Comment Benjamin a développé une entreprise qui lui permet d’être libre et de voyager en permanence

Comment gagner de l’argent sur le web en 2023 avec un blog et son écosystème : L’étude de cas de Benjamin qui est aujourd’hui libre grâce à son entreprise.

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : https://youtu.be/gxqes4VlHqQ

Comment Benjamin a développé une entreprise qui lui permet d’être libre et de voyager en permanence

#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur

 

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment Benjamin a développé une entreprise qui lui permet d’être libre et de voyager en permanence » :

Bonjour, je suis Benjamin Broustey. J’accompagne les personnes qui sont en recherche de sens à créer des entreprises qui régénèrent la planète et les humains, on les appelle les écopreneurs.

Moi, la liberté, d’ailleurs c’est pour ça que j’ai bien connecté avec Olivier, la liberté c’est quelque chose qui me motive de manière très, très, très importante. Je passe sur un style de vie aujourd’hui, j’ai plus envie d’explorer les choses. Je suis avec ma femme, on se balade avec le van de pays en pays. On essaie de trouver un nouvel endroit pour poser notre base, mais en même temps, on se régale aussi de visiter, de découvrir de nouvelles cultures.

Dans le passé, je travaillais dans les bateaux. Le bateau pour moi, c’est un instrument de liberté pour déplacer sur la mer. Là, c’est la même chose mais sur la route. Ça me permet de découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux pays, de nouveaux endroits, surtout des environnements naturels et d’être complètement libre de l’endroit où on va dormir.

La Turquie, ça fait partie des endroits que je voulais découvrir de par sa culture multimillénaire, de par les environnements aussi diversifiés que ce pays comporte. On découvre des horizons inexplorés, des environnements naturels de dingue. Donc, je ne sais pas si je m’installerai dans ce pays-là, mais en tout cas, c’est une très, très belle destination sur la route.

Je prends du temps aussi pour observer la nature, contempler. Etre dans la nature, c’est toujours ce qui m’a motivé. Là, je suis venu observer les flamants roses, les autres oiseaux qui se trouvent en bordure de zone humide : des échassiers, des limicoles, les oiseaux qui fouillent la vase.

Le Kitesurf, c’est formidable parce que je peux m’installer pas très, très loin d’une plage et puis découvrir les choses. C’est vraiment top.

Ça a toujours été mon choix le plus cher de travailler avec ou dans la nature. Et tout ça, je peux le faire parce qu’aujourd’hui, je peux transporter mon travail où je veux puisque je travaille complètement à distance, je peux gérer mon temps bien sûr en adéquation avec mes équipes, mais je peux gérer mon temps comme je le souhaite. Tout cela est extraordinaire.

Donc, j’ai une scolarité assez chaotique. Il faut dire que je n’étais pas forcément un grand fan de l’école comme Olivier. J’ai été de boulots parfois alimentaires, des boulots très intéressants aussi, mais je ne trouvais pas vraiment ma voie dans ces travaux-là et puis dans le système dans lequel je vivais aussi qui était ultra consumériste, qui n’était pas forcément dans mon système de valeur. Alors, j’ai tout quitté et je suis allé construire une maison en paille et en argile avec des matériaux naturels et locaux limousins. Puis, j’ai commencé à produire ma propre nourriture. Puis, j’ai commencé à m’autonomiser au niveau de l’eau, des déchets, etc. Et là, je me suis dit « OK, tu as réussi à t’autonomiser. Tu as réussi à vivre un peu en marge, mais il y a quand même des factures à payer, tu dois quand même avoir un revenu. »

Et à ce moment-là, je n’avais pas de possibilité autour de moi à travailler dans des pommiers pesticidés, donc ce n’était pas franchement mon truc. Et je me suis dit « Tu vas te lancer. Tu vas trouver une activité. Tu vas transmettre la permaculture. Tu vas transmettre l’éco entrepreneuriat. »

À ce moment-là, je ne savais pas du tout ce que c’était que le blogging. J’avais une motivation, c’était d’avoir une certaine visibilité, de me faire connaitre, de transmettre mon message. Puis, j’ai découvert le blogging par le biais d’Olivier. Donc moi, je fais partie des dinosaures de Blogueur Pro, j’ai fait le programme il y a 10 ans. Je suis extrêmement reconnaissant envers ce programme parce que c’est celui qui m’a mis le pied à l’étrier dans le domaine de digital, dans le domaine de la formation en ligne. Ça a été le point de départ de tout.

