Comment faire décoller rapidement ta chaîne YouTube ?

Fabien Olicard partage comment tu peux faire de ta chaîne Youtube un succès très rapidement avec quelques techniques et stratégies simples 🙂

🎙️ L’interview complète dont est tiré cet extrait « Fabien Olicard, de bac -1 à auteur, youtubeur et mentaliste à succès »
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : Comment faire décoller rapidement ta chaîne YouTube ?

#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment faire décoller rapidement ta chaîne YouTube ? » :

Fabien Olicard : Donc, dans beaucoup de choses que je construis, je me dis « Visons là, cherchons à voir comment on peut relier tout cela. » Et puis, il y a des trucs, des fois, tu mets de côté très longtemps et il y en a qui n’aboutiront jamais. Puis il y en a, tu as une discussion avec quelqu’un et puis le gars, il te fait « Tiens, moi, j’ai fait hier dans tel domaine » et tu dis oui, attends, son truc, son raisonnement ou sa technique, je l’applique à mon domaine dans mon truc que j’avais noté là, cela raccorde, c’est super.

Olivier Roland : Donc, c’est cette idée d’avoir là quand même des objectifs qui sont ambitieux, tu ne sais pas trop comment tu vas…

Fabien Olicard : Ce n’est pas ambitieux.

Olivier Roland : Ce n’est pas ambitieux.

Fabien Olicard : C’est qu’ils ne sont pas limités.

Olivier Roland : Ils ne sont pas limités par la technique que tu as aujourd’hui.

Fabien Olicard : Oui, par la technique ou par l’argent ou par… il n’y a aucune limite au projet. Et ce n’est pas pour le rendre ambitieux parce que cela voudrait dire, il y a une volonté d’avoir un gros projet, c’est plus pour se dire « je ne m’encombre pas de résoudre les problèmes qui n’existent pas encore. » C’est quoi que je veux vraiment ?

Olivier Roland : Et après, tu cherches le chemin de moindre résistance pour y arriver.

Fabien Olicard : Exactement.

Olivier Roland : Et tu couples cela avec une prise de risque limitée mais récurrente.

Fabien Olicard : C’est cela.

Olivier Roland : Et l’avoir finalement à ton moteur de recherche en permanence qui est la recherche d’opportunités et de solutions.

Fabien Olicard : Oui, c’est cela, tu as tout résumé.

Olivier Roland : Donc, tu es en train de faire des shows à Paris. Comment tu enchaînes sur Youtube ? Tu disais tout à l’heure que tu avais eu cette idée de faire 80 000 exemplaires d’un magazine et qu’en même temps, tu démarrais ta chaîne.

Fabien Olicard : Oui.

Olivier Roland : Et c’était quand cela ? 2011, ta chaîne ?

Fabien Olicard : 2016, la chaîne.

Olivier Roland : 2016, d’accord.

Fabien Olicard : 2011, en fait. J’ai une chaîne Youtube, mais j’ai un compte Youtube qui me permet de mettre les teasers de mes spectacles, c’est la seule utilité de ce truc. Le moment où je me lance sur Youtube d’ailleurs, je ne sais pas ce que c’est Youtube, je n’ai pas compris le système des chaînes et tout. Pour moi, Youtube, c’est, quand je dois manger vite fait de temps en temps quand je suis tout seul, je sais qu’il y a un gars qui s’appelle Norman et un autre Cyprien, peut-être qu’ils ont fait une vidéo marrante que je n’ai pas vu. Je n’ai pas compris le principe de l’abonnement et tout.

En 2015, je décide d’arrêter mon deuxième spectacle, je vais l’arrêter le 19 décembre 2015 et je vais partir en écriture du troisième. Et je sens que le troisième spectacle, il faut que je me libère d’un truc en créativité. Je sens que je fais des spectacles que j’estime que les gens attendent et je n’ai pas encore écrit des spectacles que j’ai envie de faire. Qu’est-ce que j’ai envie de dire vraiment ? Qu’est-ce qui me passionne ? Qu’est-ce que j’ai envie d’amener sur scène ? Avec le risque de ne pas plaire à tout le monde et que c’est Ok. Mais je n’ai pas encore cette créativité-là.

