🥁 Comment Xavier est devenu LIBRE et inspire des MILLIERS de batteurs à mieux jouer avec son blog

Découvrez Xavier Roger – Batteurpro.com – grâce à son blog il est devenu LIBRE et inspire des MILLIERS de batteurs à mieux jouer !

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « 🥁 Comment Xavier est devenu LIBRE et inspire des MILLIERS de batteurs à mieux jouer avec son blog » :

Pourquoi la musique me passionne ?

Quand je joue de la batterie, je suis vraiment focus dans mon truc. Il peut y avoir une bombe qui tombe dans le jardin, je ne vais pas l’entendre

Puis, il y a quelque chose qui fait que je suis tout le temps en recherche d’un instrument que j’aime bien. Je suis quelqu’un qui aime bien chercher de nouvelles idées, qui aime bien chercher à aider les autres personnes aussi.

J’aime beaucoup la pédagogie, j’ai vraiment envie de partager tout ça à des élèves ou des centres. Cela fait, je crois, une grosse différence en tant que prof d’avoir envie de partager des trucs qu’on a trouvés notamment dans ces sessions de recherche que les autres n’ont pas forcément envie de faire.

Tout le monde répète certaines techniques. Moi, j’aime bien chercher, aller un peu vers l’inattendu et partager ces idées-là.

Je m’appelle Xavier Rogé, je suis professeur de batterie et je donne des cours à distance via internet, et je suis blogueur également.

J’ai accompagné mon papa pendant des répétitions.

Mon papa était guitariste et je l’accompagnais, j’étais présent durant les répétitions.

Un bon jour, il m’a retrouvé derrière une batterie, j’avais 6 ans. Puis, il s’est dit : « on va l’inscrire, on va lui faire faire des cours de percussion ».

De là, j’ai commencé à faire de la percussion classique. Mais c’est beaucoup plus tard, c’est-à-dire vers 18 ans, que j’ai décidé de me consacrer à la batterie et de me spécialiser à ça, à force de rencontrer des gens, de rencontrer des professionnels qui m’ont dit : tu as un truc différent, il faut que tu perces là-dedans et que tu cherches à en faire ton métier.

J’ai cherché à en faire mon métier et ça l’est devenu tout naturellement.

J’ai fait des tournées mondiales pendant quatre ou cinq ans dans lesquelles je faisais en moyenne 200 concerts par an.

J’ai commencé à travailler comme une renommée dans le milieu assez intéressant, mais ça restait quand même pas toujours évident notamment avec la vie de famille.

Il y avait probablement tous les jours où je n’étais pas du tout là, ce qui est pour la famille pas évident. Puis, quand je rentrais, j’étais épuisé, je n’avais pas l’énergie pour jouer avec mes enfants.

Je m’attendais à ce que tout le monde puisse comprendre que j’étais fatigué, ce que personne ne comprenait parce que j’étais parti pendant X jours… Donc, ce n’était pas une super ambiance au sein de la famille, sans compter que j’avais des problèmes de santé aussi parce que ça allait avec un certain stress généré par le travail.

Donc, j’ai cherché à continuer à faire de la musique, mais faire les choses radicalement autrement. C’est comme ça que j’ai envisagé le fait de faire du blogging et de créer notamment des formations pour apprendre la batterie.

C’était via mon épouse qui faisait une autre formation sur internet qui m’a dit : « il y a justement une formation pour arriver à faire du blogging, pourquoi tu ne t’y inscrirais pas ? »

J’ai regardé un peu ce que proposait Olivier.

J’avais peur d’arrêter les tournées parce que je faisais 200 concerts par an. Si je dis tout d’un coup j’arrête ça, je refuse tout un tas de contrats pour faire du blogging.

Mais je me suis dit qu’il faut que je saute le pas et ça m’a donné suffisamment confiance. Ça avait l’air suffisamment professionnel pour me dire : « je tente le truc parce que je veux me donner la chance de pouvoir réussir dans ce milieu-là ».

Évidemment comme tout le monde, quand on fait ce genre de choses, on peut se poser plein de questions, on va douter. On va se dire : « oui, mais moi, je n’y arriverai pas, j’ai telle ou telle question, je n’ai pas compris. »

Je suis rentré en contact avec d’autres blogueurs musiciens qui avaient déjà créé des formations et qui m’ont dit : « oui, vas-y, fais ton truc, vas-y ».

Je n’y croyais pas au début et puis, ça a super bien marché.

Ça m’a aidé à garder une motivation sur le long terme, ce qui est importante pour que ça puisse fonctionner. Ça ne marche pas en deux semaines, il faut mettre de l’eau au moulin.

