Comment scaler votre business pour faire 6 à 7 chiffres par an – Sigrun Gudjonsdottir

**Active les sous-titres en français** 🙂

Sigrun Gudjonsdottir aide les femmes à créer leur business et à l’amener plusieurs millions d’euros de CA rapidement. Je lui demande de partager le cœur de sa méthode, et aussi comment elle peut vendre en anglais à des gens dont ce n’est pas la langue principale.

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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

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À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

🎥 Lien de la vidéo YouTube : Comment scaler votre business pour faire 6 à 7 chiffres par an – Sigrun Gudjonsdottir

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment scaler votre business pour faire 6 à 7 chiffres par an – Sigrun Gudjonsdottir » :

Olivier Roland : Avant de nous plonger dans ton incroyable parcours, comment décrirais-tu ce que tu fais aujourd’hui et ce que tu es ?

Sigrun Gudjonsdottir : J’aide les entrepreneurs en ligne à passer de zéro à sept chiffres en un minimum de temps. Les gens que j’ai aidés, j’ai pu faire passer beaucoup d’entre eux à un million de dollars en l’espace de quatre ans. Je fais cela depuis 10 ans et j’ai moi-même gagné plus de 18 millions de dollars américains.

Olivier Roland : Wow, c’est incroyable. Et tu enseignes aussi d’autres choses que la mise à l’échelle ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui, c’est en gros le portefeuille complet de la construction d’une entreprise. J’ai été PDG pendant 10 ans avant de devenir un entrepreneur en ligne. Je sais donc comment embaucher des gens, comment mettre en place les bons systèmes et la bonne comptabilité. Ce n’est pas ce que tu trouveras peut-être officiellement sur mon site web, mais une fois que les gens travaillent avec moi, Je me penche également sur l’organisation générale de l’entreprise.

Olivier Roland : Génial. Comment as-tu commencé ton parcours ? Tu es née en Islande ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Tu y as passé ton enfance et ton adolescence ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui. Et puis je suis parti à l’âge de 20 ans. J’ai déménagé en Allemagne. Je voulais devenir architecte.

Olivier Roland : Wow. Et donc, faisons une petite histoire. Comment es-tu passé de, ok, je veux devenir architecte à, oh, maintenant je veux devenir entrepreneur ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui. J’avais presque terminé mes études d’architecture en Allemagne quand Internet est apparu. Et nous avons eu accès à des ordinateurs et nous avons pu envoyer des courriels et j’ai créé la réalité virtuelle. Et j’ai trouvé ça beaucoup plus fascinant que de faire de l’architecture. Et donc, j’ai juste terminé mon diplôme et ensuite je suis passé à l’informatique.

Olivier Roland : D’accord.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui. Et une chose en entraînant une autre, je suis retournée en Islande. Je suis retourné en Islande et soudain, j’étais PDG d’une société de logiciels. Et c’est ce que j’ai fait pendant 10 ans.

Olivier Roland : En Islande ?

Sigrun Gudjonsdottir : En fait, ces deux dernières années, j’étais en Suisse. J’ai rencontré mon mari à Londres et j’ai déménagé en Suisse. Mais ensuite je suis tombée malade et j’étais malade d’être assise au bureau neuf ou dix heures par jour, de travailler vraiment dur, d’avoir des horaires de travail pas vraiment flexibles. On m’a dit d’arrêter de travailler. J’ai été malade pendant sept mois. Et ça m’a fait réfléchir : est-ce que je peux retourner travailler pour quelqu’un d’autre où je ne peux pas contrôler mon temps et où je risque de retomber malade ? J’ai donc décidé qu’il fallait que je fasse quelque chose. Et je ne souhaite cela à personne. Je ne souhaite à personne de tomber malade.

Mais je pense qu’il y a un moment dans la vie pour tous ceux d’entre nous qui veulent devenir entrepreneurs où l’on se dit, c’est ça. Maintenant, je ne reviendrai pas en arrière. Et j’ai perdu mon travail parce que j’étais malade. Je suis allé au bureau du chômage et ils m’ont dit : tu es inemployable.

Olivier Roland : Pourquoi ?

