🎥 ► Dans cette nouvelle vidéo je vais te présenter les 7 erreurs qui ruinent ton business que tu dois ABSOLUMENT éviter !
Tout d’abord, tu dois éliminer le syndrome de l’objet brillant ! En effet, tu ne dois pas te focaliser sur la toute nouvelle stratégie marketing pour ton business, tu dois te focaliser sur ce qui est prioritaire pour ton business.
Ensuite, il ne faut surtout pas te contenter d’une seule source de trafic ou de revenu, s’il saute, tu n’as plus rien. C’est comme une chaise, si tu as un pied, si tu le perds tu tombes, si tu en as plusieurs, d’autres piliers peuvent te soutenir.
Tu ne dois pas être dépendant des pubs, cela revient à ne pas se focaliser seulement sur ce moyen d’acquisition, tu dois diversifier ces moyens d’acquisition.
Tu dois également apprendre à écouter ta communauté et apprendre à déléguer des tâches dans ton business.
Enfin, tu ne dois surtout pas être accro aux produits des autres, tu dois vendre tes propres produits pour te sécuriser.
Dans cette vidéo, je te partage mon expérience sur ces 7 erreurs pour ton business et te détaille comment tu dois t’y prendre d’après mon expérience dans le business.
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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?
Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire
À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.
Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.
Olivier Roland.
📺 ►Lien de la vidéo : https://youtu.be/EYGbIpB6EW0
LEs 7 erreurs qui ruinent ton business
⏱ ►Timecodes
00:00 Introduction sur les 7 erreurs qui ruinent ton business
00:18 L’objet brillant
02:42 Le mono traffic
04:02 La dépendance aux pubs
05:20 Le mono revenu
07:00 La dépendance aux produits des autres
09:18 Son audience
11:22 La délégation
12:33 Conclusion sur les 7 erreurs qui ruinent ton business
#RebellesIntelligents #business #entrepreneur
Transcription texte (littérale) de la vidéo « 7 erreurs qui ruinent ton business » :
Ces 7 erreurs qui ruinent ton business.
Cela fait 14 ans que je suis dans le business web, cela fait 22 ans que je suis dans l’entrepreneuriat, et je peux te dire, des conneries, j’en ai fait plein et j’ai vu encore plus de gens en faire. Donc, là, je te partage 7 erreurs qui ruinent ton business web maintenant, ou encore qui t’empêchent de créer ton business web.
Première erreur : Toujours être à la recherche du dernier objet brillant.
Il y a des gens comme ça qui courent toujours après la dernière méthode miracle, après le dernier super logiciel qui va tout faire à leur place, après le dernier super truc de ninja qui va leur faire gagner de l’argent en dormant. Alors, il n’y a pas de problème sur le fait de s’éduquer et de se renseigner un peu sur ce qui existe sur le marché, mais il faut faire attention, il y a beaucoup de personnes qui procrastinent de manière intelligente.
Parce que la procrastination bête et méchante, c’est tout simplement quand tu te promets de travailler sur ton projet de création d’entreprise, par exemple, tu arrives chez toi après une dure journée de travail et tu t’affales devant Netflix et tu ne fais rien de la soirée. Ça, c’est bête et méchant parce que tu vas culpabiliser. Tu vas dire « OK, demain, promis, je vais bosser sur mon projet d’entreprise ». Et le lendemain, tu fais exactement la même chose.
Il y a une manière beaucoup plus intelligente de procrastiner, cela consiste tout simplement à s’ensevelir sous un monceau de tâches qui, même de l’intérieur peuvent sembler être du travail, mais qui concrètement ne t’avancent pas vers ton objectif.
Et donc, courir après le dernier objet brillant, cela peut être une manière de procrastiner. Tu ne vas pas culpabiliser parce que tu vas dire « oui, mais je suis en train d’apprendre les dernières méthodes, les dernières stratégies, les dernières tactiques de ninja », et du coup, tu vas te sentir bien, tu vas dire « j’avance vers mon projet ». Mais dans les faits, au bout de 6 mois, au bout de 1 an, au bout de 2 ans, tu n’auras toujours rien fait parce que tu seras toujours en train de chercher la dernière technique.
