🎥 ► Dans cette vidéo je vous donne les deux voies à suivre si vous souhaitez être heureux dans votre travail et dans votre vie.
En effet, il y a deux voies à suivre pour arriver à cet instant de liberté : tout d’abord l’entreprenariat. L’entrepreneuriat va vous permettre de vous gérer de A à Z, d’avoir votre emploi du temps, vos clients, vos missions, travailler d’où vous voulez, quand vous le souhaitez.
Ensuite, il y a l’ikigai, l’ikigai doit être les valeurs et les normes que vous souhaitez suivre dans votre entreprise. Cet ikigai doit être le miroir de vos pensées et envies et cela doit s’en dégager sur votre business.
Dans cette vidéo je vous dévoile donc toutes les informations sur ces deux voies : l’entreprenariat et l’ikigai.
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?
Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire
À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
📺 ►Lien de la vidéo :
https://youtu.be/Ob_LNN4CFcY
Comment être PASSIONNÉ par son métier pour être un ENTREPRENEUR heureux ?
⏱ ►Timecodes
00:00 Introduction
01:33 La voie entrepreneuriale
05:49 La voie de l’Ikigai
07:25 Conclusion
#RebellesIntelligents #développementpersonnel #entrepreneur
Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment être PASSIONNÉ par son métier pour être un ENTREPRENEUR heureux » :
Tout le monde dit qu’il faut être passionné par son job. Mais regarde autour de toi, combien de personnes connais-tu qui sont véritablement passionnées par ce qu’elles font ?
Une des études les plus sérieuses sur le sujet qui a été faite sur plus de 155 000 employés dans 155 pays – quand même, c’est une étude que je cite au début de mon livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » – montre justement que dans le monde, en moyenne, seulement 15% des employés sont heureux dans leur job et 18% le haïssent activement. Et en France, c’est encore pire parce que la France a un des pires scores du monde sur le sujet, seulement 6% des gens sont passionnés par ce qu’ils font et 25% haïssent activement leur job. C’est l’un des plus grands échecs de la société moderne.
Et est-ce que tu as remarqué ? Qu’est-ce que cela veut dire d’avoir 6% de gens d’un côté qui adorent leur travail et 25% qui le détestent ? C’est que, au milieu, tu as 69% de gens, OK, ils ne détestent pas leur travail, mais ils ne sont pas non plus amoureux de celui-ci. Plus, souvent, c’est un boulot qui est OK, qui a peut-être aussi quelques avantages, quelques tickets restaurant offerts par le comité d’entreprise…
La plupart des gens sont dans quelque chose de médiocre par rapport à leurs aspirations. Si tu ne veux pas être comme les 25% de gens qui détestent leur travail et comme l’écrasante majorité qui est dans l’entre-deux, voici ce qu’il faut faire.
Pour moi, les deux voies royales que tu dois suivre pour pouvoir trouver quelque chose qui te remplit vraiment à l’intérieur, c’est l’entrepreneuriat et l’Ikigai. Qu’est-ce que c’est que ces bêtes-là ?
L’entreprenariat, tu connais, c’est le fait de créer et développer ta propre entreprise.
Est-ce qu’on peut être super épanoui en étant salarié ?
Bien sûr, c’est évident et ça l’est d’autant plus si ce que tu fais est complètement aligné avec ta mission et ta manière de voir les choses. Je vais revenir là-dessus plus en détail dans l’Ikigai.
Mais par exemple, si tu es employé pour Elon Musk et que tu travailles pour Space X, et que toi, ça te fait rêver cette idée de pouvoir aller coloniser Mars et de participer à cet effort, parce que là, tu peux être porté par le sens de ce que tu fais. Mais je pense que pour la plupart des gens, l’entrepreneuriat, c’est juste la meilleure voie parce que ça te permet de créer beaucoup plus facilement ta propre aventure.
