Comment une entreprise internationale rend le Code du Travail obsolète – Yannick Alain

Nous parlons avec Yannick de comment le fait d’avoir un business web disrupte les Etats-Nations, et de la croyance qu’il a et en laquelle la plupart des gens ne croient pas.

🎙️ L’interview complète dont est tiré cet extrait « Être un Bisounours et gagner des millions – mode d’emploi avec Yannick Alain »

▶️ Chaîne Youtube « Les Rebelles Intelligents »

👥 ► Venez rejoindre des milliers de Rebelles Intelligents entrepreneurs dans le groupe Telegram https://t.me/rebellesintelligents, pour votre dose quotidienne de conseils et stratégies pour développer votre entreprise, devenir plus productif et plus serein, et réaliser ce qui vous tient à cœur.

(Si vous ne connaissez pas Telegram, c’est comme WhatsApp mais en plus privé. Vous pouvez l’installer gratuitement sur votre smartphone ou tablette sur https://telegram.org/ ) 🙂

🧠 ► Rejoignez des milliers d’entrepreneurs et de rebelles intelligents en vous abonnant à ma chaîne : http://bit.ly/abo-OlivierRoland

🚀 ► Pour aller plus loin :
https://des-livres-pour-changer-de-vie.com – une sélection de livres rares et exigeants pour changer de vie
https://blogueur-pro.net/ – Devenez libre et indépendant financièrement grâce à votre blog
https://habitudes-zen.net/ – Vivre une vie zen et heureuse
https://devenez-meilleur.co/ – Le développement personnel pour les gens intelligents
https://olivier-roland.tv/videos pour être prévenu chaque matin à 7H quand une vidéo géniale est publiée, pour démarrer la journée avec une pêche d’enfer ! 🙂

🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire

À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

📺 ►Lien de la vidéo : Comment une entreprise internationale rend le Code du Travail obsolète – Yannick Alain

#RebellesIntelligents #formation #entrepreneur

Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment une entreprise internationale rend le Code du Travail obsolète – Yannick Alain » :

Celui-ci, c’est quelque chose que tu acquiers au fur et à mesure quand tu vis à l’étranger. Tu as de plus en plus cette démarche internationale dès que tu rajoutes des frontières, en fait, ça hack un peu le système. Donc si tu prends un freelance en Belgique par exemple, ce n’est pas dans la juridiction de l’URSSAF.
— Ah oui, d’accord.
— Ok, mais j’en ai beaucoup à l’étranger, beaucoup au Canada et tout ça, mais quand même, l’URSSAF ne peut rien faire.
— Oui, avec un Canadien, je le fais naturellement, mais je n’ai pas fait ça exprès.
— Mais c’est pareil, moi je veux juste rendre compte au bout d’un moment que c’est dingue, ce n’était pas prévu, mais en fait ça rend une partie du Code du travail obsolète. C’est fou quand même.

Mon prochain livre sera là-dessus justement : comment Internet et la blockchain redistribuent les internationaux, parce que je pense que ça, c’est à ce sujet, ça en fait partie, tu vois. Je pense qu’il y a un risque, une chance, enfin en tout cas un risque, on va dire un pourcentage de probabilité que le travail à distance fasse au col blanc ce que les délocalisations font au col bleu. Tu vois, moi aussi j’ai une équipe internationale, quand on embauche sur Internet, on se fout un peu de l’endroit à partir duquel…

Oui, je suis en train de vendre, tu vois. »

C’est juste, c’est comme ça, parce que ce n’était même pas pour optimiser le système, mètre carré en fait, avec une salle de réunion et tout, mais ça ne sert à rien.
— Exactement.
Donc de toute façon, les gens bossent de chez eux où ils veulent, on s’en fout.

Et puis, alors, tu as parlé tout au long de cette interview des actions et des croyances que tu as, qui sont un petit peu différentes ou même complètement différentes de la plupart des gens, mais si tu devais en donner une, quelle est la croyance que tu as et que la plupart des gens ne partagent pas ?
— C’est très bonne question, j’ai jamais réfléchi à cette question-là. Je sais pas si c’est la plupart des gens qui ne l’ont pas, mais j’ai profondément foi en l’avenir, intéressant, et profondément foi en mon moi du futur et aux humains du futur. C’est-à-dire que souvent, en fait, par souci de contrôle, on se stresse, et moi, j’ai quand même un terrain très anxieux, et en fait ce qui m’a aidé, cette croyance-là, de dire en fait : fais confiance à ton toi du futur, il saura faire, il saura gérer la situation.

Et donc du coup, des fois, ça m’évite… C’est une fois quand j’ai des trous dans ma stratégie, c’est des trucs, on me dit : « Ouais, mais qu’est-ce qui va se passer si ça ? » Je me dis : « Bah, lâche-toi, tu géreras plus tard, tu gères ce truc-là plus tard », tu vois.

Donc il y a plein d’exemples comme ça, tu vois, il y en a plein d’exemples. Tu prends…  Au début, le mec quand même, tu prends Elon Musk, le mec est quand même… Tout son business, toute son histoire dans tous ces business, un rapport avec l’humanité, il y a toujours dire que… Il lance PayPal, il s’associe pour PayPal, tout ça, ça se termine parce que les banques ont un trust et tout ça, et ça le gonfle. Il crée un système pour hacker, dire, sur Internet, il y a de l’avenir, mec visionnaire, il y va. Après il dit : « Bon, on est en train de tuer la planète, on va inventer la voiture électrique. » Mais la belle voiture électrique, la voiture électrique qui assure, pas la voiture pourrie, machin. Ok, ça machin, t’as pas envie d’y aller parce que c’est pas inspirant, je vais… On va dire inspirante électrique, boum le mec, ok, s’associe Tesla, boom, ça marche.

