Comment fréquenter des personnes riches pour s’inspirer d’elles ?

🎙️ L’interview complète dont est tiré cet extrait « Comment Franck Rocca est devenu multimillionnaire après avoir raté ses études »
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : Comment fréquenter des personnes riches pour s’inspirer d’elles ?

#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment fréquenter des personnes riches pour s’inspirer d’elles ? » :

Olivier Roland : Et ça faisait longtemps que tu voulais créer un business et que tu ne voyais pas l’opportunité, ou tu t’es dit « tiens, je vais juste… », tu n’as peut-être même pas pensé en termes de business à ce moment-là, tu t’es dit « tiens, voilà juste une manière de faire de l’argent » ?

Franck Rocca : Si. Là, j’ai pensé en termes de business parce que là, justement quelque chose qu’on n’a pas dit, c’est déjà à l’âge de 7-8 ans, malgré que je n’aimais pas l’école, etc., je voulais trouver des astuces pour aimer l’école. Je ne sais pas si cela existe encore, mais j’emmenais mes parents le dimanche, pas tous les dimanches, à faire des brocantes. Pourquoi ? Pour acheter des sortes de sacs de billes, de bigaros… c’est pour jouer aux billes dans la cour de récréation et je les revendais à l’unité à mes camarades. Donc, j’avais déjà cette âme de transformer de la valeur. En plus, en tant qu’infopreneur, on est vraiment là-dedans, peut-être encore même des fois différemment de l’entrepreneur.

J’avais déjà cela, je pense, cette fibre-là, ce côté-là à 20-22 ans, je ne sais plus quand j’ai passé mon diplôme. C’était déjà, oui, d’avoir mon business en fait, de pouvoir me dire « yes, je gagne du vrai argent de par moi-même et pas sous l’égide de quelque chose ». Parce que quand j’étais entraineur de natation, c’était au sein d’une association sportive qui la plupart du temps, dans les villes, il n’y a que ça puisqu’il faut une piscine quand même pour pouvoir nager et à un moment donné, c’est compliqué. Donc, je me dis « Ok, je veux être mon propre chef ». Les pompiers, ce n’était pas pour moi. Trop de 25 hectares de hiérarchie… Monsieur, monsieur, monsieur, tout le monde se prend pour ton papa, ce n’était pas pour moi.

Du coup, là au moins, j’étais « Ok, je fais ce que je veux ». Donc, j’ai démarré step by step et cela a été vraiment une très grosse partie de ma vie.

Olivier Roland : L’entreprenariat, oui.

Franck Rocca : Et sur la leçon de natation notamment.

Olivier Roland : Et oui, parce que finalement, tu dis que tu avais beaucoup de petits boulots comme cela, mais tu ne te sentais pas un peu à ta place, parce que souvent les Rebelles intelligents, ils ont du mal avec la hiérarchie comme tu le dis, le fait d’avoir un patron et tout cela.

Franck Rocca : C’est cela. C’est pour cela qu’au final, ce diplôme, je savais qu’il n’allait pas me faire rentrer dans un comté fonctionnariat, vraiment ce salariat pur puisque l’association, tu ne vois personne, tu n’es pas à la mairie. Tu es dans une piscine. Et pareil, les entraineurs, tes amis, tes collègues, ils ne sont pas salariés. Oui, certes, on est payé avec un salaire, mais on n’est pas salarié parce que déjà on a des horaires qui sont en fonction des gens quand ils vont à la piscine. Déjà les enfants, ils sont à l’école la journée. Donc, c’est le matin tôt, le soir en fonction.

Déjà, tu as hacké le système de ne pas avoir des horaires de boulot à 8h-17h, tout ce genre de choses, d’être dans un milieu sportif. Pour moi, je n’étais pas salarié. J’étais entrepreneur et j’aidais des gens qui m’ont demandé qu’ils soient meilleurs dans la natation. J’avais déjà cette âme de « Ok, je prends quelqu’un qui est dans une situation actuelle et je le transforme pour qu’il arrive à sa situation désirée, en champion de France de natation, en champion régional… »

Olivier Roland : C’est intéressant. On va y venir, mais c’est exactement ce que tu fais aujourd’hui. Donc, tu as eu cela très tôt.

Ton premier business était à 22 ans. Tu gagnais déjà suffisamment pour ne faire que cela ou tu devais quand même faire tes petits boulots à côté ?

Franck Rocca : Celui-là et long story short puisqu’en fait, il a été quand même en step by step. Quand j’ai eu le diplôme, les premières saisons, je restais chez moi dans le Var, etc. J’avais un poste soit sur une plage, soit dans un camping pour m’assurer un volume financier et de leçons parce que je n’avais peut-être pas encore la bougeotte d’aller chercher dans les villas privées, etc., pas forcément le shift mental encore qu’il fallait. Et la nuit, je travaille en boîte de nuit. Du coup, j’avais en gros trois salaires différents.