Puis, je fais le premier JT de ma vie pour France 2, on est en 2015, c’est une catastrophe. Je suis nul devant la caméra. En fait, je me rends compte que comme je suis assez empathique, je me colle à l’énergie de la personne, et manque de bol, la personne qui m’a interviewé est très molle, pas drôle, donc je suis très mou et pas drôle. Je me colle, tu vois, et je me dis « Oh là ! Là ! C’est nul ».

Et je parle avec un pote et je dis « Tu sais ce qui serait un coup de génie ? Le gars qui veut se faire un vrai défi créatif, il fait une vidéo pendant un an sur Internet. Et à la fin de l’année, il a 3 avantages et peut-être 4. »

Premier avantage : il sait monter des vidéos. Terminé de payer des gars qu’on va chercher pour monter nos teasers.

Deuxième avantage : les caméras, il n’en a plus rien à foutre parce qu’il aura trop tourné, il aura passé le cap et il ne sera pas comme moi au truc.

Troisième avantage : il aurait été dans le deep du créatif. Il aura vraiment trouvé les choses dont il a envie de parler parce qu’il est obligé tous les jours de remettre le couvert.

Puis, quatrième peut-être avantage potentiel : il a peut-être créé un public en plus.

Il me dit « Super ! Pourquoi tu ne le fais pas ? ». Je fais « Non, je n’ai pas le temps. Il ne faut pas exagérer. Imagine, faire cela tous les jours et tout, hors de question. Moi, j’ai le magazine, j’ai la boîte que je viens de lancer, j’ai le spectacle qui tourne bien, vraiment j’ai autre chose à faire. » Sauf que l’idée, elle ne se décolle pas. Je me dis « le meilleur conseil que je pourrais donner à quelqu’un à ce moment-là, c’est celui-là. ». Du coup, 1er janvier, je me lance.

Olivier Roland : 2016.

Fabien Olicard : 2016.

Olivier Roland : En plus, c’était pile dans le moment où l’algorithme adorait un contenu quotidien.

Fabien Olicard : La régularité, oui. Tout cela, c’est un hasard, encore une fois. Je fais cela durant un mois, donc au bout d’un mois c’est-à-dire 30 vidéos, une trentaine de vidéos.

Olivier Roland : Donc, tu tournes et tu montes tout seul.

Fabien Olicard : Oui.

Olivier Roland : Tout, tout seul. C’est intéressant parce que j’ai fait aussi 3 défis comme cela d’une vidéo par jour avec les mêmes objectifs que toi, sauf que moi, c’était plutôt en mode : Ok, c’est mon équipe qui va monter. Au début, je ne faisais même pas de montage du tout. Mais c’est vrai que c’est extrêmement… ça forge.

Fabien Olicard : En fait, la mécanique, c’est que j’ai 5 vidéos d’avance. Donc, je pense qu’à partir du 10 janvier, j’ai zéro avance, je les ai déjà cramées.

Olivier Roland : Là, qu’est-ce que tu fais ? Tu paniques un peu ?

Fabien Olicard : Je me dis, « Ok, lève-toi plus tôt déjà ». C’est une année où j’ai très peu perdu de temps sur les réseaux sociaux, sur les machins. Tu te rends compte qu’en fait, il y a beaucoup de temps gâchés que j’ai été exploré et grappillé. Donc, je ne me couchais pas plus tard, je me levais juste un peu plus tôt. Par contre, c’est l’année où j’ai « le moins appris de choses », c’est-à-dire qu’en termes de lecture ou tout cela, je me suis reposé sur mes acquis là par contre, j’ai assez peu de découvertes cette année-là, à part le monde de Youtube, mais cela a été un peu une année de jachère, en mode : tout ce que j’ai engrangé de connaissances et d’expériences, je m’en sers cette année.

Olivier Roland : Ce qui est un bon cycle à avoir aussi.