Quand tu es entrepreneur, c’est toi qui définis comment tu vas gagner de l’argent. Alors, bien sûr, avec des contraintes. Tu ne peux pas juste comme ça mettre en pratique n’importe quelle idée, il faut aussi bien sûr qu’il y a un besoin dans un marché. Pour cela, il faut que des gens soient prêts à te payer. Et tu as beaucoup plus de liberté que la plupart des employés pour créer ta propre réalité, tout simplement parce qu’il y a une infinité de projets dans lesquels tu peux te lancer qui peuvent te faire gagner de l’argent. Même si, encore une fois, tous les projets ne sont pas égaux à ce niveau-là. Je vais en reparler après.
Également, l’entrepreneuriat, ça permet de contourner pas mal de blocages un peu vieillots de la société. Par exemple, moi, j’ai arrêté l’école à 18 ans pour créer ma boîte dans les services informatiques. Par exemple, dans les clients de mon entreprise, on avait Peugeot, notamment toutes les filiales commerciales du nord de la France. Et donc, on gérait un parc de plusieurs centaines de postes.
Si j’avais postulé pour le même poste en tant qu’employé, la première question qu’ils m’auraient posé, c’est « quel diplôme vous avez ? » En tant qu’entrepreneur, ils ne m’ont jamais posé la question. J’ai arrêté l’école à 18 ans, j’ai un Bac-2. Je n’ai absolument aucun diplôme.
Donc là, tu vois que pour exactement la même fonction, quand tu es salarié, on va te demander un diplôme, quand tu es entrepreneur, on ne va pas te le demander. Ça, bien sûr, c’est dans la majorité des cas. Il y a les professions réglementées comme notaires, avocats, médecins où on va toujours te demander un diplôme quel que soit ton statut. Mais dans l’écrasante majorité des domaines, à partir du moment où tu es entrepreneur, jamais on ne te posera la question, parce qu’on va supposer que parce que tu as ta boite, tu sais ce que tu fais. Cela te permet déjà de contourner une des limitations de la société.
Et il y en a plein d’autres comme ça. Aussi, quand tu es un entrepreneur, tu es moins sujet aux discriminations. En fonction de qui tu es, quelle est la couleur de ta peau, où tu vis, cela peut être plus ou moins important pour toi. Mais quand tu es entrepreneur, bien sûr, tu auras des clients qui vont peut-être avoir des biais… tu vas être moins discriminé, parce qu’à partir du moment où tu proposes des produits et services qui intéressent les gens, il y aura des gens qui seront prêts à les acheter. Et c’est particulièrement vrai avec internet où tu peux juste avoir un site web qui met en avant tes produits, sans que toi, tu te sois mis en avant.
Donc, je pourrais donner beaucoup d’autres exemples comme ça, mais retiens ça. L’entrepreneuriat, c’est un hack, un raccourci qui permet de contourner de nombreuses limitations pesantes de la société et qui va vraiment donner du fuel, du carburant à tes rêves et te permettre de créer ta propre réalité.
Bien sûr, ce n’est pas non plus une promenade de santé, il faut avoir un projet, être motivé, travailler, être persistant parce que ce n’est pas facile. Et oui, il y a des risques d’échec. Mais une des choses que je dis dans mon livre, c’est que le risque d’échec est souvent surévalué.
On entend partout qu’en fait, il y a 50% des entreprises qui font faillite au bout de 5 ans alors que ce n’est pas vrai déjà. Oui, c’est vrai qu’il y a 50% des entreprises à peu près qui ne sont plus là au bout de 5 ans, mais ce n’est pas parce qu’elles n’existent plus qu’elles ont forcément fait faillite. Il y en a qui se sont arrêtées parce que l’entrepreneur prend la retraite, ou parce qu’il s’est lancé dans un autre projet, ou parce qu’il a vendu la boîte. Après, il y a ceux qui arrêtent parce que l’activité économique ne fonctionne pas. Souvent, ce n’est pas une faillite, mais une cessation d’activité.
La différence, elle peut paraître subtile, mais elle ne l’est pas. Quand tu fais une cessation d’activité, c’est parce que tu décides d’arrêter, mais que tu n’as pas de dettes. Quand tu fais une faillite, c’est que tu as des dettes auprès des fournisseurs et que tu n’arrives pas à les payer. Et quand tu regardes concrètement le pourcentage d’entreprises qui font faillite au bout de 5 ans, c’est 15%.