Mais maintenant, c’est chouette parce que j’ai encore un contact avec ces gens-là assez régulièrement par mail. On fait des Skype. Il y a vraiment une petite communauté sympathique qui est en train de se créer. C’est très impressionnant.

Pour l’instant, je travaille plus qu’avant parce que j’ai des objectifs plus importants qu’avant parce que maintenant, je sais que je peux arriver à des résultats importants.

Je peux, des fois, faire des journées où je travaille vraiment énormément. Je me lève à 6h du matin et termine à minuit, mais je ne vais pas faire ça tous les jours, c’est-à-dire que je suis vraiment beaucoup plus libre de mon temps que ce que je pouvais faire avant.

Avant, j’étais vraiment lié à un agenda que je ne pouvais pas bouger. Aujourd’hui, je suis plus dépendant du climat qu’il va faire à l’extérieur que d’un agenda fixe.

Si je vois qu’il fait moche dehors, je vais travailler sur mon blog, je vais faire des vidéos. S’il fait beau pendant quatre jours, j’en profite, j’y vais.

Ça peut facilement se mettre en place en me disant : « finalement, j’ai fait bien assez de chose, si on allait manger une glace avec les enfants en ville maintenant, je terminerai mon truc plus tard », il n’y a aucun problème alors que souvent, on va dire : « oui, mais pas aujourd’hui parce que papa est fatigué, parce qu’on a déjà fait ceci ou cela. » Là, on peut beaucoup plus être à l’écoute de nos enfants.

On a développé une maison qui est, ce n’est pas 100 % écologique parce qu’on parle d’une maison qui était existante, mais il n’y a pas de chaleur partout, des pompes à chaleur qu’on a pu installer, ça prend quand même pas mal de temps.

On a pu faire un jardin qui partait de zéro. En deux ans et demi, on a transformé et c’est devenu un truc de biodiversité pas possible.

On produit plus de 120 variétés de légumes comestibles juste sur place qu’on consomme à l’année, même en plein hiver. En qualité de vie, c’est fantastique. Évidemment, on ne trouve pas ça en magasin par exemple.

On a régulièrement des gens qui demandent : « comment vous faites pour être en autonomie ? Ce n’est pas possible, vous avez un tout petit terrain. »

J’envisage peut-être même de faire des petites formations, des petits cours. Et puis, j’ai créé un blog sur le jardin qui est en stand-by pour l’instant, pourquoi pas un jour dispenser des formations là-dessus ?

On m’a déjà demandé de faire des plans de jardin pour des gens qui veulent des choses écologiques très poussées.

Clairement, j’ai gagné en qualité de vie, produit mon alimentation via le jardin, ce qui n’est pas possible si je fais un travail extérieur puisque ça prend quand même pas mal de temps.

Ma santé s’est bien améliorée parce que je suis tout le temps sur la route, mort, crevé…

J’ai gagné en relation dans ma famille. Mes enfants me voient presque tout le temps en sachant que j’ai pu les scolariser à la maison, ce qui n’était pas possible si je travaille à l’extérieur.

Ça, c’est un changement de qualité de vie énorme, il n’y a pas photo.

Ce que le blog m’a apporté directement assez rapidement : il y a un gars qui m’a contacté pour animer un stage de batterie tous les ans, un super truc spécialisé batterie.

A part ça, j’ai très régulièrement des gens qui font des centaines de kilomètres pour venir prendre quelques jours de cours avec moi, ce qu’ils n’auraient jamais fait si j’étais resté dans mon petit coin ou même si j’avais continué à faire des disques parce que quand on entend un disque, on n’a pas forcément envie d’aller prendre un cours avec la personne qui joue sur le disque. Tandis que quand on voit comment la personne enseigne, ça motive tout de suite plus. Donc, c’est une opportunité assez intéressante.

Les retours que j’ai pu avoir, c’est quasiment 100 % de satisfaction positive.

Tout le monde a dit : « c’est génial, jamais personne n’avait expliqué ça comme ça. J’ai fait dix ans de cours là, là et là. Et en fait, au premier cours, tu m’as appris un truc, je n’avais jamais vu ça comme ça, ça change ma manière de voir l’instrument. »

Il y a plein de commentaires comme ça.

Ça, c’est vraiment cool de se dire qu’on peut apporter une autre vision. Je crois que ça motive les gens à s’adonner à leur passion avec plaisir.

Le gros avantage d’internet, c’est que l’on peut donner accès à de très haute qualité d’enseignement qu’on pourrait trouver comme dans certains établissements spécialisés.

Si j’avais eu accès à cet outil-là quand j’ai appris la batterie, j’aurais béni les dieux pour apprendre l’instrument.

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