Sigrun Gudjonsdottir : Parce que j’avais trop de diplômes. J’ai étudié l’architecture, l’informatique, le commerce. J’avais été PDG très jeune. Je n’étais pas dans une boîte. Je n’avais pas de CV bien défini. Et par conséquent, ils m’ont suggéré de créer ma propre entreprise. Et je me suis dit : quelle bonne idée ! Je pensais la même chose.

Olivier Roland : D’accord. Mais tu étais PDG d’une entreprise de logiciels avant, n’est-ce pas ? C’était donc presque être un entrepreneur, sauf que tu n’as pas créé l’entreprise, mais tu l’as gérée au jour le jour. Tu devais mettre en place une stratégie. Tu avais donc déjà presque tout ce qu’il fallait pour l’expérience, n’est-ce pas ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : À part faire le truc.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Et puis tu t’es dit, ok, alors c’est une bonne idée.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Et tu as créé l’entreprise.

Sigrun Gudjonsdottir : Et puis j’ai commencé, mais j’ai perdu environ 18 mois à réfléchir à ce que cette idée pourrait être. Et j’espérais que si j’allais me promener, beau chemin comme derrière nous, ou que je prenais une douche ou je ne sais pas, que je partais en vacances, je la découvrirais comme par magie. Mais je peux t’assurer que l’idée commerciale parfaite ne tombe pas du ciel. Je l’attendais. Elle n’est pas arrivée. Et à un moment donné, j’étais tellement frustrée contre moi-même que j’ai fini par commencer. Et il vaut mieux commencer avec une idée, même si elle n’est pas parfaite, que de continuer à attendre l’idée parfaite, qui ne viendra jamais.

Olivier Roland : Oui. Alors, qu’est-ce que tu as créé ?

Sigrun Gudjonsdottir : Alors j’ai d’abord créé un cours sur la façon de trouver sa vraie passion et la bonne idée d’entreprise. Et j’ai fait beaucoup de choses différentes. Les neuf premiers mois, j’ai probablement fait ce que j’appelle du marketing spaghetti, c’est-à-dire que tu essaies toutes ces choses différentes.Tu n’as pas de stratégie. C’est ce que j’ai pensé, et tu as aussi dit, oh, tu as été chef d’entreprise pendant 10 ans. Je pensais que je n’avais pas besoin d’aide. Je pensais que je pouvais tout faire tout seul. J’ai regardé des webinaires gratuits, des défis gratuits. Et je me suis dit, oh, je vois ce qu’ils font. Je peux le faire. Non. Après neuf mois de marketing spaghetti, j’ai finalement engagé le coach.

Et c’est à ce moment-là que j’ai investi 5 000 dollars, ce qui représentait une somme énorme il y a 10 ans et qui l’est encore aujourd’hui. Mais je me suis dit que j’avais besoin d’aide. Et j’ai réussi à transformer cette somme en 55 000 dollars en 90 jours. Je pense donc que cela a porté ses fruits. Donc 5 000 $ d’investissement, 55 000 $ de recettes ou de revenus en un mois. En 90 jours.

Olivier Roland : 90 jours. Waouh. C’est donc plutôt bien.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Alors, tu étais assis sur quoi ?

Sigrun Gudjonsdottir : Eh bien, je voulais apprendre à lancer. J’adore les lancements. La plupart de mon argent, je l’ai gagné avec des lancements au cours des 10 dernières années. Mais le premier lancement, j’ai dû l’apprendre comme tout le monde. Alors attends, on parle d’un lancement comme la formule de lancement d’un produit, qui est en gros une méthodologie pour vendre un produit. C’est comme une semaine de pré-lancement et une semaine de lancement.

L’objectif est de faire en sorte que les gens soient enthousiasmés par le produit et aussi de donner beaucoup de valeur. C’est une campagne de marketing. Et tu fais en sorte que les gens soient enthousiastes. Et quand tu ouvres des portes, ils veulent acheter. Et ensuite, tu fermes les portes. Il y a donc un sentiment d’urgence à rejoindre un programme. Et je voulais apprendre cela parce que j’avais vu des gens le faire et je savais que ça me plairait. J’ai donc engagé un coach pour cela. Mais mon lancement a échoué.

Olivier Roland : Qu’est-ce que tu vendais ?