Donc, qu’est-ce que tu dois faire à la place ?
Oui, commence par t’éduquer un peu, regarde un peu tout ce qui existe sur le marché. Forme-toi un peu et regarde quelle méthodologie, quelle approche te convient le mieux, et ensuite, fonce. Inscris-toi à une formation, achète un livre, fais quelque chose. Mais vraiment, engage-toi dans une méthodologie particulière et fonce.
Fais comme Daniel dans Karaté Kid. Au début, Daniel regarde plusieurs styles de karaté et puis au final, il choisit Monsieur Miyagi. Une fois qu’il a choisi Monsieur Miyagi, il passe un contrat avec lui. Le contrat, c’est que Monsieur Miyagi va lui enseigner sa manière de faire du karaté, et Daniel-san, il va appliquer sans discussion. Et c’est exactement ce que je te recommande. Tu choisis une méthode et tu y vas à fond.
Peut-être que cela ne va pas être la meilleure méthode pour toi, que cela ne va pas te correspondre. Il n’y a qu’une seule manière de le savoir, de le tester sur le terrain pour voir si cela fonctionne pour toi. Et tu apprendras de toute façon beaucoup plus que si tu papillonnes et que tu restes toujours dans la superficie des autres méthodes.
Et ça, ça s’applique que tu sois seulement au stade du projet ou que tu es déjà une entreprise, parce que si tu as déjà un business, il faut que tu te formes justement sur pas mal d’aspects pour développer ton business. Ce conseil s’applique également dans ce cas.
Ensuite, deuxième erreur : Les gens qui sont mono trafic.
Qu’est-ce que je veux dire par mono trafic ?
Ils ont tous une seule source de trafic. Soit ils ont juste un trafic qui vient d’un blog, ou juste d’une chaîne Youtube, ou juste d’un compte Instagram, ou juste de Facebook…
Tu le sais si tu me suis depuis un moment, je recommande vraiment de mettre un blog au centre de son écosystème. Mais dans cette phrase, il y a aussi centre et écosystème.
Donc, je n’ai jamais dit, déjà il y a 12 ans, je ne disais pas ça et je dis ça encore moins aujourd’hui, qu’il faut créer un blog tout seul. Tu dois créer un blog encore aujourd’hui parce que c’est le seul endroit du web qui t’appartient vraiment et que c’est un actif. Tu peux créer du contenu qui, dans 5 ans ou 10 ans, t’amènera toujours des prospects et des clients, ce qui est très dur à faire avec des posts Instagram ou des posts Facebook.
Mais je ne recommande pas d’avoir uniquement un blog comme source de trafic. Tu dois aussi avoir une chaîne Youtube, une page Facebook, probablement un compte Instagram, peut-être un compte TikTok…
Tu dois avoir un écosystème et essaie de faire des vases communicants. Quand tu as une plateforme qui se développe plus pour différentes raisons, tu vas essayer de transférer une partie des gens de cette plateforme vers une autre.
Ce n’est pas forcément facile de faire bouger les gens entre deux plateformes, mais tu vas essayer. Tout le monde ne va pas te suivre forcément. Tu vas essayer de faire en sorte que ton écosystème fasse les vases communicants de ton écosystème sur un écosystème vertueux qui développe une synergie, et que chaque constituant de l’écosystème aide les autres à se développer.
Troisième conseil qui est directement lié au précédent, c’est : Etre trop dépendant de la pub.
J’ai plein de collègues qui, si demain, leur pub ne fonctionne plus, leur business s’effondre du jour au lendemain.
Là, je discutais justement avec un collègue qui est aussi un ami, qui m’a dit « Depuis que le coût de la pub Facebook a augmenté à cause des modifications qui entre dans IOS et puis du RGPD, je n’ai plus de business. » Et les amis, il m’a regardé dans les yeux, cela m’a fait très mal. Il m’a dit « Tu sais Olivier, c’est là où je me suis rendu compte qu’en fait, je ne suis pas vraiment un entrepreneur. » Ça m’a fait très mal quand il m’a dit ça, ça fait mal pour lui. Et pourquoi il a dit ça ? Parce qu’en fait, il n’a pas réussi à faire pivoter son business avec d’autres sources de trafic.