Justement, en faisant des recherches sur WordPress, je suis tombé sur une publicité, une conférence d’Olivier. J’étais accroché de suite par ce qu’il proposait. Je n’ai pas embarqué du premier coup, j’ai hésité bien sûr parce que ça représentait à l’époque un investissement important pour moi. J’avais très peu de revenus. J’étais dans une situation qui était assez précaire et donc ça représentait une grosse somme.

À un moment donné, je me suis dit « Ecoute, Benjamin, si tu veux des résultats, si tu veux atteindre ton objectif, si tu veux vraiment transformer ta vie, vivre de ta passion et de tes convictions, il faut que tu investisses en toi. » Et à ce moment-là, j’ai franchi le pas et j’y suis allé.

Je ne regrette pas de l’avoir fait. Blogueur Pro, je le vois un peu comme une boite à outils qui permet d’entrer dans le monde du digital. Avec cet angle d’entrée qui est le blogging, on va apprendre à créer son site, blog. On va commencer à comprendre ce que c’est que le SEO. On va ensuite comprendre comment créer des contenus digitaux qui vont pouvoir être mis à disposition des autres, soit gratuitement, soit aussi de manière payante pour en vivre, ensuite, comment aussi commercialiser ça par le biais des lancements ou d’autres leviers qui sont aussi très efficaces.

J’avais une activité personnelle qui était déjà mon autonomie : faire sa nourriture, gérer ses eaux, gérer son composte, des choses comme ça, construire sa maison. Surtout quand on le fait de la manière dont je l’ai faite, ça prend du temps. Donc, j’étais vraiment à mi-temps sur la création de mon activité. Néanmoins, je pouvais documenter ce que je faisais puisque c’était lié. Mais j’étais sur du mi-temps pour la création de mon activité et donc une partie de ce temps a été consacrée à la formation Blogueur Pro.

J’ai commencé petit à petit à tourner des vidéos, à faire quelques éléments, à produire mon lead magnet, etc. Donc, j’ai assez rapidement eu une belle audience. Ça m’a permis d’abord dans un premier temps de remplir mes formations présentielles et ensuite, à plus un an, plus un an et demi, j’ai commencé à faire mes premiers lancements et j’avais une belle liste email, donc ça s’est assez rapidement bien passé.

On a fait des lancements qui ont été très intéressants, qui ont été assez chiffres, qui ont été au-delà des 100 000 €. On a fait 1, 2, 3 lancements parfois dans l’année. Ça nous a vraiment permis de faire rentrer des promos d’apprenants dans notre formation, de mettre des gros coups de visibilité d’un coup et ensuite d’être tranquilles pendant un laps de temps important. Aujourd’hui, on a pris une autre stratégie qui est une stratégie plutôt qu’on appelle evergreen, c’est-à-dire au long court, jusqu’il y a encore quelques années, je faisais encore des lancements et c’est une méthodologie qui m’a beaucoup plu aussi.

Tout ça, c’est vraiment étoffé dans le temps, c’est-à-dire que j’ai maintenant une équipe d’une dizaine à une quinzaine de personnes. J’ai développé mon entreprise qui s’est complexifiée, qui s’est structurée. Maintenant, le blogging, c’est devenu un des canaux d’entrée. Il y en a plusieurs, mais il est toujours très important parmi nos stratégies.

