Être Optimiste va changer votre vie : 7 étapes pour le devenir

Être optimiste vous permet d’avoir davantage d’énergie et de motivation pour vos projets, et d’être plus serein et heureux dans votre vie. Comment faire donc pour être un optimiste contagieux, qui va transmettre ses bonnes vibes aux autres ? Je vous partage 7 étapes pour y arriver, tirés du livre « Comment devenir un optimiste contagieux » de Shawn Achor.

(d’ailleurs le titre original du livre est « The Happiness Advantage », ce qui se traduit par « L’Avantage du Bonheur », cela me paraît être un angle encore plus pertinent pour résumer ce livre 🙂 ).

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

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https://youtu.be/X7t9KXuW_LY

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Être Optimiste va changer votre vie : 7 étapes pour le devenir » :

Est-ce que vous ne pensez pas qu’en étant optimiste plutôt que pessimiste, vous avez davantage de chance d’être heureux d’avoir la pêche et de l’énergie pour vos projets, et donc d’être plus productif et aussi d’avoir plus de chance d’avoir une vie longue et sereine ?

Si vous pensez ça, bonne nouvelle, puisqu’aujourd’hui, je vous fais la chronique d’un livre qui vous explique justement comment devenir un optimiste contagieux.

Les 7 étapes à suivre pour devenir un optimisme contagieux d’après le livre « Comment devenir un optimisme contagieux », de Shawn Achor.

Est-ce que je peux vous poser une question franche ? Est-ce que vous êtes heureux au travail ?

Si vous écoutez cette vidéo ou que vous lisez le livre, la réponse est probablement non. Vous ne vous posez peut-être même plus la question. Une partie de vous vous dit « Fais tes 8 heures de travail comme tout le monde. Encaisse ton salaire. Eclate-toi avec, elle n’est pas belle la vie ? »

Ça vous dit quelque chose, pas vrai ?

Si le dimanche soir, c’est l’angoisse comme avant d’entrer chez le dentiste, faites une pause, ce qui vous arrive est critique. Vous êtes sur le chemin de la dépression, je sais, ça n’a pas toujours été comme ça.

Est-ce que vous vous rappelez de votre premier job quand vous avez ouvert votre compte en banque et que pour la première fois, il y avait de l’argent, votre argent ? Une joie incroyable.

Vous allez enfin pouvoir partir en vacances, vous faire plaisir, plus besoin de mendier auprès de mamie. Vous allez pouvoir faire ce que vous voulez, le bonheur.

Le matin, qui était en face de vous dans la glace, un enfant prêt à vibrer, à découvrir le monde, à le conquérir, une énergie à soulever des montagnes.

Puis, le temps a passé. Vous découvrez l’entreprise et son monde : des collègues qui rêvent d’être ailleurs, des managers pressurisés comme des citrons et du cynisme partout, mais vous ne baissez pas les bras.

Vous, vous êtes différent. Vous vous donnez à fond. Vous avez la force, vous avez l’envie. Le travail finit toujours par payer, pas vrai ?

D’ailleurs, votre manager vous remarque. Il vous refile les projets difficiles, ceux dont personne ne veut, vous faisant miroiter une promotion au bout du tunnel.

Alors, vous prenez le challenge, vous vous adaptez, vous optimisez, vous allez toujours plus vite, vous gagnez du temps. Votre travail avale petit à petit chaque seconde de votre journée.

Vous mangez devant votre ordinateur. Vous vous fixez tard, de plus en plus tard. Vous ne sortez plus, pas le temps, trop fatigué, pas envie. Trop de boulots, pas de problème. Je finirai ce week-end.

Allez soldat, vous y êtes presque. Et un jour, boom, « Merci pour ton travail. Pour ta promotion, il faudra attendre l’année prochaine, on n’a plus de budget, désolé. Merci encore pour ta contribution ». Le coup de massue, c’en est trop, le burn out vous guette. Bienvenue dans le rang des cyniques.

L’énorme majorité des salariés sont malheureux dans leur travail. Quel gâchis ! Sacrifier son bien-être, c’est comme abandonner son eau en plein désert. Alors, creusons un peu. Est-ce que vous avez ce type de raisonnement ?