Donc, faites très attention à ça. La pub, c’est très bien, j’en fais. Je pense que c’est un excellent complément, mais cela ne doit pas être votre seule source de trafic.
Il y a énormément de choses qui sont arrivées dans les dernières années, qui ont fait que le coût de la pub a explosé. C’est de plus en plus difficile de cibler précisément votre audience, et ce n’est que le début. Ça va être de plus en plus dur et il faut vous attendre à ce que les coûts d’acquisition explosent. En plus, il y a de plus en plus d’entreprises qui rentrent sur le marché.
Donc, la pub, c’est bien en complément, mais pensez à ça. Ne soyez jamais mono trafic. Et ça s’applique aussi aux trafics payants.
Et quand je dis, ne soyez pas mono trafic payant, je veux dire que non seulement vous devez avoir des sources de trafic gratuit en plus, mais aussi varier vos fournisseurs de pub. Ne soyez pas uniquement sur Facebook. Faites aussi de la pub sur Adwords, la régie publicitaire de Google et puis d’autres régies.
Quatrième erreur gravissime : Etre mono revenu.
Parce que tu as compris en fait, quand on est un entrepreneur malin, on ne met pas tous ses œufs dans le même panier. Et ça, ça vaut sur toutes les dimensions de ton business, que ce soit le trafic, l’acquisition ou encore tes revenus.
Il y a beaucoup trop d’entrepreneurs web qui dépendent d’une seule source de revenus, que ce soit la publicité, ou la vente d’un seul produit, ou un partenariat qui leur amène une grosse partie de leurs revenus… Essayez vraiment de varier les plaisirs. Vends plusieurs produits différents. Fais des partenariats avec plusieurs partenaires qui vont te faire gagner de l’argent en affiliation. Vends des services ou des workshops, des produits physiques…
Il faut que tu fasses en sorte que si demain, la demande pour un de tes produits ou un de tes types de produits s’effondre, et cela peut arriver pour différentes raisons, tu ne te retrouves pas le bec dans l’eau, que tu aies d’autres sources de revenus qui te permettent de tenir jusqu’à ce que tu puisses comprendre ce qui se passe, pivoter, ou que simplement, tu développes de nouveaux produits. Peut-être que tu devras réduire la voilure, réduire les dépenses, mais au moins, cela te permettra de résister.
Et malheureusement, il y a trop d’entreprises qui sont fragiles et qui se font tuer à la moindre perturbation parce qu’elles sont trop dépendantes d’une seule source de trafic.
C’est Warren Buffett qui disait quelque chose de très intéressant. Warren Buffett, un des meilleurs entrepreneurs du XXe et du XXIe siècle, un des hommes les plus riches du monde. Et il disait qu’en fait, quand la mer se retire, on voit que les gens sont nus, qui est nu et qui ne l’est pas. Ce qu’il veut dire, c’est que quand tout le monde est dans l’eau et patauge, on ne sait pas les gens qui ont mis leurs caleçons de ceux qui ne l’ont pas mis. Et quand l’eau se retire, c’est là où on voit les gens qui sont tout nus.
Ce qu’il veut dire par là, c’est que c’est justement quand il y a des problèmes qui arrivent, des crises économiques, des perturbations qui n’avaient pas été prévues qu’on voit les entreprises qui sont solides des autres. Fais partie des entreprises solides. Pour cela, il faut que tu diversifies tout.
Et cela m’amène directement à la cinquième erreur que j’ai vu tellement de fois, que je vois encore tout le temps : Ne pas vendre tes propres produits.
Il y a tellement d’entrepreneurs du web qui gagnent de l’argent, souvent qui ont un très beau business, mais qui sont dépendants des autres parce qu’ils ne vendent pas leur propre produit.
Dans cette catégorie, on va mettre tous les influenceurs, tous les youtubeurs qui dépendent de la pub ou des placements de produits, souvent les deux.