Fabien Olicard : C’était très agréable à faire et puis c’était agréable de retrouver après la découverte l’année d’après. Donc en général, le matin, je me réveillais bras croisé dans le lit et je me disais « Tu ne te lèves pas tant que tu n’as pas ton idée de base ». Donc, je créais comme ça dans le lit. Des fois, je m’endormais un peu et je me réveillais. Je fantasmais un peu la vidéo que je vois « Oh, j’avais une idée ». Je me levais, j’écrivais et je notais des points plus que du mot-à-mot, tu vois ? Tac, tac, tac. Je faisais 2 ou 3 recherches, 2 ou 3 bricoles. Je tournais et, ensuite, je montais. Et une fois que c’était fait, la journée pouvait commencer.

Olivier Roland : Ok, intéressant.

Fabien Olicard : C’était comme cela.

Olivier Roland : Et tu n’avais pas trop la tête du réveil quand même ?

Fabien Olicard : Si, des fois. Ce n’était pas grave. Ce que j’essayais de faire le samedi, c’était de faire coup double, d’en écrire deux, d’en tourner deux, d’en monter deux, pour essayer de préserver mon dimanche.

Olivier Roland : Tu écrivais tout à l’avance, il y avait un prompteur.

Fabien Olicard : Non.

Olivier Roland : Ce sont des listes.

Fabien Olicard : C’était vraiment des points. Et puis, comme cela partait sur une connaissance préalable, c’était quand même assez facile à faire. Il y a très peu de vidéos que j’ai scriptées cette année-là, très peu.

Olivier Roland : Donc, tu n’as pas raté un seul jour ?

Fabien Olicard : Pas raté un seul jour.

Olivier Roland : Et alors, le résultat sur un an, cela a donné quoi ?

Fabien Olicard : Au bout de 31 jours, je me dis « c’est sympa, j’adore cela », un peu comme pour le théâtre, je crois que je vais continuer et j’adore. Au bout de 60 jours, j’ai, je crois, 1 500 abonnés sur la chaîne et je me dis « Ok, je peux me donner un goal fantasmé qui serait d’avoir 12 000 abonnés à la fin de l’année. » Ça ferait 1 000 abonnés par mois, c’est bien payé. Et puis, à cette époque-là, je ne rationalise pas comme les chiffres de Youtube, je rationalise en salle de spectacle.

Olivier Roland : Et en linéaire plutôt qu’en exponentiel.

Fabien Olicard : Exactement. Donc, 12 000 personnes pour moi, c’est le Palais des sports, c’est super. Et à la fin de l’année, ce sera 270 000 abonnés sur la chaîne. Le 31 décembre, on bloque à 270 000.

Olivier Roland : C’est une belle progression.

Fabien Olicard : Et c’est fou.

Olivier Roland : Il n’y a pas beaucoup de Youtubeurs qui ont une progression aussi rapide.

Fabien Olicard : Oui, c’était fou. Et l’année d’après, un an encore après, on passe le million d’abonnés.

Olivier Roland : Mais là, ce n’était plus à une vidéo par jour. Tu n’as pas refait, tu sais qu’il y a beaucoup de travail.

Fabien Olicard : Je n’étais plus à une vidéo par jour. Après, c’était marrant parce qu’après, j’en faisais 10 à 12 par mois. Tout le monde disait « Mais tu as un rythme ». Je dis « j’ai un rythme. ». Quand tu sors une vidéo par jour, au début, quand tu fais une vidéo, tu l’attends, tu la montes, 2 jours après, tu es là, il faut que je fasse une vidéo, cela fait longtemps.

Et on en parlait avec Pierre Croce qui faisait une vidéo juste du lundi au vendredi, lui à l’époque. Pierre Croce, on se connait depuis longtemps par la scène à la base et on se disait lui et moi, c’est marrant, en vrai, pour la plupart de nos formats, tu sais, c’est la loi de Laborit, qu’on ait une journée ou une semaine pour la préparer, on y consacre à peu près autant de temps. Ce n’est pas parce qu’on a une semaine qu’on met beaucoup plus d’écritures, beaucoup plus d’énergie en prépa, on fait autre chose que cela, mais on ne met pas beaucoup plus sur ce post-là.

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