Une fois que j’aurai cette promotion, là, je pourrais enfin en profiter. Une fois que j’aurai perdu du poids, je serai bien dans mes baskets.

Si oui, vous êtes à côté de la plaque parce qu’il y aura toujours quelque chose à réaliser avant de pouvoir être enfin heureux.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe un autre chemin. Il y a ce collègue qui vous sourit, toujours prêt à vous écouter, vous aider, discuter et rire, toujours de bonne humeur. Il va de l’avant.

Le résultat, vous aimez être à ses côtés. Il vit mieux et il réussit mieux.

Le bonheur, c’est comme du carburant. Plus vous en avez, plus vous allez loin. Pas besoin d’un doctorat en psychologie cognitive pour le comprendre. Vous travaillez mieux au calme que sous une tempête de critique de votre patron parce que franchement, il n’a rien d’autre à faire ?

Vous travaillez mieux après une bonne nuit de sommeil qu’après une nuit blanche au bio parce que franchement, vous l’aimez tant que ça votre open space ? Alors, je vous vois revenir avec vos scepticismes.

Comment avoir la pêche quand le travail nous mine le moral ?

C’est ce que le livre « The happiness Advantage » de Shawn Achor va nous montrer, étude à l’appui.

Pas le temps de lire le livre, pas fan de l’anglais, pas de souci, j’en ai extrait le cœur et je vous ai rajouté une sauce personnelle.

Quel que soit votre âge, votre situation, votre histoire, vous pouvez être heureux. Bonheur rime avec créativité, énergie, sociabilité, santé, travail, amitié, donc ça vaut le coup de s’y pencher un peu et vous verrez, ça change la vie.

Donc, est-ce que vous êtes prêt à changer votre état d’esprit ? C’est parti.

Les différentes étapes pour devenir un optimiste contagieux.

  • L’étape 1 est de construire votre bonheur.

On va commencer par la question de base, qu’est-ce que c’est que le bonheur ? Une vaste question, et la réponse à 100 patates, c’est ce que vous voulez : gratitude, sérénité, intérêt, espoir, fierté, amusement, inspiration, amour, joie…

En fait, le bonheur, c’est comme un chantier, à vous de le construire chaque jour et d’en faire un palace.

Il faut savoir qu’aussi votre bonheur renforce votre santé, c’est du bon sens. Tous les centenaires ont un point commun. Ils sont heureux, c’est ce qui les conserve si bien.

Bonheur rime avec bien-être, calme, motivation, des ingrédients indispensables pour trouver des solutions innovantes au travail.

C’est aussi le pilier de la négociation. Personne n’a envie de discuter avec un chien de garde alors qu’une personne sincèrement de bonne humeur peut ouvrir toutes les portes.

Passons à du concret maintenant. Voici les activités pour construire votre bonheur prouvées par des études scientifiques.

Tout d’abord, méditer. Ça réduit le stress, renforce le système immunitaire.

Pas besoin d’être un moine tibétain. Installez-vous dans un endroit calme, concentrez-vous sur votre inspiration 5 minutes par jour, faites le vide.

Planifiez des activités, anticipez un bon moment. L’imaginer, c’est de profiter de ses bienfaits en avance. Préparez vos vacances, un week-end, une sortie, un dîner, un film, ce que vous voulez.

Aidez votre prochain. Les actes altruistes font du bien à l’autre et à vous-même. Allez-y sans compter.

L’effet miroir, l’attitude est essentielle. Soyez positif, souriant et enthousiaste. Votre entourage vous le rendra.

Sortez dehors. S’il fait beau, prenez l’air. Une promenade de 10 minutes apporte calme et recharge vos méninges.

Lâchez la télévision. C’est prouvé : moins vous la regardez, mieux c’est.

Le sport, faites-en régulièrement. C’est le meilleur antidépresseur. Trouver un défouloir vous fera le plus grand bien.

Gérer les situations stressantes. Avant un rendez-vous capital, prenez 15 minutes, faites le vide. Lâchez votre speech, vous l’avez déjà relu 100 fois.

