23 ans dans l’entrepreneuriat : ce que j’ai appris !

Dans cette vidéo, je partage avec toi les 10 leçons clés que j’ai apprises en 23 ans d’entrepreneuriat.

Je te donne mes conseils pour réussir et t’aider à éviter les erreurs que j’ai pu commettre. Apprends comment trouver de nouvelles opportunités, essayer tes idées, t’entourer de bonnes personnes et surtout, garder la persévérance et la passion pour ton projet.

Je te partage également mes astuces pour gérer ton entreprise, trouver l’équilibre entre vie pro et perso et apporter de la valeur à tes clients. N’oublie pas, les échecs font partie du parcours, alors garde ta persévérance !

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🧐 ► Qui suis-je ? Qui est Olivier Roland ?

Découvrez mon histoire en 1 minute 41 : http://bit.ly/MonHistoire

À 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

Que vous souhaitiez changer de vie, réussir sur Internet ou tout simplement devenir une meilleure personne, ma chaîne vous y aidera. Chaque jour, vous trouverez une nouvelle vidéo inspirante pour vous aider à vivre une vie plus riche.

Olivier Roland.

🎥 Lien de la vidéo YouTube : 23 ans dans l’entrepreneuriat : ce que j’ai appris !

🎞 TIMECODES :

00:00 Introduction
00:34 Être à l’affût des nouvelles opportunités
02:32 Faire des expériences !
04:04 S’entourer des bonnes personnes !
05:34 La passion et la persévérance !
07:16 Équilibre entre l’innovation et la dernière technique miraculeuse !
09:07 Déléguer
10:01 Équilibre pro et perso
12:47 Ton business est une hypothèse tant que tu n’as pas de clients !
13:51 Meilleure méthode pour ton business
14:12 Apporte de la valeur !
14:52 Tu veux une suite ?

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « 23 ans dans l’entrepreneuriat : ce que j’ai appris ! » :

Au moment où je tourne cette vidéo, cela fait 23 ans que je suis entrepreneur. Et si tu dis « mais attends, tu as l’air super jeune, comment tu as fait ? », alors déjà, j’ai l’air plus jeune que mon âge parce que là, au moment où j’ai fait cette vidéo, j’ai 42 ans, souvent on me donne 35, tu me diras dans les commentaires si tu estimes que c’est à peu près l’âge que tu m’aurais donné, et en plus, je me suis lancé dans l’entreprenariat très tôt puisque j’ai créé ma première boîte à 19 ans. Voilà, 23 ans de bons et loyaux services entreprenariats. Et je te partage dans la vidéo tous les enseignements que ces 23 ans d’expérience m’ont donnés.

Première leçon : l’importance d’être à l’affût de nouvelles idées de business.

Cela paraît évident et ça l’est, c’est difficile d’être entrepreneur si tu n’as pas d’idée de business. Moi, j’ai créé deux grands business dans ma vie, celui que j’ai créé à 19 ans, c’était une boîte de service informatique qui ensuite est devenue une boîte de développement logiciel, et la deuxième entreprise, c’est celle que j’ai aujourd’hui, c’est une entreprise qui accompagne les gens à créer et développer leur business en ligne.

Cette idée de business informatique, je l’ai eu en constatant autour de moi que les gens avaient des problèmes qui leur paraissaient insurmontables dans ce domaine et que, moi, je résolvais comme ça. Avec un ami, on s’est dit « est-ce qu’on ne pouvait pas gagner de l’argent avec cela ? » et c’est comme ça qu’est née l’idée de la première entreprise.

La deuxième idée de business est venue en lisant deux sources différentes : la première, c’était le blog de Steve Pavlina, un blog de développement personnel qui avait écrit un article à l’époque sur comment gagner de l’argent en ligne avec un blog, et la deuxième, c’était le livre de « La semaine de 4 heures » de Tim Ferriss qui enseignait comment avoir un business web au service de sa vie.

Les deux combinés m’ont donné l’idée de créer des blogs. J’ai commencé par créer un blog sur la technologie qui s’appelle technosmart qui n’a pas du tout fonctionné. Ensuite, j’ai créé un blog « Habitudes Zen » qui était la traduction, qui est toujours la traduction d’un blog américain qui s’appelle « Zen Habits » qui a bien fonctionné, mais je n’en étais pas content parce que ce n’était pas ma voix. Et le troisième blog a été le bon, à la fois le blog qui a atteint un bon succès et qui était ma voix « Des livres pour changer de vie ».