Sigrun Gudjonsdottir : Je vendais un cours sur la façon de mettre en place toute ta technologie de lancement. Comme je ne m’étais pas encore lancé, la seule chose que je pouvais vendre, c’était tous les systèmes, mais pas encore la stratégie. Pas encore. Même si je savais comment créer des entreprises, des entreprises à sept ou huit chiffres, je ne pouvais pas encore traduire cela en un produit. Mais j’avais raté l’étape cruciale. Je n’avais pas compris qui était vraiment mon client. Et je ne m’étais pas demandé si les gens voulaient vraiment ce programme. Une personne a donc acheté.

Olivier Roland : Quel était le prix ?

Sigrun Gudjonsdottir :  C’était 9,97 dollars.

Olivier Roland : D’accord.

Sigrun Gudjonsdottir : Et 600 personnes ont participé au webinaire.

Olivier Roland : Wow, c’est beaucoup. Comment avez-vous réussi à avoir autant de monde aussi rapidement ?

Sigrun Gudjonsdottir : Cela faisait des mois que je faisais des webinaires hebdomadaires. Mais sans rien vendre ? Sans rien vendre. Donc juste pour partager du contenu. Juste pour partager du contenu.

Olivier Roland : Intéressant.

Sigrun Gudjonsdottir : Alors une chose que je ferais aujourd’hui, et je ne recommande pas de stratégie, mais j’avais construit une liste d’emails d’acheteurs enthousiastes, sauf qu’ils ne voulaient pas acheter cette chose que je voulais leur vendre. Ce que j’ai fait, c’est que j’ai envoyé un e-mail, j’ai dit aux gens ce que j’avais fait ces neuf derniers mois, tu sais, ce marketing spaghetti.

Mais, bien sûr, je l’ai décrit comme si j’étais en train d’agrandir ma liste d’emails. Je faisais des progrès. Et la plupart de mon public, pour eux, j’avais deux longueurs d’avance. Ils étaient donc émerveillés. Et quand je leur ai proposé une séance gratuite de stratégie commerciale en ligne, 90 personnes ont réservé. Et c’est ainsi que j’ai gagné 55 000 $ en 90 jours.

Olivier Roland : D’accord. C’était donc gratuit, mais tu vendais quoi ?

Sigrun Gudjonsdottir : Je leur vendais du coaching individuel.

Olivier Roland : D’accord.Oh, wow. Ça a donc dû être beaucoup de travail.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Mais tu as accumulé beaucoup d’expérience, n’est-ce pas ?

Sigrun Gudjonsdottir : Beaucoup d’expérience, beaucoup d’informations. Ce n’était pas mon plan de faire du tête-à-tête, et je ne recommande pas aux gens de le faire trop longtemps. Mais c’était de l’or. Avec le recul, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée, un lancement raté.

Et puis, bien sûr, maintenant je savais comment lancer, faire le travail préalable, tu sais, trouver ton client idéal, trouver ce qu’il veut, et lui vendre ce qu’il veut acheter.

Olivier Roland : Tu as donc déjà quelques idées intéressantes. D’abord, il fallait te mettre dans une position inconfortable pour réfléchir à la création de ton entreprise parce que quand tu étais PDG, je veux dire, tu étais dans le quotidien.

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Tu rêvais donc de devenir entrepreneur.

Sigrun Gudjonsdottir : Pendant longtemps, même au tout début de ma carrière de PDG, j’ai pensé : oh, et si c’était mon entreprise ?

Olivier Roland : C’est vrai. Il faut donc te mettre dans une position inconfortable. Et peut-être, je veux dire, pour certaines personnes, si tu es dans une position trop confortable, c’est comme ce que j’appelle en français, des pantoufles en ciment, c’est-à-dire comme des chaussures en béton. Elles sont confortables mais très lourdes. Il faut donc une sorte de coup de pied aux fesses pour pouvoir se défaire de ces chaussures en béton. C’est ce qui t’est arrivé.

Ensuite, tu as commis une erreur fréquente, celle de trop réfléchir au projet. Je veux dire qu’une autre erreur courante est de se précipiter. Je pense donc que c’est mieux. Je veux dire, ça dépend. Mais si tu te précipites trop, tu peux aussi te heurter à un mur, non ?

