😑 Est-ce que j’ai peur de me LASSER dans la vie ? (174/365)

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Transcription texte (littérale) de la vidéo « 😑 Est-ce que j’ai peur de me LASSER dans la vie ? (174/365) » :

Je réponds à une question : « Salut Olivier, je me demandais, n’as-tu pas peur dans le futur de te lasser de la vie ? Et sinon, que fais-tu pour redonner consciemment du peps pour ne jamais tourner en rond dans ta vie ? »

C’est une question que tous les gens vont se poser à un moment dans leur vie, quel que soit leur niveau de succès.

Il y a deux grandes écoles de pensées que j’ai étudiées qui sont assez contradictoires l’une par rapport à l’autre.

D’abord, il y a le mouvement du développement personnel et il y a aussi le mouvement des bouddhistes qui ont un avis différent sur la question.

Pour les Bouddhistes, l’essentiel de la souffrance humaine vient du fait que les êtres humains ne savent pas se contenter de ce qu’ils ont et qu’ils veulent toujours plus.

Fondamentalement si on n’apprend pas à apprécier ce que l’on a, on va toujours être comme un hamster dans sa roue à vouloir toujours plus. Quel que soit le degré de succès qu’on a atteint et à quel point on s’est dépassé, cela ne sera jamais satisfaisant en tant que tel.

Une des pratiques du bouddhisme, la méditation, ça aide à se concentrer, à ressentir la gratitude pour ce que l’on a, à aussi utiliser l’exercice des contrastes qui est de s’imaginer dans une situation plus difficile que celle dans laquelle on est, et peut-être de se remémorer nos origines ou de s’imaginer par exemple ce qui se serait passé si on était né dans un pays plus pauvre avec moins d’opportunité…

Et d’un autre côté, on a l’approche du développement personnel qui est de tout le temps en permanence être dans un processus d’amélioration, et ce, tout au long de la vie.

La base du développement personnel, c’est qu’on veut devenir la meilleure version de nous-même mais que finalement, c’est un objectif qui n’est jamais atteignable en tant que tel, mais c’est plutôt un processus qui est continue, qui ne s’arrêtera qu’à la fin et qui en lui-même engendre du bonheur et du plaisir.

Ce n’est pas tant le fait d’atteindre ses objectifs que le fait d’être tout le temps en perpétuelle amélioration.

Comme exemple typique de cette pensée, on a Earl Nightingale dans son livre « Lead the Field » qui explique que quel que soit l’objectif que l’on va atteindre, au bout d’un moment, on va prendre cela pour acquis, on va vouloir aller au-delà. Mais ce n’est pas grave, parce que vous êtes plus heureux quand vous êtes en train de poursuivre l’objectif ambitieux que quand vous êtes en train de ne rien faire.

Il dit : « On est plus heureux quand on va au restaurant que quand on en revient. »

C’est cette idée que l’on va utiliser l’espoir et aussi le challenge comme source de plaisir et d’amélioration.

Ces deux valeurs sont assez contradictoires même si après, il faut nuancer un peu.

Par exemple, si vous êtes SDF dans la rue, que vous êtes en train de mourir de faim et que vous êtes en train de méditer pour apprendre à avoir la gratitude pour ce que vous avez, les bouddhistes vont vous dire que c’est bien, mais que vous avez quand même le droit de se bouger pour vous améliorer. Ce n’est pas non plus tout blanc ou tout noir.

Ces deux approches me font beaucoup réfléchir parce qu’il y a des profondes vérités dans les deux.

J’adore apprendre, m’améliorer, devenir une meilleure personne, passer d’une étape à une autre. J’adore aussi atteindre mes objectifs, mais c’est évident aussi, les bouddhistes ont raison. Aujourd’hui, j’ai un succès professionnel et personnel que je n’aurais jamais cru pouvoir atteindre il y a 20 ans. C’était au-delà de mes rêves les plus fous très honnêtement.

Et pourtant, on s’y fait très vite. J’ai aujourd’hui des nouveaux standards. J’utilise d’ailleurs les exercices des bouddhistes, la méditation, la gratitude, tout ce genre de chose pour davantage apprécier ce que j’ai. Cela m’aide à ne pas le prendre complètement pour acquis.

N’empêche que j’ai aujourd’hui une base de valeur et de comparaison qui est différente que celle que j’avais il y a 20 ans, même il y a 10 ans.

C’est vrai que quelque part, cela engendre un peu tout le temps une source de souffrance, de toujours vouloir.

