Comment gérer votre entourage quand vous créez votre entreprise (223/365)

Le regard des autres peut être un obstacle quand vous vous lancez dans vos projets. Dans mon cas, j’ai démontré le bien-fondé de mon projet et j’avais le feu sacré, la passion.

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A 18 ans, j’ai décidé de quitter l’école pour créer ma première entreprise. Je n’avais qu’une envie : être libre. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, j’ai réussi à mettre mon entreprise au service de ma vie, plutôt que d’avoir une vie au service de l’entreprise… Aujourd’hui, je voyage 6 mois par an et j’inspire des milliers d’entrepreneurs et de créateurs à être plus libres et plus heureux.

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Transcription texte (littérale) de la vidéo « Comment gérer votre entourage quand vous créez votre entreprise (223/365) » :

« Comment as-tu fait pour gérer la pression familiale et/ou les regards des autres lorsque tu as décidé de quitter l’école pour ta première entreprise ? »

C’est une excellente question.

Elle se pose même quand on n’est pas aussi jeune parce qu’il y a beaucoup de gens qui n’ont pas d’entrepreneurs dans leurs amis, dans leurs familles et qui se demandent comment ça va être pris. Et malheureusement parfois, ils sont pris pour des fous.

Déjà, il y a eu tout un concours de circonstance.

Je n’ai pas arrêté l’école comme ça sur un coup de tête. J’avais fait un test scientifique sur le terrain en méthode Lean startup puisque j’avais lancé une petite annonce avec un ami – on avait fait cela à deux – pour proposer nos services de dépannage informatique.

Ça avait été extrêmement rentable. On avait investi 60 francs à l’époque et on avait eu 5 000 francs de chiffre d’affaires en 1 mois. Donc, je savais que ça allait marcher.

A côté de ça, j’étais complètement démotivé par l’école au point où le directeur ne voulait plus de moi. Il m’avait dit : on ne va pas te réinviter l’année prochaine Olivier.

J’avais ce test qui était extrêmement concluant, le fait que je m’ennuyais terriblement à l’école et que j’avais envie de me lancer dans la vie active, et le directeur qui ne me réinvitait pas dans l’école.

Tout était aligné pour que je prenne la décision de me consacrer pendant un an à la création de mon entreprise.

Ça a été facile pour moi de vendre le projet à mes parents. J’étais très bon élève à l’école primaire jusqu’en 5ème. A partir de la 4ème, c’est arrivé comme ça jusqu’au moment où j’ai redoublé ma seconde.

Ils voyaient bien qu’il y avait un problème.

Je leur ai dit : « De toute façon, en ce moment, l’école, c’est une catastrophe. Vous avez pu le voir. Là, j’ai un projet super, regardez les résultats ».

J’avais des résultats concrets à leur montrer. Ce n’est pas juste un truc dans ma tête. Aussi, ils avaient été impressionnés par le résultat de ce test-là.

Je leur ai dit : « Je bosse pendant un an sur mon projet, ça va être intéressant. Au pire, j’aurais fait une année sabbatique et je reviendrais à l’école. Rien n’est perdu pour moi. Je vais facilement trouver un Lycée qui m’acceptera dans un an. Pendant ce temps-là, j’aurais vécu un truc intéressant. »

Dons, ils ont accepté assez vite. J’ai toujours dit qu’ils ne faisaient pas vraiment partie de l’équation, j’étais vraiment ultra déterminé.

Après, s’ils avaient voulu me mettre des bâtons dans les roues, ça aurait été compliqué pour moi. Mais j’étais ultra déterminé, j’avais le feu sacré.

Trouver un projet qui vous passionne et qui vous donne le feu sacré, ça va vous rendre beaucoup plus convaincant aux yeux des autres.

Faites un test concret pour que vous puissiez montrer des choses aux gens à qui vous devez convaincre.

Puis, à un moment aussi, il faut savoir se lancer même si tout le monde ne vous soutient pas.

Si j’avais fait un sondage à l’époque auprès de mes amis, de ma famille et de tous les gens que je connaissais en leur demandant si c’est une bonne idée de quitter l’école avant le bac pour créer mon entreprise, la plupart des gens m’auraient dit : mais non, tu es fou, passe au moins ton bac, après tu verras…

Parfois, il faut savoir réfléchir par soi-même et prendre des risques mesurés, des tests concrets sur le terrain, de se baser sur ces tests-là pour avancer progressivement en ayant toujours un plan B, voire un plan C, un plan D et en s’assurant que même si tout ne se passe pas comme prévu, on puisse rebondir et qu’on ne se retrouve pas à la rue à devoir aller au restaurant du cœur pour pouvoir manger.

Je savais que dans le pire des cas, si mon projet n’allait pas aboutir, j’allais tout simplement pouvoir reprendre les études tranquillement en ayant une expérience intéressante.

J’étais jeune, mais que j’ai quand même réussi à convaincre une banque et un organisme de me prêter.

J’ai démarré avec 100 000 francs à l’époque. C’était quelque chose comme 15 000 euros d’investissement, dont 25 000 francs d’apport personnel que ma famille a prêté.

J’ai dû prendre mon bâton de pèlerin, appeler tous les membres de ma famille et leur demander de me prêter de l’argent.

Pareil, j’ai dû être convaincant. J’étais convaincant parce que je croyais au projet. Et je croyais au projet en partie parce que j’avais fait un test concret sur le terrain. Ce n’était pas juste tiré de mon chapeau.

Dans ma famille, il y a juste une personne qui n’a pas accepté de me prêter de l’argent. Tous les autres ont accepté. Je les ai remboursés entre un et deux ans après.

D’ailleurs, à chaque fois, je suis allé les voir avec une bonne bouteille de vin ou de champagne. Ça dépendait des gens. On a passé un bon moment. Puis, je les ai remerciés avec beaucoup d’effusion.

C’est une question de conviction personnelle, de feu sacré et de test sur le terrain, puis à un moment tout simplement de dire : « j’ai bien mesuré les risques et ce que je peux gagner, j’y vais, on y va, c’est parti ».

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