Sigrun Gudjonsdottir : Oui.

Olivier Roland : Mais je veux dire qu’à un moment donné, tu réalises que c’était… Je perdais du temps. Tu n’arrivais à rien.

Sigrun Gudjonsdottir : Non.

Olivier Roland : Et tu as donc décidé de…Commence par quelque chose. Et troisième idée très intéressante, c’est comme si ton premier lancement avait été un échec et que ça n’avait pas d’importance. En fait, c’était très intéressant. Et donc c’est la même chose, les gars. N’attendez pas d’avoir un plan parfait, car qui se soucie d’un plan parfait ? De toute façon, tu peux avoir le meilleur plan du monde. Tu ne le suivras jamais complètement quand tu…

Sigrun Gudjonsdottir : Non.

Olivier Roland :  La feuille est tombée dans le ventilateur. C’est le même anglais, n’est-ce pas ?
Sigrun Gudjonsdottir : Absolument.
Olivier Roland :  Comme aucun plan de bataille ne survit à la guerre ou à la bataille.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland :  C’est comme si ce n’était pas possible. Tu dois t’adapter. Et quatrièmement, le coaching. Je vous dis toujours, les gars, que le coaching n’est absolument pas l’objectif final parce que l’objectif est d’arrêter…d’échanger votre temps contre de l’argent.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland :  Mais pour commencer, c’est génial parce que tu as une expérience incroyable.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland :  Tu comprends vraiment très bien quels sont les problèmes de tes clients et je veux dire, ils
vous paient.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland :  Donc ce n’est pas comme si tu n’étais pas dans une réalité virtuelle. Les gens te paient pour que tu puisses les aider à résoudre de nouveaux problèmes. Et ça te donne une telle… C’est comme si tu faisais des changements de marché et que tu étais payé pour ça.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : D’accord. Donc, d’accord. Donc, le lancement a été un échec mais le coaching a été un succès.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : Alors, qu’est-ce que tu as fait ensuite ?
Sigrun Gudjonsdottir : Eh bien, j’ai réussi à atteindre presque un salaire à six chiffres en 12 mois, bien que j’aie perdu neuf mois à faire de l’argent. Tu sais, le marketing spaghetti. Et je me suis un peu sentie comme, tu sais, j’ai trouvé l’ambition et la volonté comme ça va.
de travailler. J’ai vu que ça allait marcher. Alors, l’étape suivante, c’était le coaching de groupe parce que quand je me suis lancé dans tout ça, je savais que je ne pouvais pas… je ne voulais pas vendre mon temps.

Donc, vendre mon temps était juste comme une étape pour passer à l’étape suivante. Et la chose suivante était le coaching de groupe et j’ai fait quelques erreurs là-bas. Je faisais comme un défi de 21 jours et puis je faisais un ou deux posts ou deux, trois mails.
et les gens n’achetaient pas parce qu’il n’y avait pas cette stratégie de lancement et cette date limite.

Et donc, après avoir fait plusieurs de ces erreurs, je me suis rendu compte de ce que je faisais. J’ai réussi à vendre un programme de coaching de groupe. C’était en juillet. Je voyageais en Islande pendant mes vacances d’été avec mes beaux-fils. Et le soir, encore une fois, j’étais un peu frustrée contre moi-même.

Je pense que c’est un thème commun. Et j’ai écrit la page de vente d’un programme de coaching de groupe dont j’avais vu que les gens voulaient. À ce moment-là, j’avais un groupe Facebook, ce qui me permettait d’écouter les points de douleur des gens.Olivier Roland : Donc, tu n’as pas toujours besoin de faire un sondage. Tu peux aussi simplement observer ce que les gens disent.Sigrun Gudjonsdottir : Et le programme s’est déroulé à guichets fermés. Et à partir de là, je me suis lancé à fond dans les programmes de coaching de groupe.
J’ai donc doublé mon chiffre d’affaires trois années de suite avec et j’ai commencé à réduire les programmes individuels.
Et puis nous sommes arrivés à la quatrième année.
Olivier Roland : Peux-tu nous communiquer les chiffres approximatifs de la première année ?
Sigrun Gudjonsdottir : Donc, la première année s’est élevée à 72 000 dollars. La deuxième année, 164 000 dollars. La troisième année, 340 000 dollars. J’avais donc l’impression d’avoir une vraie dynamique. Et puis quelque chose m’a saisi au cours de la quatrième année. C’est l’année où je vais gagner un million de dollars. J’allais tripler mes revenus. Je ne savais pas comment.