Donc pour concilier les deux, ce que j’ai trouvé personnellement pour pouvoir apprécier la vie tout en m’améliorant en permanence, c’est d’envisager tout cela comme des cycles.

C’est-à-dire qu’il y a des moments dans ma vie où je vais dans un cycle où j’ai envie d’aller au niveau suivant, où je vais tout donner, où je vais me concentrer à fond, apprendre énormément, bosser beaucoup pour atteindre l’objectif en question qui me fait rêver, qui me fait vibrer, qui est une mission que je porte dans mon cœur.

Une fois que j’atteints cela, je vais rentrer dans un cycle où je vais plutôt, pas me reposer sur mes lauriers mais être moins dans l’idée de passer au niveau suivant, de plus profiter de ce que j’ai et de la gratitude.

Ce n’est pas réprimer mes désirs, c’est juste que je vais être dans une période où je ne vais pas m’enflammer autant pour atteindre le niveau suivant.

Au bout d’un moment, quand je suis lassé par un cycle, je tourne tout naturellement vers l’autre comme ça.

Donc, progression, je profite, progression, je profite. Quand je suis vraiment à fond dedans, je progresse comme ça. Quand je profite, je progresse comme ça.

Et il y a aussi à côté de cela l’idée de la pyramide de Maslow où plus on a nos besoins de base qui sont couverts, manger, boire avoir un toit pour se protéger quand on dort, ensuite réalisation…, plus on va pouvoir tendre vers notre mission de vie, vers la valeur que l’on apporte à notre société et notre auto réalisation à travers la création de nos propres chefs d’œuvre.

Cela rejoint cette idée qu’à partir d’un certain stade, on peut aussi se focaliser sur de choses qui sont peut-être un peu plus spirituelles et qui sont plus satisfaisantes pour l’âme que juste gagner plus d’argent ou avoir davantage de liberté.

Je suis déjà extrêmement libre. C’est difficile pour moi d’améliorer encore ma liberté même si je peux le faire de manière incrémentale, mais j’ai déjà tellement de liberté par rapport à la personne moyenne.

J’ai déjà atteint l’essentiel de l’objectif pour le reste de ma vie. Sauf si bien sûr, j’y retourne.

Là notamment, un de mes axes de travail, c’est de m’assurer que quel que soit ce qui peut arriver comme catastrophe ou problème, je garde cette liberté quoi qu’il arrive que je n’ai pas que mon business comme source de revenu.

Il y a des tas de manières d’envisager la vie et de garder le peps, et j’aime bien cette idée de cycle.

Vous choisissez un objectif ultra ambitieux qui vous stimule, qui vous donne le feu sacré qui fait vraiment que vous allez vous dépasser, vous révéler à vous-même. Et une fois que vous atteignez cela, vous en profitez un peu et vous passez à autre chose.

Par exemple, quand j’ai arrêté l’école à 18 ans et que j’ai créé ma boîte à 19 ans, d’abord, j’avais mon objectif de créer ma boîte. Après, j’ai mon objectif de vivre de ma boîte que j’ai réussi.

Ensuite, au bout d’un certain temps, j’en avais marre de travailler autant, je voulais un meilleur équilibre de vie. J’ai mis plusieurs années à trouver, j’ai réussi à le faire grâce à ma boîte.

Quand j’ai atteint l’équilibre de vie, la mobilité géographique totale et je gagnais bien ma vie, je me suis dit : je vais me réaliser à travers la création de mon chef d’Å“uvre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études ».

Aujourd’hui, je suis dans une période où je profite pas mal et je me pose la question de quel va être mon prochain objectif ambitieux ?

Pour l’instant, je ne l’ai pas encore trouvé. Je ne m’en fais pas particulièrement parce que de toute façon, je suis déjà extrêmement heureux, content, libre. Je gagne beaucoup plus d’argent que tout ce dont j’aurais pu rêver et j’inspire des dizaines, des centaines des milliers de personnes. Vous êtes quand même plus de 300 000 à regarder les vidéos tous les mois sur cette chaîne. Cela fait plaisir.

Je ne suis pas dans une urgence particulière pour trouver autre chose, mais je sais que cela va finir par arriver.

Etre dans des endroits comme à Dubaï qui sont à la fois très stimulants intellectuellement et un peu exotiques me fait penser différemment, cela ouvre mes chakras sur d’autres choses et, au final, ça stimule ma créativité pour trouver quel va être le prochain objectif.

 

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