Détendez-vous, sortez, discutez et lisez un article, puis anticipez votre réussite. Visualisez-vous en train de captiver votre auditoire.

Vous l’avez compris, chaque moment est une opportunité. Une conversation, un sourire, une attention construisent chaque jour notre bien-être.

  • Le deuxième principe va vous transformer en profondeur. Il s’agit tout simplement d’avoir le bon état d’esprit.

Est-ce que ça vous arrive d’avoir régulièrement des pensées négatives du genre « je n’arriverai jamais, je n’ai pas assez d’argent, je n’ai pas les compétences, je suis trop vieux, je n’ai pas le temps, je n’ai pas la force » ?

Si oui, soyons francs, vous êtes pessimiste.

Alors, je sais, c’est dur. La vie est dure, la concurrence est rude, votre travail est dur. C’est vous qui voyez de la difficulté.

Un challenge n’est pas difficile. C’est un problème à résoudre, rien de plus. Vous limitez, résultat : vous faites du surplace.

Bonne nouvelle, vous pouvez changer la donne. Nos croyances sont puissantes. C’est ce qui différencie un champion d’un athlète moyen.

Voici deux mots-clés pour avancer.

Le premier, c’est confiance.

C’est basique. Tous ceux qui ont réussi ont la foi. Ils y croient. Mettez le paquet, découvrez vos talents, construisez sur vos atouts. Vous y êtes déjà arrivé par le passé où vous êtes à la hauteur.

Vous pouvez progresser, vous adapter, saisir de nouvelles opportunités d’un monde qui change chaque jour. Prenez exemple sur les personnes qui y sont arrivées. Passez du temps avec eux. Optez pour leur attitude, leur optimisme, leur énergie.

Je vous sens encore sur la réserve, donc voici une expérience qui va exploser vos doutes.

Tout est relatif. Combien y a-t-il d’heures dans une journée ? Vous allez me dire 24 heures. Pourtant, les vacances passent trop vite et les journées de réunion sont interminables.

Et alors, vous allez me dire « ouvrez grand vos yeux, cette étude est magique. »

Prenez un groupe de personnes de 75 ans, isolez-les. Dites-leur de se comporter, de se parler, de se tenir, de se déplacer et de s’habiller comme s’ils avaient 55 ans. Demandez-leur de raconter leur vie à cette époque. Donnez-leur des journaux de l’époque.

Prolongez cette expérience sur plusieurs mois. Quel est l’âge des participants à la sortie ? 72 ans. Sur quelques mois d’expérience, ils ont rajeuni biologiquement de 3 ans.

Imaginez ce que vous pouvez accomplir sur toute une vie. Vous pouvez ralentir les effets du temps. Alors, s’il vous plaît, arrêtez de vous plaindre, redressez-vous, allez chercher la jeunesse qui sommeille en vous. Votre corps vous le rendra.

Vous ne me croyez pas ? Alors faites confiance aux médecins, les médecins lui ont donné un nom « l’effet placebo ». Votre esprit est capable de transformer une pastille sucrée en médicament, votre esprit peut transformer la réalité. A vous de changer donc votre quotidien en paradis, vous êtes sur la bonne voie.

Revenons à votre travail parce que comment vous trouvez votre travail ? Comment vous le voyez ?

Si vous le voyez comme une corvée, vous serez incarcéré à 70% de votre vie. Donc, réagissez.

Si vous voyez votre travail comme une carrière, toujours à 200% avec un seul objectif « réussir », vous êtes ce coureur qui commence son marathon par un sprint. Burn out et dépression sont en bout de parcours.

Si vous avez de l’énergie, voyons comment tenir la distance.

Si votre travail est une vocation, il a du sens pour vous et c’est ce qui vous fait lever chaque matin, c’est ce qui vous motive dans le doute. Vous avez trouvé votre voie.

Alors, je vous vois sceptique. Vous vous dites « oui, mais je ne suis pas médecin moi », vous n’êtes pas non plus chasseur de papillons.

Donc, posez-vous ces 3 questions : Quelle est la raison d’être de votre travail ? Quel est votre impact sur vos clients, votre entreprise, la société ? Qu’est-ce que vous aimez dans votre travail ?