Mais j’ai fait un paperboard dans mon bureau comme ça, c’est ce que je vais vendre. Et j’ai écrit un courriel à toute ma liste pour leur dire que c’était l’année où j’allais le faire. Et j’ai reçu beaucoup de réactions positives. C’était comme si j’emmenais les gens dans ce voyage avec moi. Je n’allais pas le faire seul. J’allais le faire avec eux. J’avais donc de grands projets. J’allais organiser mon premier événement en direct. J’allais lancer mon podcast. Tu sais, j’avais des choses à faire. Mais en août, j’ai vérifié mes chiffres.
Et je vérifie régulièrement mes chiffres.

Mais j’ai eu un coup de semonce en constatant que je n’étais qu’à 340 000 dollars. Et je me suis dit : comment vais-je faire pour gagner 660 000 $ en quatre mois ? Cela semble impossible. Mais j’ai pris mon carnet et j’ai commencé à noter tous les programmes que je pouvais encore vendre. J’avais un lancement à faire. J’avais un événement en direct à venir. J’avais quelques atouts que je savais pouvoir transformer en revenus. J’avais aussi prévu une retraite pour l’année à venir. Je peux peut-être vendre des places à l’avance. J’ai commencé à être très créatif. Et c’est ce qui est cool quand tu as un objectif ambitieux.

Tu es beaucoup plus créatif si l’objectif est plus petit. Et j’ai travaillé très dur pendant ces quatre mois. Et c’était tellement excitant les derniers jours avant la fin de l’année. J’inventais littéralement de nouveaux produits juste pour essayer de gagner plus d’argent. Et cinq minutes avant minuit, j’ai gagné un million de dollars. Avant minuit, le 31 décembre. Oui.
Olivier Roland : Incroyable. C’est impressionnant. Le pouvoir de la vision et de l’exécution. Vraiment cool. Donc quatrième année, 1 million de dollars. D’accord. Qu’est-ce que tu as fait alors ? Tout d’abord, comment avez-vous fêté l’événement ?
Sigrun Gudjonsdottir : Eh bien, j’avais acheté un parfum qui s’appelle le parfum du million.
Olivier Roland : Oh, vraiment ?
Sigrun Gudjonsdottir : Il existe toujours.
Olivier Roland : D’accord.
Sigrun Gudjonsdottir : Et je l’avais dans la boîte. Et je l’ai ouvert en direct devant mon public.
Olivier Roland : Oh, d’accord. Tu as partagé avec ton public. J’ai fait 1 million de dollars.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui. Oui. Et j’ai ouvert la boîte avec le parfum. C’était en fait un parfum pour homme.
Olivier Roland : D’accord.
Sigrun Gudjonsdottir : Mais ça n’a pas d’importance. Il s’agissait de la nature symbolique du parfum.
Olivier Roland : C’est vrai.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui. Et ça, c’était une chose. Et puis j’avais toujours voulu avoir un beau sac. Et je savais que le prix du sac était d’environ 2 000 dollars. Et je me suis dit que c’était ridicule d’acheter un sac aussi cher. Mais après cette année incroyable, donc en janvier, février, j’étais à Beverly Hills.

Et je suis allée sur Rodeo Drive, comme dans le film. Et je suis entrée dans le magasin Prada et j’ai dit : Avez-vous un sac rouge ? Et j’ai acheté un sac Prada rouge comme prix pour moi. Comme cadeau pour moi. Oui.
Olivier Roland : D’accord. Et avant de parler des prochaines années, une chose très intéressante dont tu n’as pas parlé. Dans quelle langue fais-tu tes programmes ?
Sigrun Gudjonsdottir : Tout est en anglais.
Olivier Roland : D’accord. Et à qui vendez-vous principalement ?
Sigrun Gudjonsdottir : Quand j’ai créé mon entreprise, je pensais que mon public serait composé de personnes dont l’anglais était la langue maternelle, comme le Royaume-Uni, les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande. Mais ils s’avèrent que parce que je ne suis pas anglais, je viens d’Islande.