Après, le mec : « On va [ __ ] la planète, c’est certain. On va envoyer des fusées dans l’espace parce qu’en fait, à y être, je préfère être le premier tour opérateur pour amener les gens sur une autre planète. » On va commencer ce truc-là.

Tu penses pas aussi que cette philosophie, ça te permet de ne pas trop en faire, de pas trop tomber dans l’angoisse de dire de toute façon…

— Mais est-ce que tu dis pas que ça peut pas aussi être une manière de procrastiner, en disant : « Bon bah, j’ai pas trouvé la solution tout de suite, on verra plus tard » ?
— Non, ça dépend pourquoi, en fait. En réalité, mais je crois que j’ai foi, en fait. Tu vois, par exemple, là on est dans une période de mutation, tous les signaux qu’on nous montre, y compris dans le monde de l’infoprenariat, nous montrent comme quoi il va falloir qu’on rebondisse et qu’on pense différemment notre business, parce qu’il y a une vraie récession qui est en train de se mettre en place avec la hausse des prix, avec tout ce qui se passe là, et du coup les gens ont moins de pouvoir d’achat, en tout cas ça va toucher au pouvoir d’achat des gens. Donc nous, il va falloir qu’on rebondisse là-dessus, voilà, qu’on sache rebondir, il va falloir tout ça.

Et bien c’est quelque chose qui ne m’inquiète pas plus que ça parce que j’ai confiance en ma capacité à lire l’avenir, à lire… Pas l’avenir, mais en tout cas à lire les tendances, à me connecter aux bonnes personnes pour comprendre : tiens, voilà le système, comment ça va fonctionner, voilà comment est-ce qu’on peut améliorer des choses.

Et je sais que cette crise, c’est — c’est en japonais, je crois, ou en chinois — c’est danger-opportunité, le sigle c’est danger-opportunité. C’est de me dire : ok, comment est-ce que dans ce danger que je perçois, je peux y voir l’opportunité. Donc c’est de la résilience.
— Ouais, c’est la résilience, des capacités sur une désillusion, mais sur de vrais tests sur le terrain.

J’essaye en tout cas d’être entouré, tu vois, si tu repars moins, je suis un rêveur, je suis très rêveur, je suis très poète, on va dire, dans ma manière d’être tout ça, mais par contre je sais m’entourer des gens qui sont très pragmatiques.

Et donc du coup, comme je sais m’entourer des gens qui sont pragmatiques, et je sais être ouvert à eux, même si des fois ça me bride dans ma créativité, même des fois ça me bloque, bah c’est pas grave parce que je sais que je suis entouré des bonnes personnes pour m’aider là-dedans.

Et donc moi, je suis comme dans une espèce de truc de dire : ok, il y a, tu sais, pas faire grand-chose en vrai, c’est pas grave parce qu’en fait tu sais trouver les ressources.

Pour moi, j’adore en fait cette situation qu’on rencontre beaucoup : Redford, qui était très critiqué parce que ce n’était pas un grand technicien dans le domaine de la voiture, et il y a un journaliste un jour sur un plateau qui le chope en lui disant : « Ouais, il dit, Monsieur Ford, il n’est pas une question technique sur la voiture. »

J’avais quelque chose de très, très fort, j’avais un problème d’image de moi, mais par contre je gérais tellement tout mon business, c’était de l’argent quand même.

Donc du coup, tu dis : ok, c’est pas grave, tu auras trois petits plus tard pour gérer en fait le fait que David a toute la lumière et pas toi, c’est pas grave.

Mais moi, petit à petit, ça m’a aidé à grandir, ça m’aide à grandir, à me remettre devant la caméra et être meilleur conférencier.
— Très bien.
— Je savais que c’était un process, je sais qu’aujourd’hui je fais plus jeune que quand j’avais 30, tu vois, c’est rigolo quand tu vois les photos en fait de l’époque. Qui dit ces dames dans la 41 ? J’ai 41, le même âge.

— Ouais.
— Et c’est fou parce que quand j’en avais 30, j’ai fait un post d’ailleurs, j’avais fait un post là-dessus, et moi je suis pas ultra suivi sur les réseaux sociaux, mais c’est un post qui avait fait 1000 likes parce qu’en fait j’ai expliqué cette transformation-là, et en fait ça avait été dingue, en fait ce truc-là, en fait c’est fou, c’est fou, c’est fou ce truc-là parce que ça avait vraiment amené ce côté… Ben ouais, je me suis construit au début n’ayant pas confiance en… [ __ ] de syndrome de l’imposteur.

Ça va pas empêcher de réussir à faire 700 000 euros, et même après le lancement, d’après on a fait 950 000 euros, quasiment un million, puis dans ce monde, après on a fait un million, puis on a pris, à chaque fois, on a augmenté, quoi, tu vois.

Donc tu dis, c’est quand même pas mal, quoi.

Vous avez aimé cette vidéo ? Cliquez ici pour vous abonner gratuitement à la chaîne Youtube ! 🙂