Je sais, les réponses ne sont pas toujours agréables. Dans ce cas, pas le choix, trouvez un autre travail, un travail dont vous êtes fier que vous présentiez avec plaisir à vos amis.

Et le prochain point est crucial. Vous n’avez pas des fois la sensation que tout va trop vite, qu’on a le temps de rien ?

Là encore, c’est une question d’état d’esprit. Tirez parti de chaque moment, vous êtes l’entrepreneur de votre vie.

Votre journée est une mine de moments inexploités : le matin, les transports, les pauses, le soir, le week-end. Fixez vos objectifs pour chaque moment. Qu’est-ce que vous voulez accomplir dans votre journée ? Quelle est la priorité ?

Le petit matin est un excellent moment pour prendre du temps pour vous : sport, passion, lecture. Personne ne vous embête avant 8h du matin, alors, levez-vous à 6h et profitez.

Au travail, maximisez votre efficacité sur les 8 heures, ne tombez pas dans le panneau des 10 heures quotidiennes. Au-delà de 15 minutes, Facebook, Youtube, les infos vous mangent le cerveau. Faites-en la diète.

Le prochain point est tiré de la vie personnelle de l’auteur, installez-vous confortablement. L’auteur explique ainsi que tout le monde a eu des clients ultra pressés, il en décrit un : le genre de client qui au restaurant veut le dessert alors qu’il n’a pas mangé le plat principal, juste au cas où on lui piquerait sa tarte aux fraises. Pensez d’ailleurs à bien réserver la vôtre.

Et l’auteur vient de livrer à son client 80% du travail. Et voilà qu’il veut vite les 20% restants, vite, le moins important.

Après, vous connaissez le refrain : tenir les délais coûte que coûte. Petit problème, l’auteur part en vacances dans une semaine, impossible d’être à l’heure sauf si l’auteur travaille pendant ses vacances. C’est ce qu’il a fait. Ah ! La jeunesse, l’espoir de la promotion, la carotte qui fait avancer l’âne.

Résultat : le client n’a jamais lu les 20% restants. L’auteur aurait pu lui envoyer un fichier vite, ça aurait eu le même résultat. Eh non ! Il n’a pas eu cette promotion, juste l’excuse qui tue « pas de budget ». Surprise ! Quelle belle leçon ! Apprenez à dire non.

Et la prochaine étape est fondamentale : Rechargez vraiment vos batteries.

Je sais, le lundi, c’est violent : Retour au travail, les soucis. Qu’est-ce qu’on était bien ce week-end, pas vrai ?

Le stress est envahissant. Si vous le laissez faire, il s’installe dans votre tête, il s’invite chez vous, il hante vos nuits. Le stress, c’est comme les verrues sous les pieds, laissez faire et ça va vite devenir invivable.

Travail et détente se complètent comme les deux jambes d’un même corps. Impossible d’avancer sans la combinaison des deux. Et si vous pensez à votre chef, c’est parce que vous êtes affalé devant la télévision, l’ordinateur, la console à ressasser la remarque qu’il vous a fait à propos de la tache d’huile sur votre chemise lors d’une réunion soporifique.

Aussi vivant qu’un légume moisi au fond de votre frigo, sortez de votre coma, débranchez-vous et passez à l’action parce que l’action atomise le stress.

N’attendez pas le week-end. Le soir, sortez et faites du sport, préparez un bon repas, jouez avec vos enfants, parlez à un ami. Bougez-vous.

Prenez le temps de dîner avec vos proches. Sentez-les sans radio. Discutez. Restez à table après manger, partagez. Des problèmes, vous en aurez toute votre vie. Ce qui compte, c’est l’importance que vous leur donnez.

Allons encore plus loin parce que les mots sont magiques. Les mots influencent l’esprit. Parler positif, c’est comme prendre soin de soi. Là où certains voient des crises, d’autres voient des opportunités. Là où certains voient des échecs, d’autres voient des enseignements. Là où certains se contentent d’un non, d’autres demandent pourquoi ?

Vous contrôlez votre bonheur, c’est à l’intérieur de vous que ça se passe. Vous avez le contrôle, vous avez la capacité d’être heureux.