Là, j’ai eu deux démarches différentes. Pour la première, j’ai constaté un problème autour de moi et je me suis dit « moi, j’ai proposé une solution pour résoudre ce problème », et dans le deuxième cas, c’est en me formant, en étant curieux, en allant explorer des choses en dehors de ma zone de confort que j’ai découvert des concepts que j’ai pu ensuite transformer en business.

Quelle que soit la ou les méthodes que tu utilises, il y en a bien d’autres, sois toujours comme cela à l’affût. Il y a un moteur de recherche en arrière-plan dans ton esprit pour trouver des idées de business. Par exemple, faire ce que j’ai fait avec mon business, tout le monde peut le faire. Dès que tu entends quelqu’un râler par rapport à un service, un produit ou autre chose, c’est un business potentiel. Quand quelqu’un râle, c’est qu’il y a un besoin non satisfait.

Deuxième leçon importante : l’importance de faire des expériences.

Ce qui m’a donné le courage et l’énergie nécessaire pour arrêter l’école et créer mon business aussi jeune, c’est que j’avais fait une expérience sur le terrain qui m’avait conforté dans mon hypothèse. Mon hypothèse, c’était qu’il y a suffisamment de demandes pour qu’un business de dépannage informatique pour les particuliers fonctionne. Comment j’ai testé cette hypothèse ? Avec un ami, on a passé une annonce dans un journal d’annonce locale qui avait coûté quelque chose comme 10 € et cela nous a rapporté 800 € de CA en 1 mois. Mon ami, lui, a décidé de continuer ses études. Moi, cela m’a donné le courage nécessaire pour arrêter l’école et me lancer dans l’entreprenariat.

Et cette expérience était loin d’être parfaite parce que c’était au black, c’était avec des clients dont je n’allais pas retrouver le profil. Ensuite d’ailleurs, très vite, j’ai pivoté mon business pour qu’il s’adresse à des entreprises et pas à des particuliers parce que c’est là qu’était la rentabilité.

Comprends que mettre en place comme ça une petite expérience imparfaite qui ne chamboule pas ta vie, mais qui te permet d’être sur le terrain et de voir concrètement si ton idée intéresse les gens suffisamment pour qu’ils te donnent de l’argent, c’est important. C’est beaucoup mieux que de partir dans un grand projet en disant « OK, c’est bon, je brûle mes navires derrière moi, je fais en sorte que d’avoir deux choix : mourir ou réussir », que tu n’as pas besoin de chambouler toute ta vie, d’arrêter tes études ou ton job pour te lancer en entreprenariat. Tu peux, au contraire, démarrer tranquillement à côté de ce que tu fais actuellement.

Quand j’ai démarré ma deuxième entreprise, c’était la même histoire. J’ai commencé par créer des blogs à côté de ma première entreprise et quand cela a commencé à fonctionner, là, j’ai commencé à vendre cette première entreprise sous forme de portefeuille client pour pouvoir me consacrer à la deuxième. Donc, n’oublie pas, fais des expériences.

Troisième leçon : l’importance du réseau, des mentors et de s’entourer.

Malgré toute la passion que j’avais – et j’en avais beaucoup et je vais t’en reparler – malgré toute la volonté que j’avais, jamais je n’aurais pu créer ma boîte aussi jeune si je ne m’étais pas entouré.

A 18 ans, tu ne connais rien. Je veux dire, j’étais lycéen, j’ai dû passer du statut de lycée à chef d’entreprise ? Ce n’était pas facile. Qu’est-ce qui m’a aidé dans cette démarche ? C’est justement de me faire accompagner. Comment j’ai fait ? Je suis allé à la Chambre de Commerce et de Métiers de ma ville, j’ai dit « Voilà, je veux créer ma boîte, on fait comment ? » Ils m’ont donné toute une liste de structures, d’associations, d’accompagnement à la création d’entreprises que je pouvais contacter et je suis toutes allé les voir sans exception. J’en ai trouvé une incroyable qui m’a vraiment accompagné tout au long du projet et cela m’a beaucoup aidé.

6 mois après la création de cette première entreprise, je te l’ai dit, passer du statut de lycée à chef d’entreprise, ce n’était pas facile, j’ai failli mettre la clé sous la porte parce que je ne savais pas ce que je faisais. Et au lieu de faire l’autruche, j’ai décidé de prendre le taureau par les cornes. C’est une autre leçon de l’entreprenariat, c’est qu’il vaut mieux choisir les taureaux que l’autruche. J’ai contacté tous les gens qui m’avaient aidé, qui m’avaient accompagné pour leur demander quelle est la solution. J’ai eu cette solution grâce à une de ces personnes qui m’avait accompagné.

