Peux-tu gagner de l’argent en publiant du contenu sur de l’histoire, de la géographie, de l’analyse de films ou de séries, bref de la culture ? Je réponds dans cette vidéo 🙂
La BD de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » est prévue le 19 octobre dans toutes les bonnes librairies des pays francophones (France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Québec, et aussi les pays africains) et dans toutes les bonnes librairies francophones dans les autres pays ! 🙂
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Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire
A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
#RebellesIntelligents #DéveloppementPersonnel
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment Gagner de l’argent avec la culture ?! » :
Salut les Rebelles Intelligents.
Je suis à Lyon et je continue à répondre à vos questions pour fêter la sortie de la version illustrée de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études ». Donc, je réponds à la question de Sébastien Petit sur la chaîne YouTube « Peut-on vivre d’un blog sur une passion qui ne répond pas à une problématique, mais plutôt une passion culturelle, l’histoire-géo ou des analyses de films, séries par exemple ? »
Avec le modèle que je vais enseigner, cela va être compliqué de faire cela parce que le modèle que j’enseigne est basé sur le principe suivant. C’est un entonnoir en fait. Tu vas publier du contenu qui va permettre aux gens de résoudre un problème, une frustration, de s’améliorer dans un domaine qui les intéresse.
Ce contenu gratuit que tu vas diffuser sur ton blog, sur ta chaîne YouTube, sur ta face Facebook, sur tout l’écosystème va attirer naturellement un public qualifié. Par exemple, je ne sais pas, tu enseignes comment devenir un meilleur judoka, tu sais que les gens qui regardent tes vidéos, qui lisent ces articles, à la base, ils ne sont pas forcément intéressés par la culture des carottes en haute montagne. On est d’accord. Ils sont intéressés par le judo. C’est une première étape de qualification.
Ensuite deuxième étape, tu vas proposer un bonus, typiquement un livre numérique ou une formation gratuite pour inciter les gens à s’inscrire à ta newsletter. Dans le cas d’un prof de judo, cela va être « 7 erreurs à ne pas commettre quand vous démarrez le judo », ou « comment avoir une ceinture noire en moins de deux ans », ou « 5 astuces pour devenir un meilleur judoka ». Et là, tu sais, pareil, que les gens qui s’inscrivent dans ta mailing list, ce sont des gens qualifiés. Tu vas pouvoir les contacter quand tu le souhaites en restant raisonnable bien sûr sur la fréquence. Tu vas te constituer une liste de prospects qualifiés.
Et ensuite avec cette liste sur le reste de l’écosystème, tu vas vendre des produits, là typiquement une formation sur le judo. Et oui, on peut tout à fait vendre une formation sur le judo en ligne. Tu peux vendre des ateliers, des workshops, des formations présentielles, des livres ou même des produits physiques. On pourrait envisager que tu puisses vendre des ceintures de judo, des kimonos, ce genre de choses.
Est-ce que tu peux utiliser ce business model d’infopreneur finalement ?
Quand tu n’aides pas les gens à résoudre un problème, c’est beaucoup plus compliqué parce que là, tu es plutôt dans un business d’influenceur. C’est quelqu’un qui est plutôt dans le divertissement. Cela peut être dans le divertissement éducatif comme mon ami Chris de la chaîne Poisson Fécond que je suis d’ailleurs venu voir ici à Lyon, cela peut être du divertissement pur. Tu peux faire de l’éducation pure, mais si tu veux être influenceur, à un moment, il faut que tu mettes de l’humour, en tout cas, quelque chose qui intéresse les gens.
Cela peut être du storytelling, cela peut être des émotions. Ce n’est pas forcément l’humour, mais en général, c’est ce qui marche le mieux, c’est ce que la plupart des influenceurs font. Cela peut être du rêve. Donc si par exemple, tu dis « on va parler d’histoire-géo », plutôt que de dire « oui, voilà, on va parler aujourd’hui de l’économie de Burkina Faso », ce qui va probablement attirer 17 personnes, dont 5 mamies égarées, tu dis « Ok, aujourd’hui, je vous emmène au Burkina Faso ». Et hop, tu prends l’avion et tu vas au Burkina Faso et là, tu racontes les trucs. Là, tu vois et tu rencontres les gens et tu fais des choses un peu étonnantes et tu te connectes aux personnes locales. Et là, cela peut plaire. C’est une possibilité. Tu peux mettre de l’humour. Il y a beaucoup d’influenceurs qui font ce genre de choses.
Dans ce cas, le business model va être différent parce que tu ne vas pas gagner de l’argent vraiment en vendant des produits, même si tu pourrais, mais c’est plus compliqué. Tu vas t’appuyer sur les deux piliers traditionnels des influenceurs qui sont, un, la publicité, ce que te rapportent les pubs sur Facebook, sur Tik Tok… et, deux, les placements de produits, donc les marques qui vont te payer pour mettre en avant un produit, un service. Pourquoi pas ?
Ce business model a des avantages, mais le gros inconvénient par rapport au business d’infopreneurs, c’est qu’il faut faire des millions et des millions de vues pour que cela soit rentable. Il te faut beaucoup d’abonnés pour que cela soit rentable, alors qu’à trafic égal, le business d’infopreneur est largement plus rentable que celui d’influenceur, c’est clair.
Après, en avantage dans celui d’influenceur, tu as plus d’abonnés si tu fais bien ton truc. Donc, tu as un peu plus de reconnaissances, cela dépend de ce que tu cherches. Cela peut être aussi un inconvénient. Si tu es quelqu’un de plutôt discret, tu es quand même toujours en train de rechercher des partenariats avec des marques, des sponsors… tu es limité dans ta liberté d’expression parce que si tu parles de sujets trop controversés, les marques ne voudront plus travailler avec toi, les marques veulent des gens plutôt lisses qui s’adressent à la masse, donc qui ont des sujets politiquement corrects.
Quand tu es infopreneur, tu ne peux pas te permettre de tout dire non plus, mais tu es déjà un peu plus libre parce que ce sont des gens qui t’aiment bien qui te suivent. Tu as des clients en direct et tu n’as pas besoin de l’accord de marques, tu n’as pas besoin de plaire à toutes les marques. Quand tu es influenceur non plus, mais quand tu es infopreneur, tu as plus cette liberté de parler un peu de ce que tu veux.
Les deux business model ont leurs avantages et leurs inconvénients, il y en a qui sont plus adaptés à certaines personnes que d’autres. Mais le business model que j’enseigne, celui de l’infoprenariat à travers le marketing de contenu, c’est possible de l’utiliser en partie pour du divertissement, en tout cas de l’éducation sans résoudre et aider les gens à résoudre des problèmes mais c’est plus difficile, et dans ces cas-là, je te recommanderais plutôt de t’orienter vers un modèle d’influenceur.
J’espère que j’ai bien répondu à ta question. Si toi d’ailleurs qui es toujours là, tu as une question à me poser sur comment créer et développer un business sur le web, comment avoir un business au service de ta vie, comment être plus libre, tout ce qui vient en tête sur lequel d’après toi, je pourrais t’aider, partage cela en commentaire.
Et puis, je vous rappelle que je fais cette série de vidéos pour fêter la sortie de la version illustrée de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » dans toutes les bonnes librairies francophones de toute la francophonie mondiale. Et si tu veux recevoir un extrait, tu es libre de le faire en cliquant sur le lien là juste en dessous ou qui apparaît dans la vidéo.
Je te dis à demain pour la prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas : sois rebelle, sois intelligent et fais partie des gens qui explorent les business model et qui choisissent celui qui est le plus adapté à eux. Tchao.
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