Trouver sa place dans l’infopreneuriat et cartonner – Yannick Alain

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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : https://youtu.be/0At485v3vfw

Trouver sa place dans l’infopreneuriat et cartonner – Yannick Alain

#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur

 

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Trouver sa place dans l’infopreneuriat et cartonner – Yannick Alain » :

Yannick Alain : J’apprends aux gens à trouver un emploi, à gérer les entretiens d’embauche. L’apprentissage, j’ai lu plein de bouquins là-dessus. Comme j’avais énormément recruté, j’avais énormément d’expériences là-dedans. Je faisais vraiment ce truc-là en fait.

Et je faisais quand même un petit 100 000, 200 000 euros par an. Je me démerdais bien. Je faisais des CV vidéo, je faisais venir les gens, mais au bout d’un moment, le coaching, ça me soulait. Je faisais le coaching un à un, et comme je suis un peu TDH.

Olivier Roland : Et puis, je veux dire, ce n’est pas scalable.

Yannick Alain : Oui.

Olivier Roland : Échanger ton temps contre de l’argent, c’est très bien pour démarrer parce que c’est simple.

Yannick Alain : Oui, je me fatiguais.

Olivier Roland : Mais ce n’est pas ce qu’on veut.

Yannick Alain : Intellectuellement, tu sais maintenant que je suis dyslexique, donc je me fatiguais beaucoup. Ça demandait un effort. J’aimais, mais ça me demandait trop d’effort. Du coup, je me dis non, il faut que je fasse de la conférence et tout ça.

Et j’ai l’idée de me dire « je suis formé au marketing, je me suis formé chez tout le monde, je peux monter un business marketing ». Et ce qui manquait dans vos formations, je trouve, c’était l’aspect de développement personnel. Et je me disais « comment je peux aider des gens ? » L’angle que j’avais pris, c’est : comment est-ce que je peux aider les gens en business, mais en leur disant qu’on va travailler leur développement personnel ? Et trouver l’angle du j’ai peur de me lancer, j’ai peur de tout ça. Alors que vous, l’angle que vous preniez, c’était un angle du il faut se lancer, il faut passer à l’action, il faut machin, c’est tout. Et moi, je disais « Oui, mais ce n’est pas facile de passer à l’action. Moi, je vais t’apprendre à passer à l’action. » C’était un peu le truc : je vais t’apprendre à passer à l’action. En tout cas, maintenant, vous êtes sur ce discours-là un peu plus, mais à l’époque, pas trop.

Du coup, je me dis, il faut que je trouve et je me dis à l’époque parce qu’on était beaucoup à l’époque dans ce que j’appelais le culte de la médiocrité. Rien de méchant. Et toi, par exemple, pour faire passer les gens à l’action, c’est « ce n’est pas parfait, vas-y, passe à l’action. » Ce n’est pas parfait. Et moi, à un moment donné, je ne me sentais pas à l’aise là-dedans parce que je voulais faire les choses…

Olivier Roland : Là, je ne suis pas d’accord avec le nom que tu donnes à cette approche, mais vas-y.

Yannick Alain : En tout cas moi, c’est comme ça que je l’ai compris à l’époque. Et du coup, je dis « mais moi, non, j’ai envie de faire un truc dont je me sens fier, dont je sens qui m’inspire. »

Et à un moment donné, je me rappelle, j’ai une réunion, je suis avec Nicolas Pen que tu connais, je suis avec Sergio Laubary et Zuzana Chroma qui ont fait Aska Editions, Napoleon Hill, le livre de Napoleon Hill, et à un moment donné, je leur dis « J’en ai marre. Maintenant, je veux faire quelque chose dont je me sens fier, donc je veux le meilleur pour mes clients, je veux le meilleur. » Donc là, je me dis « maintenant, tu vas prendre uniquement le meilleur du top de ce que tu peux offrir ». Et comme je pense que je ne suis pas le meilleur, je me dis « associe-toi avec quelqu’un qui est le meilleur en développement personnel, en neurosciences, en tout ça. » Et là, à ce moment-là, je rencontre David Lefrançois grâce à Martin.

Olivier Roland : Martin Latulippe, un ami commun.

Yannick Alain : Martin Latulippe, de qui j’ai acheté la formation évidemment parce que j’achetais tes formations. Martin, en fait, je le rencontre. Avec David, on matche direct. Humainement parlant, on se kiffe. Et du coup, je dis à David « Viens, on monte un programme ensemble. » Et moi, je m’occupe du marketing, il s’occupe de tout. Je n’ai pas confiance en moi. Je n’ai pas d’estime de moi, j’ai peur de me mettre devant la caméra. On va être tous les deux devant la caméra, mais je sais que lui, il était très confiant, il avait une aura de fou. Il n’avait juste pas la visibilité.

Et moi, pendant toutes ces années-là, ce que j’ai fait aussi, c’est que j’allais à tous les évènements. Donc, je connaissais tous les acteurs du marché. Tous les acteurs du marché m’adoraient. Je faisais des garden-partys sans rien demander, comme ce que je fais à chaque été quand il n’y a pas le Covid. Donc des garden-partys où je faisais venir des gens, il y avait tous les acteurs du marché qui venaient à mes garden, en tout cas, ceux que j’appréciais vraiment, qui venaient avec qui j’avais matché, avec qui j’avais créé un lien. Et ces gens-là ont monté aussi petit à petit.