  • Le principe suivant sera le véhicule vers votre bien-être, parce que l’étape 3, c’est de vous entrainer.

Plus vous jouez au tennis, plus vous êtes bon. Je sais, c’est évident. Mais attendez, la suite peut vous surprendre.

Est-ce que vous vous entrainez au bien-être ? Je vois que les sourcils se froncent. Et oui, être heureux, se sentir bien, ça demande de l’entrainement. Mais voici pourquoi vous ne le faites probablement pas.

A l’école, vous apprenez à chercher ce qui ne va pas, à résoudre les problèmes. Pareil, au travail. Le souci ? Inconsciemment, vous cherchez la petite bête. Pour la plus maniaque, rien n’est jamais assez bien.

Un exemple, nos chers avocats. Les avocats sont surentraînés à chercher les défauts, les erreurs, le négatif dans la partie adverse. C’est pour ça qu’on les paie, non ?

Résultat : trois fois plus de dépressions chez les avocats malgré un niveau de vie élevé.

Pourquoi je vous dis ça ?

Parce qu’au-delà du bien-être immédiat, vu que rien n’est parfait pour vous, ce n’est jamais le bon moment. Vous freinez, vous n’osez pas, vous attendez. Pire, vous gambergez, vous regrettez.

Mais pas de panique, il y a un remède. Et le remède, c’est être positif, optimiste, ouvert. Donc, voici comment pratiquer.

Tenez un journal. Ne vous inquiétez pas, pas besoin d’écrire un roman. Chaque jour, écrivez ce que vous avez aimé de votre journée de la veille, trois choses suffisent.

Tout est possible : un déjeuner avec un ami, une attention de vos proches, l’achat d’un cadeau, un fou rire, une activité, votre bonne humeur, une bonne nuit de sommeil. Vous verrez, ça prend une minute par jour et ça fait un bien fou.

Une astuce pour décupler les effets : partagez avec votre conjoint, proposez-lui d’écrire les siennes.

Deuxième astuce, utilisez Evernote sur votre téléphone pour tenir votre journal. C’est simple, rapide, vous ne le perdrez jamais.

Pour aller encore plus loin, racontez en détail une expérience forte de bonheur. C’est comme un voyage dans le temps. Raconter fait revivre le moment et le bonheur qu’il vous a apporté. Donc, allez-y. Faites-vous plaisir. Décrivez.

Si vous avez ri, pleurez, relisez, complétez et partagez. Simple, non, mais comme souvent, il faut le faire. Il ne reste plus qu’à pratiquer.

Je vous vois sceptique, vous dites « Mais il est dans le monde des Bisounours ou quoi ! Ne tombons pas dans l’excès ».

Il faut être équilibré. Le principe ici est d’aller de l’avant, priorité au bon, sans masquer le négatif.

  • Et le principe suivant vous fera rebondir quoiqu’il arrive, parce que l’étape 4, c’est d’échouer pour réussir.

Je sais, vous l’avez déjà entendu mille fois, l’échec est une étape vers le succès. Alors, amusons-nous.

Imaginez, vous êtes commercial dans une entreprise de trombones. Un seul but, vendre. Votre salaire est un pourcentage de vos ventes. Vous passez tous les jours des centaines d’appels à des inconnus pour les convaincre d’acheter vos magnifiques trombones. Moins de 10% de vos appels débouchent sur une vente. Le résultant, c’est au mieux des cacahuètes, au pire, des insultes. Métier ingrat, n’est-ce pas ?

Lundi 19h, votre dernier coup de fil, le 150ème de la journée. La personne décroche, il vous écoute 10 secondes et répond « Allez vous faire voir », comment réagissez-vous ?

Prenez une minute, écrivez ce que vous ressentez. Allez-y. Mettez cette vidéo en pause et prenez une minute pour décrire ce que vous ressentez.

C’est fait ? Ok.

Laissez-moi vous présenter deux personnes : Monsieur pessimiste et Monsieur optimiste. Voici leurs réactions.