Et après, je me suis dit « Ok, ce n’est pas suffisant, je peux aller chercher plus ». Donc, c’est là en fait où, je crois que là on est en 2006, quelque chose comme cela, où je me dis « Ok, le Var, c’est bien, mais il y a plus d’argent dans le 06 ». Mais quand je dis plus d’argent, c’est plus de…

Olivier Roland : Le 06, c’est quel département ?

Franck Rocca : Les Alpes-Maritimes. Et je me dis « c’est beaucoup surtout de villas d’étrangers qui ont leurs villas secondaires et donc qui vont venir la plupart du temps avec des enfants, la plupart du temps avec une piscine, du coup, je vais aller voir ce qu’il y a à faire. » Là, je me suis mis sur une plage déjà avec un gros, gros salaire où je peux déjà faire tous les clients fortunés de la Croisette à Cannes, la célèbre avenue où il y a tous les hôtels de luxe et les palaces même, et donc, j’allais à domicile.

Olivier Roland : Alors, tu as fait du démarchage de porte important.

Franck Rocca : J’avais les cartes de visite, j’avais à l’ancienne. J’avais mis un panneau sur le ponton, j’avais les cartes de visite et j’avais à l’époque utilisé ma carte de « j’investis pour recevoir ». Et je pense que j’avais aussi toujours cette fibre-là, d’avoir cette capacité de dire « Ok, je mets de l’argent maintenant, je ne sais pas ce que cela va me rapporter, mais en tout cas, ça ne peut être que positif ».

Donc là, je fais une publicité dans le magazine des plages. Cela m’a coûté trois bras que je n’avais pas. Je pense qu’à la fin de la saison, cela m’a rapporté zéro client. Mais peut-être simplement que cela m’a juste donné dans ma tête le feu de me dire « Je l’ai fait le magazine, je vais avoir plein de clients », et donc quoi qu’il en soit d’aller le chercher.

Et je pense que cela aussi, c’est super important comme image et inspiration à avoir. C’est que parfois, ce n’est pas parce que tu vas acheter quelque chose, investir dans quelque chose qui lui, exactement, va te donner le résultat, mais en tout cas, cela t’a donné le momentum pour ne jamais t’arrêter derrière ou donner l’envie de se faire entendre.

Moi, c’est ce qui s’est passé puisque je pense que je n’ai jamais eu un appel de la publicité de ce magazine qui m’avait coûté à l’époque, je crois, 1500 €. Donc, c’était l’argent que je n’avais pas, j’avais dû aller chercher partout ce qui me restait. Et donc, voilà, bref.

Et là, pour la petite anecdote également, je n’avais pas de scooter, j’habitais encore chez mes parents à Fréjus et je n’avais qu’un vélo. Et quand le train fonctionnait, on sait très bien la SNCF française, c’est un peu quand elle veut et quand elle veut sur tout l’été. Et j’arrivais des fois où je terminais à 23 heures ma journée à Mandelieu chez une personne, un milliardaire qui avait plein de choses, etc., un double villas, j’y allais entre passerelles, enfin bref, c’était un truc de dingue et je devais rentrer en vélo.

C’est-à-dire, je me levais à 6h du matin, je prenais le train ou pas. J’allais, donc j’arrivais sur la région cannoise, je faisais mes leçons. J’arrivais juste la journée à la plage, je continuais, je faisais mes leçons et je rentrais vers 10-11h en vélo de Cannes à Fréjus, c’est à peu près une heure et demie, deux heures de vélo, et pour repartir 4 heures après.

Olivier Roland : Donc, tu avais des clients plutôt aisés ?

Franck Rocca : Tout à fait.

Olivier Roland : Et c’est intéressant. C’était très malin de ta part. On voit toujours cette envie de hacker le système. Tu t’es dit « Ok, j’ai mon business, comment je peux avoir la meilleure clientèle possible, la meilleure qualité ? » Et j’imagine, tu me dis si je me trompe, mais que tu avais aussi comme vision de pouvoir apprendre de ces gens-là. Ce n’était pas juste pour avoir des clients.

Franck Rocca : Et c’était exactement cela puisqu’en fait, depuis, je ne sais plus quel âge, peut-être 16-17 ans, que j’avais vu mon père faire cela à l’un de nos voyages en Amérique du Sud, je crois au Paraguay. J’avais un carnet d’idées. Et en gros, c’est mon carnet que j’ai toujours dit « c’est mon billion dollars notes », où en gros, j’avais toutes mes idées milliardaires… Et donc, avec ces gens-là, au bout de quelques semaines quand j’ai lié de l’amitié puisqu’en fait, j’apprenais à nager aux enfants et je coachais les parents. En gros, je leur faisais perdre du poids, etc. Notamment ces personnes-là, le couple était assez en forme en termes de poids. Lui, je le coache… forcément en coaching physique, tu as vraiment une approche quand même qui est très fusionnelle puisque tu touches les gens. Enfin, tu vois, il y a la transpiration. Il y a plein de choses qui se passent où dessus, tu enlèves tous les masques.

