– Le blog de Laura « Ma Petite Forêt »
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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
#RebellesIntelligents #DéveloppementPersonnel
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment Laura a gagné 61 000 € en 6 mois avec son blog sur les promenades » :
Je suis venue habiter dans une grande maison, un ancien relais de chasse, dans la forêt de Sologne, à deux heures au sud de Paris.
Finalement, les symptômes de stress ont complètement disparu de ma vie. Donc, quand je dis que je ressens un bonheur bien largement supérieur à la sensation que j’avais avant, je me base sur ces symptômes-là : une vraie qualité de vie, plus des contacts de bien meilleure qualité avec mon entourage, et encore cette question du temps. Et cette question du temps long, elle n’a pas de prix.
Bonjour, je m’appelle Laura Nicolas, j’ai 37 ans. Mon métier, c’est celui d’enseignante chercheur à l’Université. Je donne des cours de français, langue étrangère. Donc, j’ai décidé de créer un blog qui était effectivement dans l’éducation, mais plus spécifiquement dans l’éducation des enfants dans la nature et par la nature, pour accompagner les enfants à la sensibilisation vivant, et à travers cela, à un apprentissage même des matières scolaires mais dans la nature, donc en dehors des salles de classe traditionnelles.
J’étais une citadine. Il était donc tout à fait naturel pour moi d’avoir eu un poste en Université parisienne. Donc, ma vie avant, c’était métro-boulot-dodo. Mais ce qui s’est passé pour moi, cela a été une sorte de tremplin par rapport à cette vie qui était un peu stressante. Et finalement, j’ai découvert Olivier Roland un peu par hasard, je pense que c’était sur Facebook.
Il y a une phrase que j’aime énormément qui est suivante : « La chance, c’est quand la préparation rencontre l’opportunité ». J’étais déjà en train de questionner mon rythme de vie, le lieu dans lequel j’étais. A ce moment-là, j’ai rencontré Olivier Roland et sa formation, et je me suis dit « c’est là ma chance, il faut saisir l’opportunité ». Je n’ai pas tergiversé longtemps, j’ai acheté la formation.
Ce que j’ai trouvé chez Olivier Roland, que je recherchais, c’était une méthode. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’était la rigueur des étapes par lesquelles il nous fait passer. La progression qu’il propose, les réponses qu’il donne à toutes les questions que j’ai pu avoir au fur et à mesure de ma progression, pour moi, c’est un accompagnement en or, très bien pensé, très didactique dirait-on dans le monde dans l’ingénierie et de la formation.
Avec Olivier Roland, on a quelqu’un qui a déjà passé les étapes, qui est passé exactement par toutes les étapes où il nous emmène. Donc, on a un leader devant nous qui nous y emmène avec bienveillance et ce que j’ai énormément apprécié avec énormément d’humour.
Je suis blogueur pro à temps partiel, donc si on doit compter en termes d’heures, on est à peu près à 30 heures par semaine sur le blog. Et le reste du temps, je suis effectivement sur mon emploi de départ, donc enseignement et recherche.
C’est un métier à temps complet qui est celui de blogueur chercheur où je vulgarise ce que j’ai pu développer moi-même en recherches scientifiques.
Le produit de formation que j’ai mis en place s’appelle « L’Ecole du Dehors ». Cette formation, elle est construite un peu comme un tronc commun de master – évidemment, on ne se refait pas – mais avec beaucoup plus de liberté pédagogique.
Je m’adresse à un public très varié, mais à 50% enseignants, des enseignants de l’éducation nationale ou de l’enseignement privé qui veulent mettre leur classe dehors, c’est-à-dire au moins une fois par semaine, emmener les enfants pour faire classe tout simplement dehors. Que ce soit les maths, la lecture, l’EPS, l’éducation physique et sportive, dehors.
L’autre public va être des gens qui n’ont pas le métier d’éducateur à la base mais qui voudraient se lancer dans l’aventure de l’école dehors, de l’éducation par la nature.
Le blog est créé depuis un an. J’ai fait un premier lancement au bout du 6 mois, un autre au bout de 9 mois et un autre au bout de 12 mois. J’ai 3600 personnes dans ma mailing list, et j’ai 120 personnes inscrites dans la formation aujourd’hui.
Globalement, les gens à qui je m’adresse sont les gens qui ne veulent plus du numérique, qui ne veulent plus de la technologie. Ils veulent du présentiel, ils veulent de la nature, du naturel.
On n’est pas du tout dans une clientèle cible de l’infoprenariat. Donc, je me suis dit « je me lance là-dedans en m’étant prête au fiasco ». Et ce qui s’est passé, c’est exactement l’inverse, c’est-à-dire que ce premier lancement a généré 52 ventes et très exactement 30 000 € de ventes. Ce qui fait qu’aujourd’hui, après ces 3 lancements qui se sont faits en finalement 6 mois seulement, je suis à 61 000 € de CA.