Alors, vous allez me dire « Oui, Olivier, d’accord. Déjà, cela fait quand même deux sources de revenus différents. La pub et les placements de produits, ce n’est pas exactement pareil. » C’est vrai, mais le problème, c’est que quand vous ne vendez pas vos propres produits, déjà, en général, vous allez vraiment minimiser les revenus que vous pouvez faire parce que la voie royale pour gagner de l’argent, c’est de vendre vos propres produits, mais en plus, le problème, c’est que vous êtes dépendant de votre source de trafic.
Quel est le problème de ça ?
Typiquement, ça va vous poser de problèmes si, d’un seul coup, vous avez un problème de réputation. Cela peut arriver à n’importe qui de se prendre un bad buzz sur le web.
Et il y a différents types de bad buzz. On va dire qu’il y a une échelle de Richter des bad buzz. Il y a le petit bad buzz qui va juste faire du bruit dans un domaine spécifique et le méga bad buzz où tout le monde va être au courant et vous n’avez plus de business, et probablement, même plus de vie parce qu’on va vous jeter des tomates dans la rue jusqu’à la fin de vos jours. Ça, c’est vraiment un extrême, cela arrive à très peu de personnes.
Mais le truc, c’est que quand vous êtes dépendant d’autres entreprises que la vôtre pour gagner de l’argent, elles, elles sont beaucoup plus sensibles à ce genre de buzz. C’est-à-dire que même si vous prenez un bad buzz qui est petit à l’échelle de Richter, elles peuvent décider d’arrêter de travailler avec vous parce qu’elles ne veulent pas s’embêter, elles ne veulent pas prendre de risques et de réputation pour vous parce que vous êtes juste une personne parmi des milliers avec lesquels cette entreprise travaille.
Tandis que si vous vendez vos propres produits, si vous avez un bad buzz qui est, on va dire, moyen sur l’échelle de Richter des bad buzz, il y a les gens qui vont arrêter de vous suivre, arrêter d’acheter votre produit, mais il y a quand même une grosse partie de votre audience qui va dire « ce n’est pas très grave, il a fait une connerie », ou « on s’en fout, ces mecs-là, ce n’est pas notre communauté… et qui vont quand même continuer à vous acheter vos produits. Donc ça, c’est une protection et aussi une protection pour d’autres situations. Je ne vais pas m’étendre là-dessus parce que la vidéo deviendrait trop longue.
Comprenez que si vous voulez être vraiment indépendant, vous devez vendre vos propres produits. Cela peut être des produits physiques, dropshipping et tout ça, merchandising. Mais surtout ce que je vous recommande, c’est de vendre votre propre produit d’information : livre numérique, formation en ligne… C’est une continuité en général de votre business sur le web. Cela dépend de quel type de business vous avez, mais typiquement, si vous êtes influenceur par exemple, c’est là où vous pouvez scaler à fond et avoir les meilleures marges.
Sixième erreur dramatique : Ne pas écouter ton audience.
Ça, c’est aussi en direct ligne avec le conseil précédent. Créer tes produits et les vendre, c’est bien. Mais la plupart des entrepreneurs qui créent des produits font l’erreur de créer le produit qu’ils veulent plutôt que créer le produit dont veut l’audience. C’est extrêmement courant même chez les entrepreneurs aguerris.
Le problème, c’est que, il ne faut pas confondre ce que toi, tu aimerais voir dans le monde et qui est souvent lié à ton expertise avec ce que veut ton audience, et qui est souvent lié à une expertise qui est infiniment moindre que la tienne. Et c’est normal, c’est pour cela que ces gens te suivent, parce que toi, tu as une expertise que ton audience n’a pas. Le problème de ces expertises, c’est que cela peut souvent te rendre aveugle aux besoins qu’ont des gens qui ne sont pas au même niveau que toi.
C’est facile, par exemple, pour quelqu’un qui a fait de la photographie depuis 30 ans d’oublier quelles sont les frustrations et le problème du quelqu’un qui démarre, et de se dire « OK. Moi, je vais faire une formation sur comment faire des réglages super fins dans un appareil pour faire exactement ce type de rendu quand je prends des photos. » Ça, c’est le genre de truc qui t’intéresse toi en tant qu’expert, mais la très grande majorité de ton marché n’en a rien à faire.
Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas là.
Déjà, leur premier problème, c’est d’acheter le bon appareil. Ils sont complètement perdus avec tous les appareils qu’ils ont par rapport à leur budget, et ensuite, de savoir faire des belles photos. Des belles photos, ils ne savent même pas vraiment ce que cela veut dire. Donc, il faut que tu saches te mettre à leur niveau. Et pour ça, le meilleur moyen, c’est faire un sondage dans ton audience.
C’est ça qui est génial. Dès que tu as une petite audience, tu vas pouvoir leur demander ce qu’ils veulent. Typiquement, tu vas leur poser la question de « comment je peux t’aider davantage ? » Et la deuxième question magique, note-la bien, elle est vraiment ultra-puissante, elle est magique, c’est « quel est ton plus gros problème, ta plus grosse frustration dans le domaine ? » Si je reprends mon exemple du photographe, tu vas poser la question de : quel est aujourd’hui votre plus gros problème, votre plus grosse frustration dans votre apprentissage de la photo ?
Et quand ton audience va te répondre, elle va te dire « quel est le produit que tu devrais créer ? Quel est le produit que, elle, elle veut ? »
Parce que je te pose la question, si tu crées un produit qui va aider ton audience à résoudre sa plus grande frustration, son plus gros problème, est-ce qu’elle va être motivée pour acheter ce produit ? Absolument.
Donc, fais très attention à ça. Reste toujours connecté à la réalité du terrain et à ce que ton audience veut. Tu peux être le meilleur entrepreneuriat du monde, si le marché ne veut pas de ton produit, il ne va pas se vendre.
Et enfin, septième erreur : Ne pas déléguer.
Avoir un beau business avec plein de sources de trafics, plein de sources de revenus, qui n’est pas trop dépendant de la pub et dans lequel tu vends tes propres produits qui sont alignés avec les besoins de ton audience, c’est génial. Mais si c’est toi qui fais tout, que t’es au four et au moulin et que tu es un homme ou une femme orchestre, tu vas juste tirer une balle.
Donc, c’est super important de déléguer un maximum de choses dans la limite de ton budget, bien sûr, et de le faire le plus vite possible.
Bien sûr, la première chose à déléguer dans une entreprise, c’est la comptabilité. Ça, c’est clair et net. Dès le début, même quand tu n’as pas de business, même quand tu n’as pas de client, tu prends un comptable, sauf si tu as vraiment une structure très légère type micro entreprise. Et après, il faut déléguer très vite toutes les tâches dans lesquelles ce n’est pas ta zone de génie. Typiquement, les tâches qui sont répétitives dans lesquelles tu n’apportes pas beaucoup de valeurs et qui te prennent du temps.
La deuxième personne à prendre après un comptable, c’est un VA, un virtuel assistant ou un assistant général, si tu veux.
Tu peux trouver des gens facilement sur Upwork et tu peux trouver des gens qui vivent dans des pays dans lesquels le coût de la vie est infiniment inférieur par rapport à celui de la France ou de la francophonie occidentale et que tu pourras payer moins cher, mais sans les exploiter, en leur donnant un salaire qui est extrêmement décent, des conditions de travail incroyables parce qu’ils vont pouvoir bosser de chez eux. Ce sera vraiment un partenariat gagnant-gagnant.
J’espère que cette vidéo t’a plu. Et toi, est-ce que tu as fait d’autres erreurs que je n’ai pas mentionnées dans cette vidéo ? Si oui, partage-les en commentaire. Si tu en as fait que j’ai mentionné dans cette vidéo, n’hésite pas à le partager aussi.
Et puis si tu apprécies cette vidéo, et normalement c’est le cas parce que sinon, tu ne seras pas là, et que tu penses que cela peut t’aider dans le futur, tu es libre d’assassiner le bouton like là pour que cette vidéo aide davantage de rebelles intelligents comme toi à éviter ses erreurs et avoir des business qui cartonnent.
Je te dis à très vite pour la prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas, sois rebelle, sois intelligent et fais partie des gens qui évitent un maximum d’erreurs. Tchao.
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