Tout d’abord, Monsieur pessimiste « Eh merde ! Je perds mon temps. Personne n’achète. Je n’arriverai jamais. Et puis, je vais me faire virer, c’est la crise, je ne retrouverai jamais de travail. Ma vie est fichue.

Bientôt, Monsieur le pessimiste se soulera dans un bar miteux avec la crème des pochtrons du coin. Alors oui, j’en rajoute. Mais vous sentez le côté ridicule, non ?

Monsieur pessimiste angoisse, il en fait des tonnes. La fin du monde est à sa porte chaque jour. La crise économique n’est qu’une excuse parce qu’il y aura toujours des crises, des bouleversements, des changements.

Comprendre, s’adapter, tirer parti est la clé. Ça ne sert à rien de pleurer comme un gosse de 8 ans, personne ne va changer votre vie à votre place. Donc, laissons Monsieur pessimiste au cimetière et regardons plutôt comment Monsieur optimiste réagit ?

« Ok, pas grave. Qu’est-ce qui ne marche pas ? Comment je peux faire mieux ? Qui peut m’aider ? »

Est-ce que Monsieur optimiste est certain de devenir le vendeur du sec ? Non. Par contre, Monsieur optimiste va progresser, évoluer, trouver sa voie. Et si ce n’est pas la vente, ça sera autre chose. Il a la foi.

Donc, souvenez-vous, il y a toujours une solution qui mène vers le haut.

  • Le principe suivant est un pilier vers votre réussite, c’est l’étape 5, d’avancer pas à pas.

Si vous n’êtes pas sportif, inutile de tenter un marathon. Evident, non ? Pour y arriver, il faut s’entrainer, y aller pas à pas.

Alors, je sais, vous allez me sortir le même refrain : pas le temps, pas de sou, pas la priorité. Je veux juste une chose : des résultats, de l’argent et que ça saute. Vous n’avez pas le temps de vous entrainer. Donc, vous voilà à bâcler ce gros projet vite fait, mal fait.

Le résultat ? Du stress, des journées de 10 heures, du médiocre. Et c’est parti pour le projet suivant, même traitement. Très vite, vous ne pensez qu’à une chose, vos vacances qui sont dans longtemps vu qu’il y a trop de travail.

Et votre formation, vous faites pareil ? Peut-être que vous ne formez plus, ce qui est dangereux. Vos compétences vont se périmer comme du fromage oublié dans une voiture. Vous n’avez pas le choix vu qu’il y a trop de travail.

Arrêtez de courir, vous aurez toujours trop de travail. Vous n’aurez jamais le temps. Ce sera toujours la crise. L’entreprise ne va pas vous bichonner comme un nouveau-né, alors pensez d’abord à vous.

Et posez-vous la question : que voulez-vous faire dans un an, dans 2 ans, dans 5 ans ?

Une heure par jour pour vous former, par exemple, tôt le matin pendant que votre chef, lui, regarde Facebook.

Donnez-vous un but. Vous avancez chaque jour, vous reprenez le contrôle, vous vous sentez mieux.

Sur les projets qui comptent, prenez le temps. Mettez-vous de tous petits objectifs. C’est facile, vous y arrivez. Petit pas, petite victoire. Vous allez plus loin, vous travaillez mieux.

  • Et le principe suivant est la condition de votre réussite, l’étape 6 : Transformez vos habitudes.

J’ai une question à vous poser : est-ce que vous tenez vos résolutions du Nouvel An ?

Probablement pas. Pas besoin de dire les entrailles d’un buffle pour dire ça. Regardez autour de vous, plus de 80% des résolutions ne sont pas tenues. Et pourtant, vous le savez et c’est bon pour vous, logique.

Laissez-moi deviner : du sport, un régime, une formation, un nouveau projet, un hobby, arrêter de grignoter, passer plus de temps avec vos proches.

Vous êtes lancé, motivé, vous avez même tenu plusieurs semaines, et un jour, vous avez oublié. Un jour, deux jours, une semaine, vous êtes revenu à votre routine. Retour à la case départ avec l’envie d’essayer en moins.

Et oui, une bonne habitude, c’est comme un secret, c’est très difficile à garder. Et pourtant, 90% de nos actions sont habituelles automatiques.