Le chiffre d’affaires, ce n’est pas le marqueur principal de la réussite d’une entreprise. Nous aujourd’hui, notre réussite principale, c’est la satisfaction client. On a une vision. La vision, c’est de faire émerger une génération d’entrepreneurs qui régénèrent la planète et les humains. Donc, c’est ça le vrai marqueur. C’est le nombre de personnes qui se lancent, qui changent le monde aujourd’hui. Néanmoins, notre activité, elle génère aujourd’hui des chiffres d’affaires à sept chiffres.

Elle a aussi les charges fixes qui sont liées. Donc, ce n’est pas des choses qui arrivent directement dans ma poche, mais c’est quand même une belle activité qui a déjà un impact très important d’un point de vue humain, du point de vue de la planète et du point de vue aussi des chiffres, oui, bien sûr.

Je démultiplie mon impact en formant d’autres entrepreneurs à impacts et tout cela est une chaîne vertueuse. Donc même si le digital a une empreinte écologique, aujourd’hui, le gain, il est largement supérieur puisque toute cette génération d’écopreneurs font la vraie économie, l’essentiel de l’économie.

J’ai quelques blogueurs qui sont encore, 10 ans après, des connaissances avec qui j’entretiens des contacts. Loïc Plisson, par exemple. Ça a été un moment intéressant de contacter avec les autres blogueurs qui sont proches de moi. Et j’ai fait partie de mastermind d’Olivier, j’en ai eu de très, très bons souvenirs. Ça a été aussi un bon accélérateur pour moi. Et les occasions d’aller vers les autres, c’est important aussi parce que quand on est infopreneur, quand on est blogueur pro, on a une tendance aussi à s’isoler un peu. Donc, c’est important d’être membre d’une communauté, d’aller vers les autres, de faire réseau. Et ça, je le conseille à tout le monde.

J’ai eu l’occasion d’être contacté par des éditeurs de nombreuses fois pour écrire des bouquins. J’en ai écrit un. Je n’ai pas répondu positivement à tous parce que je devais gérer et organiser mon temps.

J’ai eu aussi des sollicitations par les médias, j’en ai encore beaucoup. Ça amène une visibilité importante et, du coup, ça fait naître certaines opportunités, des partenariats. Le cofondateur de l’entreprise sur la permaculture que j’ai créée, je l’ai trouvé par ce biais-là.

La tiny house, ces dernières années, c’est vraiment un mode d’habitat qui s’est beaucoup développé. On est vraiment dans la tendance sobriété au niveau de son impact. Donc, l’habitat a vraiment un impact énergétique, écologique beaucoup moins important que d’autres types constructifs. C’est le côté aussi semi-nomade, mobile qui peut être intéressant même si ce n’est pas une caravane. Ce qui est important, c’est vivre peut-être mieux avec moi. Ça, c’est quelque chose aussi qui sont des actes de réflexion qu’on a dans le domaine de la permaculture et dans le domaine des écopreneurs. J’ai vécu 3 ans en iourte. J’ai vécu dans une tiny house pendant 2 ans et demi. Je me régale à expérimenter tout ça.

Mon épouse est aussi infopreneuse. Elle n’était pas du tout dans ce domaine-là auparavant, donc je lui ai donné un peu le virus. Et puis, ce qui est bien, c’est qu’on peut partager ce même style de vie. De cette manière-là, on est tous les deux libres géographiquement. On gère tous les deux notre temps de manière commune. Il n’y en a pas un qui part au travail le matin et puis on se revoit le soir.

On sort manger à l’extérieur, ça nous fait du bien. Et puis, les petites balades récréatives comme ça, ça nous permet de sortir un peu de l’ordinateur, de se mettre un peu le mental au repos et c’est génial.

N’aie pas peur à investir en toi. Il y a quelque chose qu’on ne pourra jamais t’enlever, c’est ce que tu possèdes comme expertise, comme connaissance. Si tu sens que ce programme peut t’aider, si tu sens que tu as une bonne connexion avec Olivier, n’hésite pas, fonce.

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