Ensuite quand je suis passé sur mon business web, j’ai été accompagné par Sébastien le marketeur français qui m’a coaché sur le marketing. Ensuite, j’ai rejoint le mastermind de Jeff Walker, l’inventeur de la Product Launch Formula et cela fait plus de 12 ans que je fais partie de ce mastermind. J’ai plein aujourd’hui de mentors, non seulement des mentors physiques que je rencontre régulièrement, mais j’ai aussi énormément de mentors spirituels ou intellectuels via tous les livres que je lis et toutes les formations que je suis.

Quatrième enseignement : l’importance de la passion et de la persévérance.

J’étais passionné par le fait de devenir libre, par le fait de devenir entrepreneur, par le fait de m’échapper des sentiers battus pour pouvoir me créer ma propre boîte. Et cela m’a donné justement une motivation à 2 000 % et c’est important d’aller chercher en toi ce qui te donne ce que j’appelle le feu sacré. A 18 ans, j’étais un cancre, j’étais fait convoquer par le directeur de mon lycée qui m’avait dit qu’il y a des profs qui ne voulaient plus faire cours quand j’étais dans la salle parce que je dormais littéralement sur ma table et ça les démotivait. Tu imagines à quel point. J’étais tellement démotivé que j’aspirais la motivation des autres.

Quelques mois plus tard, j’avais le feu sacré, j’étais absolument inarrêtable. Pourquoi ? Parce que j’avais trouvé un projet qui me remplissait de l’intérieur. Donc, essaie de trouver comme cela un projet dans l’entreprenariat qui te remplit de l’intérieur et tu verras que les montagnes vont se transformer en collines et que les collines vont devenir des plaines sur lesquelles tu vas gambader joyeusement, alors que beaucoup de gens vont se faire arrêter par exactement les mêmes obstacles.

Et comprends aussi que Rome ne s’est pas faite en un jour. Pouvoir créer sa boîte, c’est bien, en faire une boîte rentable, c’est autre chose. J’ai bossé un an sur le projet avant de créer ma première boîte, ensuite au bout de 6 mois, elle a failli se planter. La première année a été catastrophique. Et c’est à partir de la deuxième année que j’ai commencé à vraiment véritablement gagner ma vie.

Pareil, la deuxième entreprise, cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Mon premier blog, je l’ai créé fin 2007 et mon premier blog à succès, je l’ai créé fin 2008. J’ai commencé à gagner de l’argent de manière significative à partir de fin 2009, 2 ans après avoir démarré sur le web. Cela a pris du temps et je ne me suis pas laissé abattre. Et je peux te faire une prédiction : j’ai démarré avant que la plupart d’entre vous commencent et je serai encore là après que la plupart d’entre vous aient abandonné. C’est le type de persévérance dont je parle. Tu dois avoir ce genre de persévérance.

Autre leçon importante, c’est l’importance de l’équilibre entre l’innovation et ne pas courir comme un poulet sans tête, toujours à la recherche de la dernière technique miraculeuse. C’est un équilibre qui n’est pas forcément facile à trouver, en particulier quand tu as une boîte sur le web, parce qu’il y a toujours une dernière technique miraculeuse qui sort. Il y a des nouveaux outils et des nouveaux médias sociaux…

Ayant démarré parmi les dinosaures du web fin 2007, j’ai vu énormément de gens qui ont cartonné et qui, ensuite, ont complètement disparu des radars, y compris des amis chers que j’avais prévenu que s’ils ne se bougeaient pas sur certains aspects de leur business, cela risquait de mal se passer, et en général, c’est ce qui s’est produit. J’ai aussi vu des gens arriver de nulle part et cartonner et garder ce succès sur le long terme. J’ai aussi vu des gens surfer sur des modes, avoir un succès incroyable et ensuite être complètement détruits quand la mode avait disparu.

Comment faire pour trouver l’équilibre ?