Quand tu es coach sportif, tu n’as pas les masques. Quand tu es un coach de je ne sais quoi avec toutes ces barrières, là, tu es torse nu, tu transpires, tu dis « tu », il n’y a pas tous ces trucs de « je te vouvoie » et tout cela. Donc, vraiment, cela casse beaucoup de choses et cela accélère la fusion. Et ces gens-là, je leur disais de temps en temps « Est-ce que tu peux m’accorder une heure après la séance pour que je hacke ton cerveau, que je prenne ton cerveau et que tu me donnes toutes les choses ? ».

Quelque temps plus tard, je crois que c’était un ou deux ans plus tard, là, je tombe sur la personne la plus riche. C’est d’ailleurs, je crois, si je ne me trompe pas, le premier milliardaire trader anglais.

J’arrive dans sa maison. Lui, c’est carrément presque un château à la hauteur de Cannes. Il a carrément un hôtel particulier pour ses amis. Sous la piscine, il y a, je ne sais plus combien, 1000m2 de jeux pour les enfants, il y a le chef étoilé qui est là à l’année. Enfin bref, c’est un truc de dingue. Et lui, je lui avais parlé dans son bureau, j’attendais qu’il me paie… et en face du côté où il me paie à chaque fois, il y a son bureau à lui, il y a ses 6 ou 8 écrans de trader puisqu’on est en vacances, il faisait des trades, blabla, etc. Et lui, pareil, il me donne là justement lui ce côté d’investissement.

Là, ce n’est pas vraiment entrepreneur, plutôt tu es un investisseur. Je fais « Ok, mec. Alors, je ne demande pas de faire pour moi un blabla, mais d’après toi, qu’est-ce qu’on peut faire ? Comment on démarre, etc. ? » Il m’a donné, je pense, le meilleur conseil. D’ailleurs pour ceux qui aiment un peu l’investissement, c’est Franck, déjà va miser que sur des sociétés que tu connais et dont tu utilises les produits. Qu’est-ce que je fais ?

Olivier Roland : C’est ce que Warren Buffett dit. Alors, il ne dit pas les mêmes « que tu utilises les produits », mais au moins que tu connaisses très bien.

Franck Rocca : C’est cela. Moi, c’était la doublette qu’il m’a fait. Et si je ne me trompe pas, les 4-5 fois, je crois que c’était sur plus 500 à l’époque, l’application. Je crois que cela existe encore. Le truc très facile, c’est pour le B to C qui, on ne sait pas trop quoi faire, tu mets de l’argent, tu mets un clic et cela achète.

Et j’avais fait forcément Apple en tant que pro Apple. J’avais fait GoPro en tant que pro GoPro, et j’en avais fait une ou deux autres. Et en gros, je pense la chance du débutant, je ne sais plus combien j’avais mis, peut-être 5 000 € de tickets d’entrée. Je crois que je m’étais retrouvé avec 25 000 €, je crois, mais en l’espace de vraiment à l’instant T, parce que je pense que j’étais aussi tombé sur le coup de chance et ou peut-être, je ne sais pas, pas un bull run, mais un peu dans ce délire-là. Et notamment, je crois que GoPro, c’était la période où il sortait un nouveau produit, à chaque fois, cela monte. Bref, en tout cas, c’était vraiment explosé. Sauf qu’après, tu t’excites parce que psychologie, 90% des traders perdent, on est bien d’accord, tu as une chance sur deux normalement. Du coup, je crois que j’ai tout recramé après en l’espace de quelques jours. Mais en tout cas, cela m’a donné le goût à, cela m’a permis encore d’apprendre quelque chose de différent et c’est cela que j’adore.

Bref, je l’accélère assez cette histoire-là. Et au final, j’ai fait cela, si on met vraiment tout bout à bout, pendant pratiquement 10-11 ans de ma vie à aller dans des maisons de personnes, d’entrepreneurs qui ont réussi et d’apprendre à nager à leurs enfants, leurs amis, blablabla, et eux à les coacher en sportif.

Olivier Roland : Donc, cela a fait ton éducation. Ça vaut toutes les écoles de commerce du monde cela.

Franck Rocca : Non, mais c’était juste monstrueux parce qu’en plus, tu es vraiment dans le fief de sa réussite. Tu vois également tout ce que cela peut apporter. Il y en avait un, il avait un chef étoilé qui était là à l’année parce qu’il pouvait venir comme cela. Il avait son yacht. C’était vraiment un truc, c’était un parc de voitures, il y avait des Cayenne, il y avait des Lambo. Il y avait tout cela même si je ne suis pas très voiture, mais tu vois également la réalité, que ce n’est pas mensonger et cela t’inspire.

Après, une autre complètement différente parce qu’après, il y a aussi ce côté que j’aimais beaucoup, c’est de ne pas aller chercher des familles souvent. Alors, pas souvent, mais en tout cas, il peut y avoir des familles quand tu as beaucoup d’argent où tu ne t’occupes plus vraiment de tes enfants, où en tout cas en termes familial, tu n’es plus au top. Et moi, j’avais quand même cette fibre à aller chercher des gens qui aimaient leurs enfants, qui les éduquaient réellement.

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