Et quand j’ai voulu lancer, quand j’ai dit, ça faisait 2 ans ou que 3 ans que je faisais des garden-partys et je ne demandais jamais rien et puis je demandais à mes potes : écoutez les gars, je vais lancer, je vais pitcher ma formation. Il y aura des livres de François dedans, on va parler de neurosciences, on va parler business, on va parler vente aussi, apprendre à se vendre, le rapport à la vente, ce que moi, j’avais appris, ce que je connaissais.

Olivier Roland : Mais attends, parce qu’avant ça, comment tu as convaincu David Lefrançois ? Parce qu’il ne te connaissait pas.

Yannick Alain : Non, il ne me connaissait pas, humainement.

Olivier Roland : Et tu étais un nobody aussi, il faut le dire.

Yannick Alain : J’étais un nobody de chez nobody. Et en fait David, lui aussi était un peu nobody, pas trop, en tout cas pas loin de ça. Et David me trouve super génial humainement, il valide mes valeurs à 2000 %. Moi, je valide ses valeurs aussi à 2000 %. On est presque pareil. On a tellement de conneries tous les deux et tout ça, pareil, qu’on tombe amoureux l’un de l’autre. Du coup, il me dit « OK, on y va » et on y va. Il y a plein d’histoires autour de ça, mais on n’a pas le temps, voilà. Mais du coup, on y va et moi, j’ai dit « vas-y, viens ».

Olivier Roland : Donc, vous faites fifty-fifty sur le…

Yannick Alain : Fifty-fifty, on se dit « on y va à fond ».

Olivier Roland : Toi, tu lui apportes le marketing, tout ce que tu avais appris dans tes dizaines de formations.

Yannick Alain : La vente, le réseau aussi parce que quand après, je lance le programme, David, lui, tout seul, il n’en fait rien. Et je me rappelle, le premier lancement orchestré, on est à deux. On a enregistré les vidéos à deux. Je me rappelle, je suis la veille où je dois livrer la vidéo un de ma vidéo, On a tourné toute la vidéo, mais l’intro, c’est moi qui dois la faire. Je dois faire 7 minutes d’intro et tu sais comment ça marche l’intro, c’est très cadré. Donc, j’ai un prompteur devant moi. Je ne suis pas confiant parce qu’à l’époque, je fais 50 kilos de plus quand même. Du coup, je fais 50 kilos de plus, donc j’ai un rapport à mon image. Mais quand Isa a eu son accident de voiture, j’ai perdu beaucoup de poids.

Olivier Roland : On pourrait faire une parenthèse là-dessus, je ne sais pas, si tu veux.

Yannick Alain : Oui, si tu veux. On se la garde en tête et, après, je te fais le truc. Et je me rappelle juste que je veux livrer un truc important pour les gens qui nous regardent et qui te suivent. C’est que je me rappelle, la veille, j’ai tout procrastiné pour tourner cette première partie parce que je ne me sens pas confiant, je transpire, je ne suis pas bien. Et en fait, il y a Romain, mon caméraman, qui me dit « Yaya, il faut vraiment tourner la vidéo ».

Et il est 1h du matin. On a 6 heures, il manque que mon bout de 7 minutes que je dois donner et je dois livrer, et j’ai la tête dans mes mains comme ça, et je me dis mais qu’est-ce que je fous là ? J’ai envie qu’on me téléporte et qu’on me dise voilà. Mais je n’ai pas le choix que d’avancer parce qu’il y a 20 000 personnes qui attendent une vidéo. J’exagère, 12 000 ou 14 000 peut-être personnes qu’on a, ce qui est quand même énorme, mais tous les partenaires envoyés pour moi. Et en fait, je me tiens la tête et je me dis « je n’arrive pas à tourner cette vidéo, elle ne me convient pas, je n’arrive pas à la tourner. Qu’est-ce que je fous là ? » Et je dors 1h, je me réveille, je fais la vidéo d’entrée, on poste la vidéo 20 minutes sur le Vimeo, elle est convertie 20 minutes avant, on lance et on fait 700 000 euros avec ce premier lancement.

Olivier Roland : 700 000, c’est beau.

Yannick Alain : Tu imagines ?

Olivier Roland : Oui. C’est plus d’argent que tu avais vu en toute ta vie.

Yannick Alain : De toute ma vie, je ne me l’approprie même pas cet argent.

Olivier Roland : Et puis, il faut le dire, c’était en une semaine de vente à peu près, j’imagine.

Yannick Alain : Le lancement orchestré, tu sais, oui, c’est vraiment…

Olivier Roland : Bien sûr, il y a du boulot en amont, mais c’est quand même 700 000 euros qui tombent en une semaine.

Yannick Alain : En 15 jours.

Olivier Roland : De commandes. Ce n’est pas d’argent encaissé directement, mais il y a des gens qui paient en plusieurs fois.

Yannick Alain : Oui, il y aura les commandes et ça tourne.

Olivier Roland : Ça reste un truc de ouf.

Yannick Alain : Ça reste un truc de dingue.

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