Moi, j’utilise tout simplement une méthode à laquelle je donnais le nom d’être un conservateur innovant ou un innovateur conservateur, c’est comme tu veux. Cela veut dire qu’en général, je ne suis pas le premier sur des nouveaux médias sociaux, sur les nouveaux outils et ce genre de choses. J’attends que la première vague passe et ensuite, seulement si je vois qu’effectivement, cela commence à prendre et qu’il y a de plus en plus de gens qui utilisent cela et que c’est là pour durer, là, je m’intéresse au sujet et je regarde comment cela peut m’aider dans mon business. Je n’étais pas parmi les premiers sur Facebook, sur Instagram, sur YouTube, mais j’ai fait partie quand même en général de la deuxième vague. J’ai créé ma chaîne YouTube en 2009, donc je ne peux pas dire que je faisais partie des tout premiers, clairement pas, mais je faisais probablement partie de la deuxième ou la troisième vague des créateurs sur YouTube. Pareil sur Instagram, pareil sur TikTok…

Cela te fait gagner énormément de temps parce qu’il y a énormément de médias sociaux et de nouveaux outils qui sortent et qui n’ont aucun avenir. Un exemple assez récent, c’est Clubhouse qui était la fureur, un nouveau média social incroyable pendant le Covid et, au final, après complètement effondré. Il y a des gens qui ont passé des heures, des jours, des mois à tenter de se faire une place sur ce réseau. Après, ce réseau s’est complètement effondré.

Ensuite, l’importance de déléguer. Déléguer, cela implique deux choses : savoir recruter et savoir manager. Et je peux dire, moi, la première fois que j’ai dû être confronté à ces deux choses-là, j’ai vraiment fait à peu près toutes les erreurs possibles et imaginables.

J’ai fait des mauvais recrutements. Le tout premier employé que j’ai eu, par chance, était un excellent employé. J’étais très content par rapport à cela. Mais en fait, je n’ai pas su le manager et il est parti au bout de quelques mois. Le deuxième que j’ai pris, là, j’ai fait une énorme erreur de recrutement, cette personne a fait beaucoup de bêtises. Au final, c’est quelque chose que j’ai dû apprendre sur le tas, et qui a été difficile, mais c’est vraiment une compétence indispensable quand tu fais dans l’entreprenariat.

Après, la plupart des entreprises, il faut le savoir, n’ont pas de salariés, mais en général, ce sont des petites entreprises qui ne vont pas être dans une croissance très intéressante. Si tu veux avoir un business qui est sympa et qui est en pleine croissance et aussi qui te donne une certaine liberté qui est au service de ta vie plutôt que ta vie soit au service de ce business, au bout d’un moment, il va falloir déléguer. C’est une compétence que tu dois apprendre à développer.

Autre point important : l’équilibre entre ta vie personnelle et professionnelle.

Créer ma première boîte à 19 ans, cela a été une aventure extraordinaire. Je te le dis, j’avais le feu sacré, cela ne me dérangeait absolument pas de travailler 70h par semaine, toutes les semaines dans cette boîte et de prendre peut-être si j’avais de la chance une semaine de vacances par an.

Cela, c’est normal. Quand tu démarres, c’est ton bébé, tu es tout feu, tout flamme, la vie est belle. Oui, ça, c’est bien les 2 – 3, les 4 premières années. Au bout de 5 ans, je peux te le dire, je n’en pouvais plus. C’est là où je me suis rendu compte avec effroi que cette boîte que j’avais créée pour devenir libre était devenue une prison et que je ne voyais pas comment m’en échapper. Avec le temps, douloureusement, en vraiment allant chercher des formations, des livres, des mentors pour essayer de comprendre pourquoi j’étais devenu esclave de mon business, j’ai appris à avoir un business au service de ma vie plutôt que l’inverse.

Et ça, c’est extrêmement important de te dire peut-être plus vite que moi parce que j’ai mis quand même un certain nombre d’années avant de comprendre quelles étaient les solutions et de mettre cela en place parce que finalement, j’ai trouvé la solution 8 ans après avoir créé ma première boîte et j’ai commencé à avoir un business vraiment au service de ma vie 10 ans après m’être lancé dans l’entreprenariat.

Tu peux clairement faire mieux surtout si tu regardes cette vidéo parce que c’est l’intérêt de suivre des conseils de gens qui sont passés par le même chemin que celui que tu es en train d’emprunter, il y a longtemps. Ils peuvent te parler des pièges, des problèmes et te permettre de les éviter.

Donc, forme-toi sur le sujet, sur comment avoir un business web au service de ta vie. Si cela t’intéresse d’ailleurs, je t’offre un livre sur le sujet qui s’appelle « Vivez la vie de vos rêves grâce à votre blog » qui a été mis à jour très récemment. Pour le recevoir, tu cliques sur le lien qui est dans la vidéo et qui est dans la description et tu me dis à quelle adresse email je dois te l’envoyer.

En tout cas, je suis très heureux de te dire que je suis passé d’esclave de mon business à travailler 70h par semaine et à prendre une semaine de vacances par an à aujourd’hui un business qui me permet de travailler en moyenne 25h par semaine dedans et de voyager 6 mois par an.