Les gens d’autres pays aiment faire des affaires avec moi. Mon plus gros public vient donc d’Allemagne. Beaucoup viennent de Pologne, de République tchèque, de toute l’Europe, en fait. Oui, j’ai aussi des gens qui viennent d’Islande, mais je ne me concentre jamais spécifiquement sur l’Islande. C’est un petit pays. Oui. Mais donc la majeure partie de mon public se trouve en Europe centrale. À ma grande surprise. Ce qui est, je veux dire, incroyable.
Olivier Roland : Oui. Alors, comment te découvrent-ils ?
Sigrun Gudjonsdottir : Eh bien, j’utilise beaucoup les applications Facebook.
Olivier Roland : D’accord.
Sigrun Gudjonsdottir : Cela signifie qu’au départ, nous faisons de la publicité sur Facebook pour toute l’Europe, les États-Unis et le Canada.
Olivier Roland : Oui. En fait, tu as analysé les chiffres et tu as vu que les Allemands et les Polonais cliquaient et achetaient.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui. Donc, c’est ainsi que je l’ai découvert. Et puis j’ai commencé à en apprendre davantage sur le marché européen. Oui. Et tu sais, je fais beaucoup de recherches pour essayer de comprendre ces gens et comment les aider. Et ça fonctionne.
Olivier Roland : D’accord.
Sigrun Gudjonsdottir : Donc, au cours de la cinquième année, j’ai doublé.
Olivier Roland : Alors, qu’as-tu fait en cinquième année ?
Sigrun Gudjonsdottir : En cinquième année, je suis passée de 1 million de dollars à 2 millions de dollars. Et nous avons continué à faire de très bons lancements, à continuer à créer des programmes. Et je pense que l’une des choses très intéressantes, c’est que l’on finit par réaliser ce que l’on aime vraiment. Et ce que j’aime vraiment, c’est d’aider les gens à créer leurs propres programmes. Donc, après un certain temps, j’ai eu l’idée de créer un programme pour aider les gens à créer leurs propres programmes. Et donc, c’est ainsi que tout a commencé. C’est la partie la plus amusante de mon entreprise maintenant. Aider les gens à créer leurs propres programmes et à lancer leurs propres affaires. Oui.
Olivier Roland : Et comment s’appelle ce programme ?
Sigrun Gudjonsdottir : Ça s’appelle Create Your Signature Program.
Olivier Roland : D’accord. Donc, c’est la sixième année maintenant ?
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : Où en es-tu maintenant ?
Sigrun Gudjonsdottir : Donc, en ce moment, nous sommes à environ 2,5 millions de dollars. Donc, nous avons continué à grandir à un rythme assez rapide, même après avoir fait le programme Create Your Signature Program. Tu sais, l’un des plus grands problèmes avec la vente de programmes en ligne, c’est que tu veux être capable de vendre à tout moment. Et une des choses que je voulais faire, c’était d’avoir des ventes constantes. C’est pourquoi je voulais créer un produit qui pouvait se vendre à tout moment.

Oui. Et donc, c’est le cas maintenant avec le programme Create Your Signature Program, ainsi que d’autres produits et formations que nous avons créés pour aider les gens dans différents domaines. Oui.
Olivier Roland : C’est génial.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui, vraiment.
Olivier Roland : C’est bien. Donc, pour récapituler, tu as commencé avec une approche de marketing spaghetti.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : Tu as découvert le coaching individuel, puis le coaching de groupe, puis tu as réussi à atteindre un million de dollars. Tu as réussi à atteindre le million en quatre mois, ce qui est incroyable. Tu as doublé ensuite, donc de un à deux millions.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : Et maintenant, tu vends tes propres programmes pour aider les autres à créer leurs programmes.
Sigrun Gudjonsdottir : Oui.
Olivier Roland : C’est fantastique. Merci beaucoup d’avoir partagé ton histoire.
C’est vraiment inspirant.
Sigrun Gudjonsdottir : Merci.
Olivier Roland : Merci beaucoup.
Sigrun Gudjonsdottir : Merci.
Olivier Roland : Merci à toi.

 

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