Pourquoi c’est vital d’avoir de bonnes habitudes ?

C’est simple. Avez-vous l’habitude d’être calme, de bonne humeur, de vous concentrer, de faire du sport, de bien vous nourrir, de vous reposer, de méditer ?

Je vois revenir Monsieur pessimiste « Je n’ai plus l’âge pour ça », faux ! Quel que soit votre âge, vous pouvez prendre de nouvelles habitudes.

Vous êtes prêt à relancer des habitudes. Et pour commencer, aucun problème, reste à ancrer votre habitude dans le marbre. Le secret ? La facilité.

Un exemple, un secret télévision, mail, Internet, c’est si simple. Même un singe y arrive, certains ont déjà essayé.

Internet est un trou noir, vous clignez à peine des yeux et 30 minutes sont passées. Au-delà, vous ne pensez plus, vous êtes parti. Lavage de cerveau. Plus c’est simple, plus on s’accroche.

Si seulement tenir votre nouvelle habitude était aussi facile, donc faites tout pour. Si vous faites un régime, préparez des encas diététiques toujours à portée de main. Si vous faites du sport, faites-le le matin, planifiez tout. Au lever, tout est prêt, enfilez vos baskets et c’est parti.

Revenons à l’appel du canapé devant la télé.

Je sais, c’est facile, un nouveau mail à regarder toutes les 10 minutes, les nouvelles Facebook, et vous voilà engluer à nouveau dans votre routine. Il y a quand même mieux à faire, non ?

Là aussi, c’est la même potion magique. Plus c’est compliqué, moins on consomme. En clair, débarrassez-vous des tentations.

Pour votre régime, jetez les sucreries. Mettez la TV à la cave. Mieux, vendez-la, donnez-la.

Au travail, c’est pire encore. Nous passons 107 minutes par jour sur nos emails, nous avons besoin d’autant pour nous reconcentrer.

30% de votre temps est gaspillé en distraction. Donc, enlevez tous les raccourcis vers la distraction : les logins automatiques, les favoris, les alertes email. Pratique et simplicité, c’est tout.

Le dernier principe va vous donner la force de tout surmonter.

  • Etape 7 : Prenez soin de vos relations, elles sont votre oxygène.

Pas de besoin d’aide, je gère. Ne comptez que sur soi-même.

La plus grosse bêtise que vous pouvez faire. Vos problèmes sont des poids sur vos épaules. Portez-les seuls et vous finirez chez les experts psychologues, psychiatres, psychanalystes. Et pour être plus atteint, marabouts, voyants et autres illuminés.

Tout ça, pour parler d’une enclume que vous vous êtes forgé tout seul. Malheureusement, à l’ère de l’ultra communication, beaucoup gardent leurs soucis pour eux. Pas étonnant qu’on ait des cabinets de psy à tous les coins de rue. Parlez, échangez, écoutez. Plus vous en parlez, moins ça fait mal.

Laissez-moi deviner, vous avez plus de 200 amis sur Facebook. Cool ! Une armée. Pour échanger les dernières blagues, photos de chats mignons, c’est le top. Mais combien vous écoutent quand ça ne va pas ? Combien vous aident ? Ce sont eux vos vrais amis.

Lâchez l’ordinateur, passez du temps avec ceux prêts à vous voir, vous écouter, vous conseiller. Partagez vos galères, compatissez, riez, vos relations importent plus que tout.

Un chiffre, après une crise cardiaque, vous avez trois fois plus de chance de vous en sortir si vous avez un entourage derrière vous. Au travail, c’est la même chose. Ne la jouez pas perso au boulot, vous ne réussirez pas seul. Partagez votre savoir avec vos collègues. Ne faites pas comme ces carriéristes prêts à brûler leurs collègues sur la place publique pour 2% d’augmentation.

Seul, vous allez plus vite, mais ensemble, on va plus loin.

Pour finir, voici deux conseils pour aimer votre travail.

  • Faites-vous des potes au boulot. Avec ça, vous pourrez endurer n’importe quoi.
  • Et travaillez avec un chef que vous appréciez et vous progresserez.
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