Je ne m’attendais absolument pas à avoir autant de clients au démarrage, et j’ai pris peur parce que moi qui suis dans le service public où on ne parle pas du tout d’argent, on est beaucoup dans le bénévolat…, j’avais un rapport extrêmement crispé à l’argent. Et là, de vous dire par exemple le CA que j’ai pu faire qui est un CA associatif, je tiens à le dire, mais si cela aurait été de l’entreprenariat, cela aurait été pareil, je n’ai aucun problème, je n’ai plus de problème à parler d’argent. Et ça, c’est aussi quelque chose que j’ai su travailler grâce à Blogueur Pro.
J’ai beaucoup aimé l’aspect chaleureux de la formation et de la communauté. Il y a les anciens qui sont là. Ils nous aiguillent, ils nous épaulent, on se retrouve également avec des gens qui sont comme nous.
La formation « L’Ecole du Dehors » a pu générer suffisamment d’argent pour pouvoir monter une association qui contient un refuge animalier, une université populaire et une Ecole Forêt. Je m’aperçois que le temps que je dégage grâce à l’apport de l’infoprenariat, je le réinvestis.
Plus de temps, cela va être quoi ? Cela va être prendre le temps de lire, prendre le temps d’aller vers la connaissance, d’aller vers des choses, toujours pour moi, bien sûr, mais aussi pour les stagiaires que j’accompagne, pour les enseignants, pour les collègues, pour les enfants que j’accompagne à l’Ecole Forêt également.
Autre chose également, prendre le temps de vivre, c’est-à-dire d’être au contact de la nature. La promenade, par exemple, va être quelque chose qui prend tout son sens. Le temps aussi d’écouter les stagiaires, d’être là lors de nos rendez-vous en visio ou par téléphone, de vivre dans le moment présent, cela, c’est vraiment quelque chose que j’ai pu apprendre à faire avec le temps qui m’était donné grâce à l’infoprenariat, bien sûr.
Même si on est dans l’infoprenariat, on vit dans une localité avec des personnes bien précises. On est quand même localement sur des discours d’affiliation « On va acheter là-bas, on va faire marcher la boulangerie, on va faire marcher l’épicerie, le bar-tabac », et en échange, ces personnes-là vont volontiers communiquer sur nos activités. Donc, on est vraiment dans les allers retours et du don/contre-don avec eux.
A vivre ici dans ce lieu un peu béni des dieux, on va être au contact des éléments. Le feu est une valeur vitale en zone rurale parce que c’est ce qui va nous amener chaleur et température clémente pendant l’hiver.
Les moments de vie commune, qu’elle soit familiale, qu’elle soit associative, auprès des personnes qu’on informe aussi puisqu’il y a des personnes qui viennent nous voir, à qui on va distribuer des flyers, tous ces moments de vie sont sur du temps moyen, long, c’est-à-dire qu’on va prendre le temps d’échanger. Tout cela va vraiment être une qualité de vie à laquelle je ne suis plus du tout prête aujourd’hui à renoncer.
En fait, le blogging, il est ancré dans une réalité de terrain. Et ce n’est pas parce qu’on est blogueur qu’on est déconnecté de réalité physique, voire institutionnelle. Très clairement, un des exemples, cela a été la sollicitation par plusieurs institutions pour venir faire de la formation à l’Ecole Dehors. Il y a eu des invitations à des conférences, des invitations à des salons, donc ce sont des choses qui se sont faites à partir du blog.
Alors, ce que je pourrais dire à quelqu’un qui hésite avant de se lancer dans une aventure comme celle de Blogueur Pro, c’est que la peur, c’est une réaction extrêmement bien fondée. Et c’est un très bon signe d’avoir peur parce que comme on dit « La peur n’évite pas le danger. En revanche, elle nous permet aussi de sortir de nos zones de confort pour aller chercher le meilleur. » Et c’est exactement comme cela que j’analyse le premier pas dans lequel on va s’engager. On a toujours ce petit moment où on va se dire « mais qu’est-ce que je suis en train de faire ? »
Et cette peur, en fait, cela va être un moteur. La peur de se penser, elle est normale et elle peut nous pousser en avant. Qu’elle ne nous retienne pas, c’est tout ce qu’on lui demande. C’est une aventure, mais qu’est-ce qui peut se passer de pire que de rater peut-être telle ou telle dimension ? Ce n’est pas si grave finalement.
Et là, ce qui est excellent avec Blogueur Pro, c’est que justement, Olivier Roland nous donne tous les outils pour réussir à passer ces étapes-là. Donc, il n’y a absolument aucune raison valable concrètement de se rater.
Dans le pire des cas, on a appris énormément de choses, on se dit « bon, je réinvestirai plus tard » ou « cela a été une super aventure ». Point final. Cela vaut de toute façon la peine d’être vécu, je pense, parce que cela nous montre de quoi on est capable et cela peut aussi être une étape pour une autre aventure dans nos vies.
Donc, cette peur qui peut nous retenir, on la regarde en face, elle est là. On se dit « d’accord, puisque c’est par là que tu me dis que j’ai peur d’aller, je vais justement foncer dans cette direction. »
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