Ensuite, je t’ai parlé de plusieurs épisodes qui ont été difficiles. Puis, j’ai failli mettre la clé sur la porte au bout de 6 mois avec mon premier business, que mon premier employé est parti parce que je n’ai pas su le motiver, que ma deuxième employée était absolument horrible, que j’ai fait une erreur de recrutement, que j’ai mis 2 ans entre mon premier essai sur Internet et le moment où j’ai commencé à gagner de l’argent. C’est aussi très important. Dans ton parcours entrepreneurial, tu vas avoir des grosses gamelles, des gros échecs, des grosses chutes et parfois cela fait très mal à l’égo, parfois même aux finances, parfois même à ton état d’esprit. Il y a eu des nuits où je ne dormais pas, c’est là où j’ai mes premières insomnies, c’est quand je passais de mon ancien business à mon nouveau et que je me demandais si j’allais réussir, si ce n’était pas juste une bulle qui allait exploser…

Ce genre de choses, cela va arriver et tu dois garder la persévérance et te dire que cela fait partie de ton parcours entrepreneurial et que c’est cela aussi qui forge, les accros sur la route, ces cicatrices sur ta peau qui font aussi de toi ce que tu es et qui vont bâtir ta résilience au fur et à mesure.

Une autre leçon primordiale, c’est que tant que tu n’as pas de clients, ton business est juste une hypothèse dans laquelle tu as mis du temps, de l’argent et de l’énergie. Comprends cela. Et la deuxième leçon qui est liée à celle-ci : tant que tu n’as pas atteint le seuil de rentabilité, tu as un hobby et pas un business.

Qu’est-ce que c’est que le seuil de rentabilité ? C’est le moment où les entrées d’argent couvrent les dépenses. Et cela doit inclure ton salaire. Si tu te dis « OK, je ne me paie pas pour l’instant », tu n’as pas un business, tu as un hobby. Ou même si tu te paies mais que tu n’as pas de quoi en vivre, pareil, ce n’est pas un business, c’est un hobby.

Fais attention à cela. Il faut que tu comprennes que c’est super important d’apprendre à avoir des stratégies d’acquisition de clients qui fonctionnent, en gros, de devenir bon en marketing. Et pour certains, c’est un gros mot, mais je t’assure qu’absolument tout le monde, même les meilleurs entrepreneurs, même les meilleurs artistes, même les meilleurs de ce que tu veux, ont besoin d’apprendre à se vendre et à se faire connaître. Penser le contraire, c’est une forme d’arrogance parce que tu te dis « je suis tellement génial que les gens vont s’en rendre compte tout seul ». Donc, comprends cela.

Sur le web, on a un énorme atout par rapport aux gens qui créent leur business, il y a quelques dizaines d’années. Il faut savoir l’utiliser. Et clairement la meilleure méthode pour vendre en ligne que j’ai trouvé et j’en ai testé beaucoup au fur et à mesure des années, c’est le lancement de produits dont je t’ai déjà parlé sur cette chaîne. J’ai une formation sur le sujet dont les portes vont ouvrir bientôt. Si cela t’intéresse de te former là-dessus, tu peux cliquer aussi sur le lien qui est en dessous dans la vidéo et me dire à quelle adresse email je dois t’informer de cela.

Et aussi un point extrêmement important, essaie d’apporter de la valeur. Cela a toujours été important pour moi. Il y a des gens qui regardent le film « Le loup de Wall Street » et qui voient cela comme un modem. Je n’ai jamais compris en fait. Le but, ce n’est pas de s’enrichir au détriment des autres. Le but, c’est de gagner confortablement sa vie et pourquoi pas de s’enrichir, il n’y a aucun mal à cela, mais en apportant de la valeur au monde. Faire en sorte qu’on laisse ce monde dans un meilleur état que quand on y est entré. Et cela, je pense que c’est fondamental pour que tu gardes la pêche, garde la motivation, que tu sois heureux, que tu sois fier de ce que tu as accompli et que c’est plus important que juste la réussite en tant que telle.

Je pourrais te parler de cela encore pendant des heures, il y a encore de nombreuses leçons que j’ai apprises tout au long de ces 23 années d’expérience. Si cela t’intéresse que je fasse une suite à cette vidéo, dis-le-moi en commentaires.

Je te dis à très vite pour la prochaine vidéo. En attendant, n’oublie pas, sois rebelle, sois intelligent, fais partie des gens qui se lancent dans l’entreprenariat et qui en tirent de belles leçons. Ciao.

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