Donc, ce n’est pas non plus démentiel comme risque. Et quand tu regardes quelle est la dette moyenne des entrepreneurs qui font une faillite comme ça, c’est de l’ordre de 11 000 €. Ce n’est pas non plus démentiel. 11 000 €, ce n’est pas un truc qui va te plomber pour le reste de ta vie.
Bien sûr, on peut se retrouver avec une dette beaucoup plus importante, mais dans les faits, le risque que tu aies cela est très faible.
Je pourrais continuer longtemps comme ça. Si tu veux aller plus loin, tu peux lire mon livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » dans lequel je te partage tout cela.
Maintenant, la deuxième manière pour toi de faire quelque chose qui te passionne, c’est d’essayer d’atteindre, de trouver ton Ikigai. Qu’est-ce que c’est que l’Ikigai ?
C’est un concept japonais qu’on pourrait traduire par « raison d’être » en français et qui se trouve au carrefour de quatre choses. Tu as trouvé ton Ikigai quand tu fais quelque chose qui te passionne, dans lequel tu es compétent, qui te permet de gagner de l’argent et qui, en plus, est ta mission de vie.
Et qu’est-ce que c’est que la mission de vie ?
C’est ce que disait Gandhi « Sois le changement que tu veux être dans le monde ».
Et quand tu as trouvé ces quatre choses-là, tu es plus que passionné parce que tu as vu que la passion, finalement, c’est juste un critère parmi les quatre. Tu es porté par ce que tu fais. Tu es l’incarnation de ce que tu veux voir dans le monde et c’est quelque chose qui va te remplir de l’intérieur pour des années et peut-être pour le reste de ta vie.
Et bien sûr, l’Ikigai, c’est un idéal. Ce n’est pas facile de l’atteindre. La plupart des gens ne s’en approcheront même pas. Encore une fois, la plupart des gens font un boulot comme ça. Essaie d’avoir cela dans un coin de ta tête, essaie de mettre ton esprit en mode moteur de recherche de l’Ikigai et peut-être qu’au bout d’un moment, tu vas le trouver. C’est tout le mal que je te souhaite.
Moi, j’ai mis 10 ans à trouver mon Ikigai parce que ma première boite, j’étais passionné par l’informatique, compétent et cela me permettait de gagner ma vie, mais ce n’était pas ma mission de vie de faire en sorte que les gens aient un meilleur ordinateur.
Par contre, aujourd’hui, j’aide les gens à devenir plus libres, à créer, développer des entreprises au service de leur vie. Je suis passionné. J’espère être compétent. Ça me permet de gagner ma vie très largement et c’est vraiment quelque chose qui me porte. C’est le changement que je veux voir dans le monde. Je veux voir plus d’entrepreneurs et plus entrepreneurs qui ont un bon équilibre de vie entre leur vie pro et perso. Essaie cela dans un coin de ta tête et mets-toi en quête de ton Ikigai.
Donc, si tu es toujours là, c’est que ces deux concepts t’ont intéressé. J’ai une question douloureuse pour toi, ce n’est pas pour les timides, OK. Est-ce que tu penses aujourd’hui faire quelque chose qui te passionne ? Partage cela dans les commentaires. Et si oui, est-ce que tu penses que c’est ton Ikigai ?
Et il n’y a absolument aucun problème si ce que tu fais aujourd’hui ne te passionne pas et que ce n’est pas ton Ikigai. Encore une fois, moi, j’ai mis 10 ans. Il y a des gens qui passent toute leur vie sans avoir trouvé cela. J’espère que ce sera une bonne première pierre dans ton édifice pour trouver ton Ikigai et faire quelque chose qui te passionne et créer ta propre réalité.
Je te dis à très vite dans une prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas, sois rebelle, sois intelligent et fais partie des gens qui créent leur propre réalité et trouvent leur Ikigai. Ciao.
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