j’ai payé pour les rencontrer à des évènements.

Enfin, Alexis Dwelshauvers dit : « Bonjour Olivier. Ma question est la suivante : comment as-tu fait pour gérer la pression familiale et/ou le regard des autres lorsque tu as décidé de quitter l’école pour créer ta première entreprise ? »

Très honnêtement, mes parents n’entraient pas trop dans l’équation même s’ils n’ont pas mis trop le bâton dans les roues.

Ils voyaient bien à quel point l’école n’était pas un système pour moi. Ils se sont dits : au moins, il va tester un truc pendant un an. Et au pire, il va reprendre ses études, puis on n’en reparlera plus.

Au pire, ça ferait une année sabbatique. C’est aussi comme ça que je l’ai vendu.

Après, le regard des autres. Honnêtement, il y a eu beaucoup plus d’admiration qu’autre chose quand j’ai décidé de faire ça.

Décider à 18 ans de quitter l’école pour créer sa boite, il faut quand même en avoir dans le pantalon et ça a de la gueule.

J’ai eu des réflexions négatives. Mais au final, je n’en ai pas vraiment tenu compte parce que j’avais décidé de me lancer dedans.

C’est quelque chose qui me passionnait, qui me challengeait, où j’allais tout donner, et qui allait enfin me permettre de vivre la vie dont je voulais alors que j’étais vraiment apathique, voire même désespéré à l’école.

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